L'Occupation
Une réponse tout à fait digne d'intérêt (pour une fois !), au point que je prends le risque de vous répliquer, malgré la surveillance dont je peux faire l’objet, malgré les menaces constantes, les tentatives de traçage, etc. (et vous osez appelez cela la "démocratie" et la "liberté" ?! Désolé pour vous, mais je préfère de loin la "bonne vieille dictature", comme dirait Mouhoubi !)
julien vancraenbroeck a écrit :
"Contrevérité : mais à l'époque vous ne pouviez le savoir, vous étiez dans l'oeuf. De sep44 à avril 45, l'opinion publique s'interrogeait sur le sort des juifs déportés en Allemagne durant l'occupation. Même la presse libérée (et je la lisais, pas vous) s'interrogeait sur le sort de ces déportés.Ce n'est qu'en avril 1945 que l'on découvrit l'horreur lorsque les alliées libérèrent les camps. Cela fit un tabac croyez le bien. D'avril à l'été 45, les rescapés revinrent au pays progressivement, après avoir pris le temps de se réalimenter et se faire soigner. Dans cet intervalle, chacun au pays s'en retourna à un autre essentiel : revivre la paix et faire face aux problèmes du jour : chercher quotidiennement la bectance. Sans pour autant oublier ce génocide."
Ce que vous écrivez là est un mélange de faits incontestables et de mensonges délibérés et autre propagande de guerre voulus par les juifs. C’est évident que les déportés revenus en France des camps de détention n’avaient pour seul souci que de se réalimenter, se soigner, et oublier les épreuves de la guerre. C’est humain : après la sous-alimentation des derniers mois, les épidémies (évidemment les conséquences de l’état de guerre voulu par les youtres !), les bombardements des alliés "libérateurs", les mauvais traitements infligés par les Kapos (dont beaucoup étaient juifs, ne l’oublions pas ! ils recherchaient évidemment alors les positions de pouvoir), on cherche naturellement à oublier les épreuves ! Mais vous, vous entretenez ici une nouvelle fois à dessein la confusion du public entre le sort des déportés et celui des juifs ! Non, les rescapés des camps qui n’étaient pas juifs, de France, tout comme d’autres pays (Pologne, Hongrie, etc.) sont bien rentrés chez eux. Mais pendant ce temps, les juifs, eux, continuaient leur processus d’émigration commencé dès la fin du XIXème siècle, vers les USA, vers Israël, évidemment, vers l’URSS, pour les plus convaincus, et même vers l’Australie ou la Nouvelle-Zélande ! On pouvait alors en France "s’interroger sur le sort des déportés", comme vous dites, mais certainement pas sur celui des juifs ! Déjà à l’époque, les plus lucides des Français savait bien à quoi s’en tenir quant aux bobards véhiculés par les youtres, tel, par exemple, ce dénommé Rieger (ou Riegner ?), vice-Président du Congrès juif mondial, ou quelque chose comme cela, si mes souvenirs sont exacts, qui, paisiblement réfugié à Genève durant toute la guerre, s’ingéniait à fabriquer à destination des journaux (les mêmes que ceux que vous lisiez probablement alors) les fameuses légendes juives des chambres à gaz exterminatrices et des prétendus espions polonais envoyés à Auschwitz pour en témoigner ! Vous imaginez un seul instant, vous, des youpins entrant et sortant sans le moindre dommage de ce qui fut prétendument le plus grand camp d’extermination nazi ?!
Je le répète : les déportés français ne peuvent certainement pas être confondus avec les youpins, excepté pour ceux qui ont effectivement intérêt à entretenir ce genre de confusions. C’est du simple bon sens, et mon âge n’a effectivement rien à voir dans l’affaire. Vous le connaissez vous-même ?
"progressivement, oui. Après le suicide de Himmler,en 1945,"
Le Reichsführer SS Heinrich Himmler ne s’est certainement pas suicidé lui-même, mais a été empoisonné (suicidé) par les Anglais. On le sait avec certitude depuis les confessions de l’un de ses anciens geôliers. Pourquoi ? On l’ignore encore aujourd’hui. Il est possible que son projet des derniers temps du IIIème Reich, tel que concocté par la SS, envisageant la transformation radicale de l’Allemagne dans le sens d’une alliance étroite avec la Russie, ait fortement inquiété les ploutocrates de la City... Voyez l’article correspondant tel que reproduit sur mon site : http://europaswiedergeburt.00freehost.com/
"la recherche de tous ces monstres prit le temps qu'il fallut pour les traquer dans leur cachette."
