Censure judaïque
Mais je suis d'accord avec vous ! Si nous étions tous actuellement encore dans les années 1930, nous serions alors probablement très nombreux à hurler notre haine du juif sans crainte de poursuites judiciaires. Mais nous sommes en 2007. Les youtres ont pratiquement réussi à atteindre le but qu'ils poursuivent depuis des millénaires, ni plus ni moins que la maîtrise absolue du monde ! L'antisémitisme est depuis longtemps criminalisé. Il y a même en France une certaine loi Lellouche, du nom du youtre qui en est à l'initiative, qui fait de l'antisémitisme une circonstance aggravante des délits et des crimes ! Heureusement que le net offre à tous les résistants à Z.O.G., et momentanément encore, une relative liberté d'expression.
J'ai fait un rêve : demain l'Iran, enfin pourvu de l'arme nucléaire, après s'être assuré de l'absence de réaction en retour de la Russie et de la Chine, raye Israël de la carte. La plus grande nation juive du monde, enlisée en Irak comme jadis au Viet-Nam, n'ose pas riposter. C'en est alors fini du juif arrogant, au moins pour quelques décennies...
Méditez ces propos, extraits du Testament politique de celui qui était probablement le plus grand homme d'Etat et visionnaire du XXème siècle :
"Aucune guerre n'a été aussi typiquement que celle-ci, ni aussi exclusivement, une guerre juive.
Je les ai en tout cas obligés à jeter bas le masque. Et même si notre entreprise se solde par un échec, cet échec ne saurait être que provisoire. J'aurai ouvert les yeux du monde sur la réalité du péril juif.
Une des conséquences de notre attitude, c'est que nous avons rendu le Juif agressif. Or il est moins dangereux sous cette forme qu'à l'état sournois. Mieux vaut cent fois le Juif qui avoue sa race que le Juif honteux qui prétend ne différer de vous que par la religion. Si je gagne cette guerre, je mets un terme à la puissance juive dans le monde, je la blesse à mort. Si je perds cette guerre, cela n'assure pas davantage leur triomphe - car, eux, ils en perdraient la tête. Ils pousseraient l'arrogance à un tel degré qu'ils provoqueraient par là même le choc en retour. Ils continueraient, bien entendu, de miser sur les deux tableaux, de revendiquer dans tous les pays les avantages des nationaux, et sans renoncer à l'orgueil de demeurer de surcroît les membres de la race élue. Ce serait la fin du Juif honteux, remplacé par le Juif glorieux - aussi puant que l'autre, sinon plus. En sorte que l'antisémitisme ne saurait disparaître, les Juifs eux-mêmes l'alimentant et le ranimant sans cesse. Il faudrait que la cause disparût pour que disparût la réaction de défense. L'on peut faire confiance aux Juifs. L'antisémitisme ne disparaîtra qu'avec eux."
Adolf Hitler, 13 février 1945.
J'ai fait un rêve : demain l'Iran, enfin pourvu de l'arme nucléaire, après s'être assuré de l'absence de réaction en retour de la Russie et de la Chine, raye Israël de la carte. La plus grande nation juive du monde, enlisée en Irak comme jadis au Viet-Nam, n'ose pas riposter. C'en est alors fini du juif arrogant, au moins pour quelques décennies...
Méditez ces propos, extraits du Testament politique de celui qui était probablement le plus grand homme d'Etat et visionnaire du XXème siècle :
"Aucune guerre n'a été aussi typiquement que celle-ci, ni aussi exclusivement, une guerre juive.
Je les ai en tout cas obligés à jeter bas le masque. Et même si notre entreprise se solde par un échec, cet échec ne saurait être que provisoire. J'aurai ouvert les yeux du monde sur la réalité du péril juif.
Une des conséquences de notre attitude, c'est que nous avons rendu le Juif agressif. Or il est moins dangereux sous cette forme qu'à l'état sournois. Mieux vaut cent fois le Juif qui avoue sa race que le Juif honteux qui prétend ne différer de vous que par la religion. Si je gagne cette guerre, je mets un terme à la puissance juive dans le monde, je la blesse à mort. Si je perds cette guerre, cela n'assure pas davantage leur triomphe - car, eux, ils en perdraient la tête. Ils pousseraient l'arrogance à un tel degré qu'ils provoqueraient par là même le choc en retour. Ils continueraient, bien entendu, de miser sur les deux tableaux, de revendiquer dans tous les pays les avantages des nationaux, et sans renoncer à l'orgueil de demeurer de surcroît les membres de la race élue. Ce serait la fin du Juif honteux, remplacé par le Juif glorieux - aussi puant que l'autre, sinon plus. En sorte que l'antisémitisme ne saurait disparaître, les Juifs eux-mêmes l'alimentant et le ranimant sans cesse. Il faudrait que la cause disparût pour que disparût la réaction de défense. L'on peut faire confiance aux Juifs. L'antisémitisme ne disparaîtra qu'avec eux."
Adolf Hitler, 13 février 1945.
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