Hitler et les chambres à gaz
Allons un peu plus loin qu’à l’accoutumée, si vous le voulez bien. Non seulement en effet vous aurez beau lire et relire Mein Kampf dans tous les sens, vous n’y trouverez pas la moindre intention exterminationiste déclarée.
Mais lisez donc encore les Libres Propos sur la guerre et sur la paix, tels que recueillis par le secrétaire du Führer, Martin Bormann, traduits en Français et publiés chez Flammarion. Les deux volumes publiés, et jamais réédités depuis, couvrent toute la période de la guerre, jusqu’à avril 1945. Le Führer se livrait alors en toute liberté (on dirait dans le jargon d’aujourd’hui : "se lâche") sur à peu près tous les sujets, incluant évidemment la question juive, sur laquelle il se montre tout particulièrement loquace à bien des reprises. Or, là encore, aucune volonté d’exterminer les juifs d’Europe ne s’y trouve exprimée. Jusqu’au bout, Hitler n’a jamais parlé que de transférer les juifs hors de l’espace vital allemand, ou de les refouler, toujours plus, de l’autre côté des frontières de l’Allemagne. Et cela, chacun pourra encore aujourd’hui le vérifier.
Alors ? On ne lui aurait jamais rien dit ? On lui aurait caché jusqu’à l’extermination des juifs ? Curieux, non ? Ou bien ce serait Himmler le seul responsable ? Et les Anglais auraient sans doute alors bien fait de le suicider : ses probables révélations auraient été sinon bien gênantes pour les démocraties...
Passons maintenant au témoignage de Gerhart Riegner : Ne jamais désespérer. Soixante années au service du peuple juif et des droits de l'homme, publié aux éditions du Cerf. L’auteur, qui fut secrétaire général du Congrès Juif Mondial, avoue avoir toujours agi dans l’intérêt exclusif du peuple juif, et n’avoir jamais rien cédé durant sa longue carrière à quiconque. Les autres, tous les autres, les autorités allemandes, françaises, polonaises, ou bien encore soviétiques, la Croix Rouge, le Vatican, le Conseil oecuménique des Églises, le gouvernement égyptien, etc., ne sont jamais à ses yeux que des ennemis d’Israël ! Tous, sans la moindre exception. Relatant son expérience des années de la guerre, il explique par le menu, et en toute transparence, comment depuis son bureau de Genève il avait alors décidé d’amplifier les rumeurs qui circulaient à l’époque à propos des camps allemands, et d’après lesquelles on y infligeait de mauvais traitements aux détenus juifs, on les torturait, les massacrait en masse. L’intérêt d’agir ainsi, en fait-il l’aveu, c’était de mettre le Congrès Juif Mondial en position de force pour négocier le sort des juifs prisonniers de guerre, des enfants juifs déportés, puis des juifs hongrois.
Son cynisme proprement effarant éclate plus particulièrement aux pages 147 et 148, lorsque Riegner évoque cette fin de non recevoir qui fut opposée par le CJM à la proposition faite par l’Administration des camps de remettre en liberté un million de déportés juifs contre la livraison par les alliés de 10.000 camions. Les Conseils juifs étaient quant à eux déjà prêts à négocier, mais lui, Riegner, estimait que "le seul trait positif de ces discussions était de ralentir les opérations de déportation. Pour cela, il fallait adopter des positions d'attente et faire traîner les discussions en longueur, bref, gagner du temps." On est évidemment ici à mille lieues de l’histoire officielle affirmant quant à elle la réalité des gazages massifs durant cette même période, et l’urgence qu’il y avait alors à sauver les juifs. Mais, Riegner lui-même en fait l’aveu page 150 : "Dans beaucoup de circonstances n'ont survécu que les gens qui étaient les plus forts et souvent sans scrupules." Comment cela ? Tous n’étaient-ils pas rendus soudainement égaux dans la chambre à gaz ? Le personnage n’est évidemment pas à une contradiction près.
Des pages plus loin (pages 442 et 443, à propos de la béatification d’Edith Stein), il parle de "6 millions de juifs annihilés par les nazis" dans les chambres à gaz, avouant se montrer particulièrement sourcilleux, maintenant que l’imputation est bien établie dans l’opinion, que Jean-Paul II à Cologne puisse présenter sur sa propre recommandation, et contre toute raison, Edith Stein comme restée juive, et non comme convertie au catholicisme, et employer dans son homélie le mot "shoah" de préférence à celui d’ "holocauste".
En résumé, et alors même que se trouve partout célébré ces jours-ci, et au grand dam du peuple palestinien et de ses soutiens, l’anniversaire de la fondation d’Israël, il peut être utile de rappeler ces vérités qui en dérangeront certainement plus d’un. Finalement, l’État des juifs ne serait-il pas bâti sur du sable (et de la bonne terre fertile escroquée ou simplement confisquée) par des colons juifs, certainement pas majoritairement et miraculeusement rescapés des camps, mais bien plutôt aguerris par la lutte terroriste, par avance disposés à toutes les manipulations et mensonges, et assurés du soutien des juifs du monde entier ?