Quels monstres ? Ceux que vous voulez bien voir ! C’est-à-dire, d’un côté, des personnages volontairement diabolisés, à l’initiative évidemment des youtres, de l’autre, des noms inventés pour les besoins de leur cause !
"Rappelons-nous la traque du Mengele qui dura quelques années,"
Eh bien, prouvez-moi que celui-là a réellement existé ? Quelle est sa date exacte de naissance ? en quel lieu, exactement ? en quelle année a-t-il soutenu sa thèse pour le doctorat en médecine ? dans quelle faculté ? quel était son sujet de thèse ? Alors ?! Je vous écoute...
"l'enlèvement en Argentine d'Eichman par les services secret israéliens, et son jugement en 1965."
Un simple Sturmbannführer (= commandant) prétendument instigateur de la "solution finale" ? Il faut vraiment être parfaitement naïf, ou pas du tout informé à la fois sur la période et sur l’organisation de la SS pour avaler ça ! Non ! En toute logique, si notre camarade Eichmann avait effectivement occupé les fonctions que les youpins lui ont rétrospectivement attribuées, il aurait alors été nommé au minimum au grade de SS Brigadeführer (= général de brigade), au sein du Reichssicherheitshauptamt, et comme responsable de l’AMT IV B4. Je vous laisse vous documenter pour vérifier par vous-même si la version juive et consacrée vous semble au moins vraisemblable...
"L'infatigable recherche de la famille Klarsfeld (elle a dû vous donner de l'urticaire celle-là !)"
Non. Pour moi les Klarsfeld (respectivement youtre, enjuivée, et rejeton Mischling du premier degré) ne sont même pas dignes de mon mépris. Aussi, je préfère ignorer leurs mensonges éhontés, et m’attacher plutôt aux faits établis, par exemple que le grand-père d’Arno, répondant au même prénom, était un armateur milliardaire de situation...
"Vous dites vraiment n'importe quoi :"
Eh bien, démontrez-le, au lieu de l’affirmer péremptoirement !
"pensez vous que la période n'était pas noire pour les STO, de France ou d'ailleurs ?"
Lesquels au juste ? Les jeunes réfractaires ? Les volontaires, tel Georges Marchais, que vous avez peut-être vu autrefois, sur le petit écran, qui travaillait prétendument "chez la mère Schmitt" ? Les pères de famille rapidement libérés ? Faut pas tout mélanger ! Savez-vous au moins que certains de vos STO n’ont pas hésité durant les derniers mois de la guerre à s’engager dans la Waffen SS ?! Curieux, non ? Et comment l’expliquez-vous, sinon par l’idéal européen ? Celui-là même que les Leclercq et Churchill voulaient à tout prix cacher au monde !
"Ah ça, règlez vos comptes en vous agitant tous les deux dans le bocal ! Mais maintenant à nous deux :
- vous usez de termes de "youpins", "youtres" vis-à-vis des juifs. Excusez-moi de parler comme un vieux à l'espèce de blé en herbe qui lève aujourd'hui comme vous le faites. Durant ces 4 années d'occupation, il y eut en France comme ailleurs des gens admirables qui ne les appelèrent pas comme cela en les cachant à la persécution de l'Occupant. Ils n'y virent que des gens arbitrairement traqués quelle que soit leur origine. Et souvent au péril de leur vie : catholiques ou autres de tous les milieux imprégnés d'humanité. (...) Navré d'avoir abusé de votre temps."
Julien
Mais non ! Mais non ! A la limite, je peux comprendre qu’au soir de votre vie vous restiez empreint de cette même candeur et crédulité touchante que lorsque vous aviez vingt ans ! Simplement, vous ne vous rendez peut-être pas compte à quel point votre propos peut être révélateur d’un point de vue exagérément franchouillard sur l’époque. Ainsi, que cela fasse maintenant au moins plus d’un siècle que les youpins se font passer pour d’éternelles victimes (je daterais pour ma part la conviction généralement emportée auprès du vaste public de l’affaire Dreyfuss) semble totalement vous échapper encore aujourd’hui ! Moi, je peux au moins porter témoignage de l’existence d’un tout autre son de cloche injustement étouffé par les vainqueurs !
