Liberté d'expression, sur fr.soc.politique
Votre plaidoyer en faveur de la liberté d'expression me paraît si fin et intelligent, en dépit de votre qualité déclarée d’ "ami d’Israël", dont j’accepte de faire totalement abstraction, que j’estime avoir le devoir de vous répondre. Je suis en effet convaincu pour ma part que vous vous égarez totalement dans votre volonté de diaboliser l’adversaire : vous tendez à me présenter comme un monomaniaque avéré, animé d’un "antisémitisme" qui serait toujours par son essence même profondément irrationnel, adepte d’on ne sait quelle fumeuse "théorie du complot", pourfendeur de la conjuration internationale des juifs, lesquels, c’est bien connu, tirent toujours les ficelles, etc. Non. Une telle construction intellectuelle pour le moins incongrue et hasardeuse est simplement due à votre ami Pierre-André Taguieff, toujours en mal d’explications de l’ "antisémitisme" contemporain et de ses résurgences. Son postulat de base étant que les juifs eux-mêmes, prétendus essentiellement, et sans la moindre exception, victimes innocentes, artificiellement présentés comme d’éternels boucs émissaires, n’ont jamais rien fait pour mériter l’ "antisémitisme" dont ils ne seraient en rien responsables. Il faudrait toujours lire et relire plutôt Bernard Lazare, et, au-delà, au moins chercher à comprendre vraiment pourquoi, dès qu’il y a eu des juifs qui ont pu être identifiés en tant que tels, ceux-là se sont-ils trouvés immédiatement en bute à l’hostilité de tous les peuples chez qui ils s’étaient trouvés établis, et dont ils abusaient invariablement au plus haut point de l’hospitalité. Même en Palestine.
Comprenez bien que jamais personne encore n’a eu l’idée bien saugrenue de nier la réalité des camps établis à l’Est de l’Europe vers le milieu du siècle dernier. Personne n’a jamais nié que des trains roulaient vers ces destinations-là, qu’ils étaient chargés de déportés, que les conditions de vie, de transport, et de travail dans les camps étaient souvent fort déplorables, surtout dans les derniers mois de la guerre. Seulement, il faut bien dénoncer les mensonges des juifs, surtout en ce jour de souvenir de la déportation (et en avez-vous seulement entendu parler aujourd’hui au travers des médias ? pour ma part, je crains plutôt que le shoah-centrisme ait bien fini par éclipser tout le reste...) : le seul et unique objectif jamais poursuivi par le national-socialisme du siècle dernier était-il l’extermination massive des juifs dans des camps renommés pour la circonstance d’ "extermination" par le gaz surtout, et à une échelle industrielle ? Personnellement, et tout comme le vieillard milliardaire Le Pen, je ne crois pas du tout à cette histoire-là. Je crois même pouvoir refaire la genèse de cette légende urbaine proprement judaïque.
Dans les mois qui ont suivi immédiatement la libération des camps, il me semble bien qu’aucun Français ne s’interrogeait quant à la religion, l’appartenance ethnique ou les raisons ayant valu la déportation de tel ou tel individu au pyjama rayé qui revenait désormais librement humer l’air de Paris. Pourquoi celui-là avait-il été déporté ? Qui était-il au juste ? En était-il ou non, de telle ou telle tribu, peu importait alors. Et à cette même époque, des parents, eux, se trouvaient inquiétés, pourchassés, puisqu’ils se trouvaient, eux, désormais versés du mauvais côté, celui de l’ennemi vaincu. Et on ne dira jamais assez combien de civils totalement innocents, de femmes, d’enfants, de nourrissons même, ont été exterminés simplement parce qu’ils avaient eu la malchance d’être nés Allemands. Sait-on au moins que les Anglais avaient alors projeté de stériliser tout Allemand adulte, pour que le peuple allemand tout entier puisse être voué à l’extinction ? que les troupes soviétiques, majoritairement composées d’Asiates, tout comme les nègres américains, qui formaient alors des compagnies séparées, avaient reçu l’ordre de violer toute Allemande, et peu importe son âge ? Et puis, lentement, progressivement, l’histoire s’est-elle trouvée réécrite au profit exclusif des juifs. On a commencé par relativiser totalement et minimiser le rôle des résistants. Que de tous jeunes gens par exemple aient été totalement manipulés par Londres, à qui on faisait miroiter l’espoir d’échapper au STO (même Georges Marchais y est naguère parti), se soient trouvés tués sur le plateau des Glières, parce que en face de troupes allemandes plus aguerries, est bien un fait historique, il me semble ! Puis, on a laissé croire que le but unique du socialisme national n’a jamais été que l’extermination des juifs, l’histoire s’étant trouvée toujours plus shoah-centrée.
Je daterais le conformisme désormais établi dans les esprits de la diffusion sur les chaînes de télévision américaine, puis européennes, de la fiction américaine "Holocauste". C’est en effet à partir de la fin des années 1970 et du début des années 1980 que s’est généralisé dans l’opinion le conformisme le plus plat, dont les juifs ont si bien su tirer profit. C’est après que le terme "shoah" fut inventé, la loi Fabius-Gayssot, et l’idée désormais totalement impossible à discuter que le socialisme national du siècle dernier a voulu l’extermination des juifs. La loi française impose de l’admettre, et dans les pays de langue et de culture allemandes, c’est pire encore : chacun est tenu de se sentir coupable et de se taire, quand bien même il saurait...