Mais lisez donc encore les Libres Propos sur la guerre et sur la paix, tels que recueillis par le secrétaire du Führer, Martin Bormann, traduits en Français et publiés chez Flammarion. Les deux volumes publiés, et jamais réédités depuis, couvrent toute la période de la guerre, jusqu’à avril 1945. Le Führer se livrait alors en toute liberté (on dirait dans le jargon d’aujourd’hui : "se lâche") sur à peu près tous les sujets, incluant évidemment la question juive, sur laquelle il se montre tout particulièrement loquace à bien des reprises. Or, là encore, aucune volonté d’exterminer les juifs d’Europe ne s’y trouve exprimée. Jusqu’au bout, Hitler n’a jamais parlé que de transférer les juifs hors de l’espace vital allemand, ou de les refouler, toujours plus, de l’autre côté des frontières de l’Allemagne. Et cela, chacun pourra encore aujourd’hui le vérifier.
Alors ? On ne lui aurait jamais rien dit ? On lui aurait caché jusqu’à l’extermination des juifs ? Curieux, non ? Ou bien ce serait Himmler le seul responsable ? Et les Anglais auraient sans doute alors bien fait de le suicider : ses probables révélations auraient été sinon bien gênantes pour les démocraties...
Passons maintenant au témoignage de Gerhart Riegner : Ne jamais désespérer. Soixante années au service du peuple juif et des droits de l'homme, publié aux éditions du Cerf. L’auteur, qui fut secrétaire général du Congrès Juif Mondial, avoue avoir toujours agi dans l’intérêt exclusif du peuple juif, et n’avoir jamais rien cédé durant sa longue carrière à quiconque. Les autres, tous les autres, les autorités allemandes, françaises, polonaises, ou bien encore soviétiques, la Croix Rouge, le Vatican, le Conseil oecuménique des Églises, le gouvernement égyptien, etc., ne sont jamais à ses yeux que des ennemis d’Israël ! Tous, sans la moindre exception. Relatant son expérience des années de la guerre, il explique par le menu, et en toute transparence, comment depuis son bureau de Genève il avait alors décidé d’amplifier les rumeurs qui circulaient à l’époque à propos des camps allemands, et d’après lesquelles on y infligeait de mauvais traitements aux détenus juifs, on les torturait, les massacrait en masse. L’intérêt d’agir ainsi, en fait-il l’aveu, c’était de mettre le Congrès Juif Mondial en position de force pour négocier le sort des juifs prisonniers de guerre, des enfants juifs déportés, puis des juifs hongrois.
Son cynisme proprement effarant éclate plus particulièrement aux pages 147 et 148, lorsque Riegner évoque cette fin de non recevoir qui fut opposée par le CJM à la proposition faite par l’Administration des camps de remettre en liberté un million de déportés juifs contre la livraison par les alliés de 10.000 camions. Les Conseils juifs étaient quant à eux déjà prêts à négocier, mais lui, Riegner, estimait que "le seul trait positif de ces discussions était de ralentir les opérations de déportation. Pour cela, il fallait adopter des positions d'attente et faire traîner les discussions en longueur, bref, gagner du temps." On est évidemment ici à mille lieues de l’histoire officielle affirmant quant à elle la réalité des gazages massifs durant cette même période, et l’urgence qu’il y avait alors à sauver les juifs. Mais, Riegner lui-même en fait l’aveu page 150 : "Dans beaucoup de circonstances n'ont survécu que les gens qui étaient les plus forts et souvent sans scrupules." Comment cela ? Tous n’étaient-ils pas rendus soudainement égaux dans la chambre à gaz ? Le personnage n’est évidemment pas à une contradiction près.
Des pages plus loin (pages 442 et 443, à propos de la béatification d’Edith Stein), il parle de "6 millions de juifs annihilés par les nazis" dans les chambres à gaz, avouant se montrer particulièrement sourcilleux, maintenant que l’imputation est bien établie dans l’opinion, que Jean-Paul II à Cologne puisse présenter sur sa propre recommandation, et contre toute raison, Edith Stein comme restée juive, et non comme convertie au catholicisme, et employer dans son homélie le mot "shoah" de préférence à celui d’ "holocauste".
En résumé, et alors même que se trouve partout célébré ces jours-ci, et au grand dam du peuple palestinien et de ses soutiens, l’anniversaire de la fondation d’Israël, il peut être utile de rappeler ces vérités qui en dérangeront certainement plus d’un. Finalement, l’État des juifs ne serait-il pas bâti sur du sable (et de la bonne terre fertile escroquée ou simplement confisquée) par des colons juifs, certainement pas majoritairement et miraculeusement rescapés des camps, mais bien plutôt aguerris par la lutte terroriste, par avance disposés à toutes les manipulations et mensonges, et assurés du soutien des juifs du monde entier ?
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