L'Holocauste à l'honneur
L'Assemblée générale des Nations Unies a adopté hier par consensus, c’est-à-dire SANS le moindre VOTE, et à l'UNANIMITE des présents une résolution condamnant sans réserve "tout déni de l'Holocauste en tant qu'événement historique, que ce déni soit total ou PARTIEL, ou TOUTE ACTIVITE menée en ce sens." Ainsi, la chasse aux sorcières va pouvoir sérieusement commencer, encore plus répressive que par le passé. Israël aura toute latitude désormais pour "exploiter les crimes du passé comme prétextes à la mise en œuvre de nouveaux crimes et génocides", a déclaré l’ambassadeur de l’Iran à l’ONU. C’est alors que l’ambassadeur d’Israël a simplement ironisé en ces termes : "Il n’y a jamais eu d’holocauste mais, au cas où, nous allons finir le travail", alors même que l’Iran a bien signé le fameux traité de non prolifération nucléaire, que son programme nucléaire est exclusivement civil, et que ce pays n’a jamais annoncé une quelconque intention d’utiliser l’arme nucléaire qu’il ne possède pas contre Israël (la réciproque étant évidemment fausse !). Mais Cukiermann prétendait la même chose au cours de l’événement mondain de l’année, le dîner annuel du CRIF...
A propos de celui-là, chacun peut constater qu’on est bien revenu plus de soixante ans en arrière, à l’époque où les plus lâches des Français venaient lécher les bottes des autorités d’occupation. Tout peut être ici vérifié : on a bien la mondaine, l’élégante (Marie-Ségolène Royal), au bras de l’habitué des lieux (François Hollande), tous deux venus faire acte d’allégeance au représentant de la puissance étrangère en France (Cukiermann), tous les autres affairistes que la France peut compter venus avec empressement, espérant bien tirer un avantage personnel de la collaboration avec l’ennemi (François Bayrou par exemple, parmi tant d’autres), le chef de la Gestapo (laquelle n’a jamais opéré sur le territoire français, est-il nécessaire de le rappeler, mais c’est la légende juive désormais consacrée qui l’affirme) en personne (Nicolas Sarkozy) venu faire son habituelle apparition... On a même le littérateur prétendument brillant, puisque promis à une belle carrière par la grâce des juifs (Robert Redeker), invité à honorer le dîner de sa présence. Celui-là pourra désormais intégrer la prestigieuse équipe des jeunes penseurs promis à un bel avenir (Pierre-André Taguieff par exemple, dont chacun a à l’esprit les travaux spécialement révolutionnaires sur, entre autres, l’héritage de l’antijudaïsme des ligues du XIXème siècle pieusement recueilli par les bronzés analphabètes des banlieues françaises...) Dans le même temps, on pourfendra tous ces résistants prétendument vendus à l’Iran, tous ces "Nazislamistes", ces métèques chers à Finkielkraut, le futur ministre de la propagande... Et on devra supporter cette situation-là encore longtemps ?
A propos de celui-là, chacun peut constater qu’on est bien revenu plus de soixante ans en arrière, à l’époque où les plus lâches des Français venaient lécher les bottes des autorités d’occupation. Tout peut être ici vérifié : on a bien la mondaine, l’élégante (Marie-Ségolène Royal), au bras de l’habitué des lieux (François Hollande), tous deux venus faire acte d’allégeance au représentant de la puissance étrangère en France (Cukiermann), tous les autres affairistes que la France peut compter venus avec empressement, espérant bien tirer un avantage personnel de la collaboration avec l’ennemi (François Bayrou par exemple, parmi tant d’autres), le chef de la Gestapo (laquelle n’a jamais opéré sur le territoire français, est-il nécessaire de le rappeler, mais c’est la légende juive désormais consacrée qui l’affirme) en personne (Nicolas Sarkozy) venu faire son habituelle apparition... On a même le littérateur prétendument brillant, puisque promis à une belle carrière par la grâce des juifs (Robert Redeker), invité à honorer le dîner de sa présence. Celui-là pourra désormais intégrer la prestigieuse équipe des jeunes penseurs promis à un bel avenir (Pierre-André Taguieff par exemple, dont chacun a à l’esprit les travaux spécialement révolutionnaires sur, entre autres, l’héritage de l’antijudaïsme des ligues du XIXème siècle pieusement recueilli par les bronzés analphabètes des banlieues françaises...) Dans le même temps, on pourfendra tous ces résistants prétendument vendus à l’Iran, tous ces "Nazislamistes", ces métèques chers à Finkielkraut, le futur ministre de la propagande... Et on devra supporter cette situation-là encore longtemps ?
0 Comments:
Post a Comment
<< Home