Tuesday, January 23, 2007

Mesures

Sur le forum communautariste juif http://www.col.fr/forum/ un fil de discussion suffisamment intéressant pour être signalé. Un jeune (non juif) interroge naïvement en ces termes : comment se fait-il que tous ces jeunes juifs que je fréquente, et j’en connais beaucoup, puissent étaler à ce point et sans la moindre honte tout ce fric qui leur vient de leur famille, avec le plus profond mépris pour tous ceux qui n’ont pas les moyens de se vautrer dans le même luxe qu’eux ? Par leur attitude même, ne viennent-ils pas conforter davantage cet "antisémitisme" dont ils se plaindront ensuite d’être les éternelles victimes ? JH aurait pu lui répondre. Un tel comportement est parfaitement attendu. C’est simplement la conséquence 1) de ce matérialisme jouisseur caractéristique de la psychologie du youtre, telle qu’héritée du Talmud et du ghetto, façonnée par tout le conditionnement qu’ils ont pu subir au sein de leur famille, de leur communauté, renforcée par leur indiscutable complexe de supériorité 2) de cette éducation pourrie à force de laxisme qui est devenue la règle dans ces milieux fortement américanisés. Et la religion du juif n’est-elle pas depuis toujours : l’argent ? Entrez donc dans n’importe quel intérieur juif, et là, vous le constaterez bien, si vous pouvez supporter la vue de ces lieux sans vomir : ce luxe qui s’étale partout, l’atmosphère de riche lupanar qu’on ressent dans les moindres recoins, et ici, bien en place, au centre de tous les regards, l’encadrement du premier billet de cent dollars (même pas des francs ou des euros, mais bien des dollars !) qu’on aura réussi à escroquer à un goy... Et l’"antisémitisme" n’est pas prêt ainsi de disparaître, puisque, non seulement il constitue une saine réaction de défense de la part du peuple qui s’efforce de se débarrasser de toute cette pourriture, mais il est encore entretenu par les youpins eux-mêmes, par leurs attitudes, leurs comportements, et par le fait qu’ils s’en servent à leur profit. Mais, même pour les esprits parfaitement avertis de la question juive, les réponses faites sur col.fr au jeune non juif ne laissent pas de surprendre. Là où on s’attendrait à lire plutôt : de telles attitudes sont parfaitement condamnables, mais tous les jeunes youtres ne sont pas comme ceux-là... ; ou bien : tu pourrais très bien faire les mêmes observations à propos de tous ces "fils à papa" qui ne sont pas juifs... ; on lui objecte sans le moindre complexe que tous ceux qui critiquent le comportement des jeunes juifs ne sont que des envieux, qui jalousent leur argent, parce que eux, seraient des ratés, des moins que rien, et … des antisémites déjà, évidemment !

Ici même [sur fr.soc.politique], il y a quelques jours, un intervenant constatait que les discussions étaient sans rapport avec ces préoccupations de la majorité des Français qu’on pouvait juger prioritaires, c’est-à-dire la chute de leur pouvoir d’achat et l’emploi, et que fr.soc.politique était décidément bien éloigné de la société réelle. JH invite pour sa part chacun à faire les observations et constatations qui suivent, et à en tirer les conclusions qui s’imposent. Rendez-vous par exemple sur n’importe quelle zone commerciale quelque part dans la banlieue d’une ville quelconque, de préférence dans une région où l’activité industrielle était autrefois bien représentée, et aujourd’hui déclinante ou bien inexistante. Cela ne manque plus désormais dans notre pays, où domine la seule loi du profit maximal. Là, vous croiserez réellement la France qui souffre, celle qu’on ne voit pas dans les beaux quartiers, et encore moins des ministères ou du "Château". Celle qui ne fréquente certainement pas les forums de discussion. Mais en revanche, celle qui sait bien ce que sont les fins de mois difficiles et les revenus insuffisants pour vivre décemment, le crédit revolving (lorsqu’on y a encore accès) qui sert à payer les grosses dépenses, parce qu’on ne peut faire autrement, ou les frais imprévus, les quelques dizaines d’euros qu’on refuse au guichet de la Poste parce que le livret d’épargne est insuffisamment approvisionné, le chèque sans provision qu’on passe quand même à la caisse du supermarché parce qu’il faut bien acheter de quoi faire manger les enfants... Il y a une indéniable noblesse chez eux tous, parce tous restent malgré tout profondément HONNÊTES, francs, simples, et dignes. C’est bien là la classe ouvrière qui force le respect. Allez maintenant à Paris, quartier du Marais, ou bien à Deauville ou à Cannes... Là, vous ne verrez pratiquement que de riches commerçants jouisseurs, ou bien des vieilles outrageusement trafiquées, vivant bien confortablement de leurs placements financiers. Observez bien ce teint, ces bouches, ces nez... Vous reconnaîtrez facilement la race en question. Et il y a pire encore, même s’il faut aller pour le voir à Genève, à Londres, ou plus loin encore, à Wall Street, à Hollywood, ou bien alors directement en Israël, à Ashkelon par exemple, cette station à la mode chez les youpins francophones, là où les plus grosses fortunes juives de France marient leurs enfants, et flambent de l’argent sale à longueur de journée en faisant tout venir de France par avion... C’est là que vous comprendrez quel sens peut réellement avoir la toute récente formule du Sarkojuif : "rendre 68 milliards d'euros aux Français". Cela signifie bien : encore plus de fric pour les youtres, et toujours plus de sacrifices pour tous les autres. Qui profite sinon dans les faits de la dette de la France ? Qui sont sinon tous ces intermédiaires qui jouent sur la hausse continue du prix du pétrole, ou bien de celle des matières premières, en spéculant à la fois sur les prix et les quantités disponibles à six ou huit mois encore ? Quels commerces et autres trafics s’agit-il sinon par la politique actuelle, non seulement de maintenir, mais même de conforter ? C’est ainsi que le petit youtre préconise de réduire encore davantage les droits de succession, d’abaisser le fameux "bouclier fiscal" voulu par eux à 50 % seulement des revenus déclarés, d’alléger encore les charges sociales et les impôts ; cela, c’est évidemment pour les riches et les youpins. Pour les salariés en revanche, à bien moins de 4.000 euros par mois, c’est toujours "travailler plus pour gagner plus", permettre à ceux que "cela intéresse" (sans rire ?), et uniquement parmi ceux qui sont déjà usés par le travail, évidemment pas chez les rentiers, de "travailler jusqu’à 70 ans", ou encore, exactement comme aux USA, de laisser à terme à la charge des familles leurs dépenses médicales, bientôt toutes les dépenses liées à la scolarité des enfants.

C’est ainsi que les juifs doivent bien disparaître, si nous voulons seulement vivre dans une société plus saine, en lieu et place de ce monde complètement pourri sous sa forme actuelle, parce que totalement gangrené par la vermine juive.

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