Je suis personnellement convaincu que les juifs ont manqué une occasion historique de se fondre parmi les peuples, avec les conséquences de la guerre. Seulement, ils ont voulu demeurer très majoritairement fidèles à leur intenable complexe de supériorité, proprement pathologique. Ils ont si bien su exploiter leur propre victimitude. Le juif Sarkozy n’est pour moi qu’un symptôme parmi tant d’autres, malgré tout ce qu’il fait subir aujourd’hui au peuple de France. Et c’est pour quand la révolution ? Je l’explique par la différence profonde de psychologie entre ashkénazes et sépharades. Les premiers seraient, il me semble, disposés à raser les murs, et à faire profil bas depuis la guerre. Je n’ignore pas pour ma part les agissements depuis la Suisse, alors pays neutre, d’un certain Riegner, personnellement à l’origine de la légende holocaustique. Les seconds ont plutôt la richesse ostentatoire, puisque n’étant en rien concernés par le dit holocauste. Quelques-uns des premiers se sont ralliés aux seconds. Le conformisme et l’ignorance ont indiscutablement fait le reste.
Comprenez bien que jamais personne encore n’a eu l’idée bien saugrenue de nier la réalité des camps établis à l’Est de l’Europe vers le milieu du siècle dernier. Personne n’a jamais nié que des trains roulaient vers ces destinations-là, qu’ils étaient chargés de déportés, que les conditions de vie, de transport, et de travail dans les camps étaient souvent fort déplorables, surtout dans les derniers mois de la guerre. Seulement, il faut bien dénoncer les mensonges des juifs, surtout en ce jour de souvenir de la déportation (et en avez-vous seulement entendu parler aujourd’hui au travers des médias ? pour ma part, je crains plutôt que le shoah-centrisme ait bien fini par éclipser tout le reste...) : le seul et unique objectif jamais poursuivi par le national-socialisme du siècle dernier était-il l’extermination massive des juifs dans des camps renommés pour la circonstance d’ "extermination" par le gaz surtout, et à une échelle industrielle ? Personnellement, et tout comme le vieillard milliardaire Le Pen, je ne crois pas du tout à cette histoire-là. Je crois même pouvoir refaire la genèse de cette légende urbaine proprement judaïque.
Dans les mois qui ont suivi immédiatement la libération des camps, il me semble bien qu’aucun Français ne s’interrogeait quant à la religion, l’appartenance ethnique ou les raisons ayant valu la déportation de tel ou tel individu au pyjama rayé qui revenait désormais librement humer l’air de Paris. Pourquoi celui-là avait-il été déporté ? Qui était-il au juste ? En était-il ou non, de telle ou telle tribu, peu importait alors. Et à cette même époque, des parents, eux, se trouvaient inquiétés, pourchassés, puisqu’ils se trouvaient, eux, désormais versés du mauvais côté, celui de l’ennemi vaincu. Et on ne dira jamais assez combien de civils totalement innocents, de femmes, d’enfants, de nourrissons même, ont été exterminés simplement parce qu’ils avaient eu la malchance d’être nés Allemands. Sait-on au moins que les Anglais avaient alors projeté de stériliser tout Allemand adulte, pour que le peuple allemand tout entier puisse être voué à l’extinction ? que les troupes soviétiques, majoritairement composées d’Asiates, tout comme les nègres américains, qui formaient alors des compagnies séparées, avaient reçu l’ordre de violer toute Allemande, et peu importe son âge ? Et puis, lentement, progressivement, l’histoire s’est-elle trouvée réécrite au profit exclusif des juifs. On a commencé par relativiser totalement et minimiser le rôle des résistants. Que de tous jeunes gens par exemple aient été totalement manipulés par Londres, à qui on faisait miroiter l’espoir d’échapper au STO (même Georges Marchais y est naguère parti), se soient trouvés tués sur le plateau des Glières, parce que en face de troupes allemandes plus aguerries, est bien un fait historique, il me semble ! Puis, on a laissé croire que le but unique du socialisme national n’a jamais été que l’extermination des juifs, l’histoire s’étant trouvée toujours plus shoah-centrée.
Je daterais le conformisme désormais établi dans les esprits de la diffusion sur les chaînes de télévision américaine, puis européennes, de la fiction américaine "Holocauste". C’est en effet à partir de la fin des années 1970 et du début des années 1980 que s’est généralisé dans l’opinion le conformisme le plus plat, dont les juifs ont si bien su tirer profit. C’est après que le terme "shoah" fut inventé, la loi Fabius-Gayssot, et l’idée désormais totalement impossible à discuter que le socialisme national du siècle dernier a voulu l’extermination des juifs. La loi française impose de l’admettre, et dans les pays de langue et de culture allemandes, c’est pire encore : chacun est tenu de se sentir coupable et de se taire, quand bien même il saurait...
Je suis personnellement convaincu que les juifs ont manqué une occasion historique de se fondre parmi les peuples, avec les conséquences de la guerre. Seulement, ils ont voulu demeurer très majoritairement fidèles à leur intenable complexe de supériorité, proprement pathologique. Ils ont si bien su exploiter leur propre victimitude. Le juif Sarkozy n’est pour moi qu’un symptôme parmi tant d’autres, malgré tout ce qu’il fait subir aujourd’hui au peuple de France. Et c’est pour quand la révolution ? Je l’explique par la différence profonde de psychologie entre ashkénazes et sépharades. Les premiers seraient, il me semble, disposés à raser les murs, et à faire profil bas depuis la guerre. Je n’ignore pas pour ma part les agissements depuis la Suisse, alors pays neutre, d’un certain Riegner, personnellement à l’origine de la légende holocaustique. Les seconds ont plutôt la richesse ostentatoire, puisque n’étant en rien concernés par le dit holocauste. Quelques-uns des premiers se sont ralliés aux seconds. Le conformisme et l’ignorance ont indiscutablement fait le reste.
0 Comments:
Post a Comment
<< Home