Un article de l'Arche sur l'affaire Ménargues
Article profondément malhonnête, ce qui n'a rien d'étonnant quand on connaît le torchon d'où il provient : on ne fera jamais passer une luxueuse revue communautariste juive (preuve qu'ils ont les moyens !) dont l'unique objet n'est que de dénoncer inlassablement, de numéro en numéro, un prétendu "antisémitisme", dans le but de conforter cette obsession victimaire caractéristique de la mentalité juive, pour une publication sérieuse. Tous ces goyim, prétendument tous unis contre Israël, ne visant tous que la perte d'Israël ! Et puisque l'Arche se prétend être une publication de haute tenue intellectuelle, titre évidemment bien usurpé dès lors qu'on en considère le réel objet, on ne manque pas de dénoncer à chaque fois qu'on le peut, les "sottises", l' "inculture", ou encore les "préjugés antisémites" de ses adversaires, évidemment.
Le livre d’Alain Ménargues, Le Mur de Sharon, n’a évidemment rien d’un pamphlet antisémite, excepté au goût de certains juifs extrémistes, ceux dont la solidarité avec la politique menée par l’Etat d’Israël sur la terre de Palestine est à ce point inconditionnelle et irréfléchie qu’ils se trouvent totalement incapables de prendre un minimum de recul et de distance critique à l’égard d’eux-mêmes et de leur propre histoire. Dans le cas contraire, ils comprendraient que les youpins avec leur "mur de sécurité" sont évidemment en train de réinventer pour les Palestiniens le ghetto... et s’enferment eux-mêmes dans leur haine irrationnelle des "Arabes" qui leur vaut actuellement la suspicion de toutes les nations du monde. Qui plus est, le livre d’Alain Ménargues est paru au mauvais moment, celui où les youtres en France, évidemment en position de pouvoir, intriguaient pour obtenir que la moindre critique émise par un goy à l’égard de la politique israélienne en Palestine soit passible des tribunaux en tant qu’ "injure antisémite" ! Leur unique argument au soutien d’une telle aberration est le suivant : puisque Israël, c’est le peuple juif, dénoncer la politique d’Israël, c’est s’en prendre aux menées des juifs, ce qui ne saurait être que de l’antisémitisme, puisque le prétendu "antisionisme" n’est que le masque de l’ "antisémitisme" ! C’est certain qu’ "antisionisme", ce n’est souvent qu’un euphémisme, puisque la loi ne l’interdit pas encore, et qu’en revanche on ne peut plus se déclarer publiquement anti-youtres, "antisémite", anti-cafards, anti-parasites... La proposition de loi visant à assimiler la moindre critique de nature antisioniste à un délit d’ "antisémitisme" existe bien. Elle se trouve contenue dans le rapport Rufin, auquel l’article de l’Arche fait une discrète allusion.
La liste est évidemment très longue de tous les journalistes, éditeurs et intellectuels inquiétés pour "antisémitisme" et sommés de se justifier devant les tribunaux. Quant au changement de ligne éditoriale du Monde diplomatique, c’est un fait incontestable. Chacun peut s’en rendre compte en en parcourant les archives.
Le livre d’Alain Ménargues, Le Mur de Sharon, n’a évidemment rien d’un pamphlet antisémite, excepté au goût de certains juifs extrémistes, ceux dont la solidarité avec la politique menée par l’Etat d’Israël sur la terre de Palestine est à ce point inconditionnelle et irréfléchie qu’ils se trouvent totalement incapables de prendre un minimum de recul et de distance critique à l’égard d’eux-mêmes et de leur propre histoire. Dans le cas contraire, ils comprendraient que les youpins avec leur "mur de sécurité" sont évidemment en train de réinventer pour les Palestiniens le ghetto... et s’enferment eux-mêmes dans leur haine irrationnelle des "Arabes" qui leur vaut actuellement la suspicion de toutes les nations du monde. Qui plus est, le livre d’Alain Ménargues est paru au mauvais moment, celui où les youtres en France, évidemment en position de pouvoir, intriguaient pour obtenir que la moindre critique émise par un goy à l’égard de la politique israélienne en Palestine soit passible des tribunaux en tant qu’ "injure antisémite" ! Leur unique argument au soutien d’une telle aberration est le suivant : puisque Israël, c’est le peuple juif, dénoncer la politique d’Israël, c’est s’en prendre aux menées des juifs, ce qui ne saurait être que de l’antisémitisme, puisque le prétendu "antisionisme" n’est que le masque de l’ "antisémitisme" ! C’est certain qu’ "antisionisme", ce n’est souvent qu’un euphémisme, puisque la loi ne l’interdit pas encore, et qu’en revanche on ne peut plus se déclarer publiquement anti-youtres, "antisémite", anti-cafards, anti-parasites... La proposition de loi visant à assimiler la moindre critique de nature antisioniste à un délit d’ "antisémitisme" existe bien. Elle se trouve contenue dans le rapport Rufin, auquel l’article de l’Arche fait une discrète allusion.
La liste est évidemment très longue de tous les journalistes, éditeurs et intellectuels inquiétés pour "antisémitisme" et sommés de se justifier devant les tribunaux. Quant au changement de ligne éditoriale du Monde diplomatique, c’est un fait incontestable. Chacun peut s’en rendre compte en en parcourant les archives.
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