En temps de guerre, il y a toujours eu des traîtres, des lâches et des collaborateurs. Mais qui étaient-ils au juste ? Ceux qui travaillaient vraiment à la constitution de la nouvelle Europe, souvent au péril de leur vie ? Certainement pas ! Bien plutôt ceux qui s’imaginaient, parfois dès juin 1940, mais souvent après le tournant de Stalingrad, que l’Allemagne était déjà vaincue, et qui étaient déjà prêts à se vendre à la juiverie internationale ! N’oubliez pas ce défaitisme très tôt répandu parmi une large majorité de Français : oui, l’Allemagne a perdu la guerre, les Anglais, puis les Américains, vont bientôt nous "libérer", etc.
Moi, pour ma part, je garderais plutôt l’image de ces hordes de huns (à l’Est), de nègres américains (à l’Ouest) et de bombardiers de la R.A.F. au-dessus, détruisant l’Allemagne éternelle (tout comme aujourd’hui le Liban !), pillant, violant, exterminant, et ce dans l’intérêt exclusif de quelques milliers de youtres !
julien vancraenbroeck a écrit :
"Contrevérité : mais à l'époque vous ne pouviez le savoir, vous étiez dans l'oeuf. De sep44 à avril 45, l'opinion publique s'interrogeait sur le sort des juifs déportés en Allemagne durant l'occupation. Même la presse libérée (et je la lisais, pas vous) s'interrogeait sur le sort de ces déportés.Ce n'est qu'en avril 1945 que l'on découvrit l'horreur lorsque les alliées libérèrent les camps. Cela fit un tabac croyez le bien. D'avril à l'été 45, les rescapés revinrent au pays progressivement, après avoir pris le temps de se réalimenter et se faire soigner. Dans cet intervalle, chacun au pays s'en retourna à un autre essentiel : revivre la paix et faire face aux problèmes du jour : chercher quotidiennement la bectance. Sans pour autant oublier ce génocide."
Ce que vous écrivez là est un mélange de faits incontestables et de mensonges délibérés et autre propagande de guerre voulus par les juifs. C’est évident que les déportés revenus en France des camps de détention n’avaient pour seul souci que de se réalimenter, se soigner, et oublier les épreuves de la guerre. C’est humain : après la sous-alimentation des derniers mois, les épidémies (évidemment les conséquences de l’état de guerre voulu par les youtres !), les bombardements des alliés "libérateurs", les mauvais traitements infligés par les Kapos (dont beaucoup étaient juifs, ne l’oublions pas ! ils recherchaient évidemment alors les positions de pouvoir), on cherche naturellement à oublier les épreuves ! Mais vous, vous entretenez ici une nouvelle fois à dessein la confusion du public entre le sort des déportés et celui des juifs ! Non, les rescapés des camps qui n’étaient pas juifs, de France, tout comme d’autres pays (Pologne, Hongrie, etc.) sont bien rentrés chez eux. Mais pendant ce temps, les juifs, eux, continuaient leur processus d’émigration commencé dès la fin du XIXème siècle, vers les USA, vers Israël, évidemment, vers l’URSS, pour les plus convaincus, et même vers l’Australie ou la Nouvelle-Zélande ! On pouvait alors en France "s’interroger sur le sort des déportés", comme vous dites, mais certainement pas sur celui des juifs ! Déjà à l’époque, les plus lucides des Français savait bien à quoi s’en tenir quant aux bobards véhiculés par les youtres, tel, par exemple, ce dénommé Rieger (ou Riegner ?), vice-Président du Congrès juif mondial, ou quelque chose comme cela, si mes souvenirs sont exacts, qui, paisiblement réfugié à Genève durant toute la guerre, s’ingéniait à fabriquer à destination des journaux (les mêmes que ceux que vous lisiez probablement alors) les fameuses légendes juives des chambres à gaz exterminatrices et des prétendus espions polonais envoyés à Auschwitz pour en témoigner ! Vous imaginez un seul instant, vous, des youpins entrant et sortant sans le moindre dommage de ce qui fut prétendument le plus grand camp d’extermination nazi ?!
