Tuesday, February 06, 2007

D'où leur vient leur "haine de la France" ?

Tout SOCIALISTE, certes nationaliste et européen aussi, pourra ici répondre de la même façon. Evidemment, est-il nécessaire de le rappeler, nous n’avons rien de commun avec cette fausse gauche, sociologiquement bourgeoise, prônant le métissage exacerbé, l’immigration incontrôlée, vantant les pires dérives et déviances que nos sociétés aient pu engendrer, et le plus souvent simplement afin de se donner bonne conscience. C’est l’attitude du bourgeois qui jugera horrifiante et inhumaine la politique démagogique du nain à l’égard des sans-papiers, mais à qui il ne viendrait pas même l’idée de tendre la main à un pauvre, si ce pauvre n’est pas au minimum un négro, ne vient pas d’Afrique, n’est pas non plus pédé, sidaïque, ou bien au contraire chargé d’une flopée d’enfants en bas âge... L’ "immigrationnisme forcené" est actuellement un réel problème partout en Europe, mais ce problème pourra être résolu dès lors que notre vieux continent se résoudra enfin à échanger ses valeurs matérialistes, tournées vers la consommation effrénée, contre son identité retrouvée. A ce moment-là, c’en sera fini avec ces vagues d’allogènes que plus personne n’est désormais en mesure de contenir, parce que le visage même de l’Europe aura fondamentalement changé pour toute l’Afrique, pour l’Asie, et tout le reste du monde...

La France, les Français, le vieux slogan "maître chez soi", etc., cela ne constitue-t-il pas des injonctions totalement dépassées ? Nous sommes, nous, des Européens, partisans de cette Europe nouvelle qui avait déjà fait son unité il y a plus de soixante ans, et qui ne demande qu’à renaître. Rien à voir avec l’Europe des marchands unis, de ceux qui font prétendument "tourner la France", mais qui en réalité ne font que pressurer le pays où ils sont établis pour satisfaire uniquement leur cupidité et leur soif de pouvoir. Nous voulons une Europe des régions, judenfrei, établie sur des bases réellement identitaires. C’est alors que les Basques, qu’ils aient été par le passé Espagnols ou Français, pourront dialoguer d’égal à égal avec les Alsaciens comme avec les Slovènes, les Prussiens comme les Sardes. Ce sera l’Europe des patries charnelles, dans laquelle il ne sera plus possible à un cosmopolite sans racines, qu’il s’affirme lui-même d’origine hongroise, ou bien judéo-maltaise, de revendiquer une citoyenneté abstraite et purement administrative. Ses prétentions intenables à être partout comme chez lui se verraient comme le nez au milieu du visage... Il faut vraiment être rendu aveugle au sens de l’histoire, à la réalité de ces aspirations des peuples qui se font jour partout en Europe pour retrouver leur identité propre, leur culture, leurs droits à un gouvernement autonome, pour s’imaginer que le cadre des anciennes nations, qui ne seraient liées entre elles que par les intérêts du commerce, n’est pas destiné à éclater finalement.

Bien entendu, nous autres Aryens, n’avons pas oublié que nos racines sont païennes. La fameuse "culture judéo-chrétienne", ce n’est pour nous que le poison de l’universalisme corrupteur des cultures que ce cochon de juif est parvenu à instiller dans les consciences européennes, et que le christianisme n’a cessé, quant à lui, de répandre partout. Il ne faut jamais perdre de vue le fait que les juifs sont tous également des hommes, mais que les youtres seuls sont réellement humains, puisqu’à leurs yeux les goyim ne sont jamais que de la "semence de bétail", à ce qu’ils affirment. Le christianisme a récupéré à son compte ce dogme d’une égale dignité de tous les êtres humains, quelle que soit leur provenance, leurs capacités propres ou bien même encore la dignité de leurs actions. Aujourd’hui, il redécouvre ses origines judaïques, longtemps masquées par lui. Mais, entre temps, les youpins sont bel et bien parvenus à leurs fins. Leur règne est devenu sans partage. Les rapports entre les hommes ne sont plus qu’intéressés. Le monothéisme a bel et bien triomphé, puisqu’un seul dieu est désormais partout vénéré, le vrai dieu des juifs : l’argent. Les pauvres sont écrasés. Les riches, comme tous produits sur un même modèle, tous aussi cupides les uns que les autres, tous également bouffis du même orgueil mal placé, triomphent, et méprisent ouvertement tous ceux qu’ils dominent et exploitent sans vergogne : ce ne sont que des ratés, ils ne travailleraient pas assez, ne seraient pas suffisamment entreprenants, mobiles, réactifs, etc. etc.

Enfin, croyez-vous un seul instant que Charlemagne ou Saint Louis, Dante ou Corneille, Bach ou Wagner, Maupassant ou Pouchkine, Pasteur ou Heisenberg, et tant d’autres encore, aient tous été des judéo-chrétiens, ou bien d’abord des Aryens, et accidentellement de culture chrétienne ? Et à l’opposé, le nabot égocentrique à talonnettes, s’il se dit lui-même, sans rire, d’abord Français, peut-il un seul instant se déclarer Aryen ?

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