Friday, January 19, 2007

A propos de la récente condamnation de Bruno Gollnisch

La sévérité de la condamnation de Bruno Gollnisch au regard des éléments retenus à charge, et surtout le fait même qu’on puisse désormais traîner une personne en justice, non plus simplement sur la base des propos réellement exprimés, mais sur celle des arrière-pensées que lui prêtent les juifs, ne sont que trop révélateurs de la tyrannie que ces derniers prétendent encore et toujours exercer, et désormais jusque sur les esprits. Bientôt, le moindre soupçon d’ "antisémitisme", ou même un simple regard un peu trop appuyé sur un quelconque représentant de la "race élue", pourront entraîner pour leurs auteurs des peines de détention ferme, sans oublier le versement de confortables indemnités pour les quelque trente ou quarante associations juives qui ne manqueront certainement pas de se constituer exprès pour l’occasion. Le moindre pet de travers sous l’appendice nasal particulièrement sensible, parce qu’ordinairement très développé, comme chacun le sait, d’un juif, pourrait valoir la perpétuité réelle. Et que dire si quelque part, quelqu’un attrapait un petit youtre pour le clouer sur la porte d’une grange par exemple, comme cela pouvait se faire en Pologne ou en Hongrie il y a moins d’un siècle ? Ce serait alors la condamnation de la nation entière, et les sempiternelles demandes de réparation en faveur de ses proches, de ses relations, de toute la communauté, et ce pour l’éternité ?

Après l’appel des historiens à la libre recherche historique, la récente dénonciation par des juristes des lois mémorielles ne peut être que très insuffisante pour espérer inverser le cours des événements actuels. Le pouvoir juif s’étend chaque jour davantage, et avec lui la domination incontestée de la finance apatride, la tyrannie du profit maximal, la généralisation dans les consciences occidentales des valeurs de jouissance immédiate et de consommation effrénée caractéristiques du matérialisme tout oriental des juifs. Les pires mensonges holocaustiques qu’ait pu engendrer leur imagination débridée sont, évidemment sans le moindre scrupule, exploités par eux dans le même esprit de lucre que le souvenir de leurs propres morts, et passent pour des vérités définitivement établies et incontestables. C’est ainsi que tous ceux d’un Elie Wiesel, pour ne citer qu’un seul nom parmi ceux de tant d’autres menteurs, ne peuvent être dénoncés par quiconque ne serait pas juif sans risque de lourdes représailles à son encontre. On prétend, contre toute vraisemblance, que six millions de juifs ont disparu dans de magiques chambres à gaz exterminatrices, soit l’équivalent de la population juive totale de l’Europe entière dans les toutes dernières années du XIXème siècle. On rend un hommage particulièrement appuyé aux "Justes", c’est-à-dire à ces hommes et femmes qui ont objectivement trahi leur patrie, et parfois même mis en danger leurs proches, leurs voisins, pour venir en aide à des étrangers qui n’étaient que de passage sur le sol français, que de leur propre aveu ils ne connaissaient même pas, et finalement pour la seule gloire d’Israël ! Il n’est pas jusqu’aux opérations d’évacuation de la main-d’oeuvre valide des camps de détention, devant l’avance des prétendus "libérateurs", et pour la soustraire aux bombardements criminels des anglo-Américains, qui ne soient désormais présentées à l’opinion comme des "marches de la mort" au cours desquelles se seraient commises les pires atrocités, et les déportés eux-mêmes comme d’anachroniques "boucliers humains" ! Et, dans le même temps, on se demandera sans rire pourquoi les alliés n’ont pas bombardé les convois ou les camps !

Non. Si on veut que la recherche historique soit à nouveau libre, que des mensonges éhontés au profit exclusif d’une communauté très particulière cessent de lui dicter ses orientations et ses vérités, si on veut pouvoir à nouveau parler et écrire en France sans risquer les tribunaux, parce qu’on aura déplu à ceux qui tiennent depuis trop longtemps le haut du pavé, qui font l’information, le divertissement, qui nous imposent même leurs propres canons esthétiques, si on veut que tous ces riches bourgeois, tel un Sarkozy comme tant d’autres, cessent de se poser en d’éternelles victimes d’imaginaires souffrances, alors il ne faut pas se tromper de combat. C’est bien contre les juifs que celui-ci devra reprendre, et cette fois sans la moindre faiblesse.

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