Nostalgie
Je regardais hier soir un vieux chef-d'oeuvre du cinéma français de la fin des années 50. Beaucoup de scènes d'extérieur : des cours d'école, des villes, des quais, des usines... Enfants blonds, jouant. Population blanche, uniquement. Activité intense, divertissements simples, atmosphère des plus paisibles. Je me disais que le pays avait beaucoup changé depuis, et en mal, incontestablement, avec le métissage racial qui nous a été depuis imposé par les youtres (un certain Stoléru porte à cet égard une lourde part de responsabilité, non ?). Ceux de ma génération peuvent encore s’en souvenir : lorsque nous étions à la communale, y avait-il un seul négro ou un seul bicot dans nos classes ? Non, aucun. Quant aux youpins, eux, ils fréquentaient plutôt les écoles des beaux quartiers, ou bien se trouvaient encore en Algérie ou en Tunisie... Aujourd’hui, observez seulement toute cette faune qui s’égaille à la sortie de n’importe quel établissement scolaire à fréquentation populaire. Arpentez les boulevards de n’importe quelle ville d’importance significative. Vous ne croiserez que des macaques, toutes les variétés de métis, toutes sortes de dégénérés raciaux en provenance directe de tous les recoins du tiers-monde. Et si, dans l’espoir d’échapper un temps à cette atmosphère devenue particulièrement pesante, vous tentiez de vous réfugier dans un café ou un restaurant, pour retrouver au moins quelques spécimens d’irréductibles Gaulois ? Eh bien, vous vous illusionneriez totalement encore. Il y a fort à parier que le serveur qui viendra vers vous tout en blanc soit nègre, que le bistrotier vous parle avec le même accent que celui des circoncis à gros pifs qui hantent encore les recoins des albums d’Hergé, ou que vous vous trouviez encore en présence toute proche de l’un de ces enfants d’Israël à la richesse décidément bien ostentatoire... Et si nous retrouvions nos cinq ans ? M’sieur le juif tout puissant, s’i’ou plaît, rendez-nous le pays de notre enfance ! Allez donc ailleurs, retournez par exemple en Afrique, poursuivre toutes ces méchantes expériences [sociales] que vous nous faites subir ! Laissez-nous donc tranquille ! Nous étions si heureux sans vous, avant...
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