Je le répète : les déportés français ne peuvent certainement pas être confondus avec les youpins, excepté pour ceux qui ont effectivement intérêt à entretenir ce genre de confusions. C’est du simple bon sens, et mon âge n’a effectivement rien à voir dans l’affaire. Vous le connaissez vous-même ?
"progressivement, oui. Après le suicide de Himmler,en 1945,"
Le Reichsführer SS Heinrich Himmler ne s’est certainement pas suicidé lui-même, mais a été empoisonné (suicidé) par les Anglais. On le sait avec certitude depuis les confessions de l’un de ses anciens geôliers. Pourquoi ? On l’ignore encore aujourd’hui. Il est possible que son projet des derniers temps du IIIème Reich, tel que concocté par la SS, envisageant la transformation radicale de l’Allemagne dans le sens d’une alliance étroite avec la Russie, ait fortement inquiété les ploutocrates de la City... Voyez l’article correspondant tel que reproduit sur mon site : http://europaswiedergeburt.00freehost.com/
"la recherche de tous ces monstres prit le temps qu'il fallut pour les traquer dans leur cachette."
Quels monstres ? Ceux que vous voulez bien voir ! C’est-à-dire, d’un côté, des personnages volontairement diabolisés, à l’initiative évidemment des youtres, de l’autre, des noms inventés pour les besoins de leur cause !
"Rappelons-nous la traque du Mengele qui dura quelques années,"
Eh bien, prouvez-moi que celui-là a réellement existé ? Quelle est sa date exacte de naissance ? en quel lieu, exactement ? en quelle année a-t-il soutenu sa thèse pour le doctorat en médecine ? dans quelle faculté ? quel était son sujet de thèse ? Alors ?! Je vous écoute...
"l'enlèvement en Argentine d'Eichman par les services secret israéliens, et son jugement en 1965."
Un simple Sturmbannführer (= commandant) prétendument instigateur de la "solution finale" ? Il faut vraiment être parfaitement naïf, ou pas du tout informé à la fois sur la période et sur l’organisation de la SS pour avaler ça ! Non ! En toute logique, si notre camarade Eichmann avait effectivement occupé les fonctions que les youpins lui ont rétrospectivement attribuées, il aurait alors été nommé au minimum au grade de SS Brigadeführer (= général de brigade), au sein du Reichssicherheitshauptamt, et comme responsable de l’AMT IV B4. Je vous laisse vous documenter pour vérifier par vous-même si la version juive et consacrée vous semble au moins vraisemblable...
"L'infatigable recherche de la famille Klarsfeld (elle a dû vous donner de l'urticaire celle-là !)"
Non. Pour moi les Klarsfeld (respectivement youtre, enjuivée, et rejeton Mischling du premier degré) ne sont même pas dignes de mon mépris. Aussi, je préfère ignorer leurs mensonges éhontés, et m’attacher plutôt aux faits établis, par exemple que le grand-père d’Arno, répondant au même prénom, était un armateur milliardaire de situation...
"Vous dites vraiment n'importe quoi :"
Eh bien, démontrez-le, au lieu de l’affirmer péremptoirement !
"pensez vous que la période n'était pas noire pour les STO, de France ou d'ailleurs ?"
Lesquels au juste ? Les jeunes réfractaires ? Les volontaires, tel Georges Marchais, que vous avez peut-être vu autrefois, sur le petit écran, qui travaillait prétendument "chez la mère Schmitt" ? Les pères de famille rapidement libérés ? Faut pas tout mélanger ! Savez-vous au moins que certains de vos STO n’ont pas hésité durant les derniers mois de la guerre à s’engager dans la Waffen SS ?! Curieux, non ? Et comment l’expliquez-vous, sinon par l’idéal européen ? Celui-là même que les Leclercq et Churchill voulaient à tout prix cacher au monde !
"Ah ça, règlez vos comptes en vous agitant tous les deux dans le bocal ! Mais maintenant à nous deux :
- vous usez de termes de "youpins", "youtres" vis-à-vis des juifs. Excusez-moi de parler comme un vieux à l'espèce de blé en herbe qui lève aujourd'hui comme vous le faites. Durant ces 4 années d'occupation, il y eut en France comme ailleurs des gens admirables qui ne les appelèrent pas comme cela en les cachant à la persécution de l'Occupant. Ils n'y virent que des gens arbitrairement traqués quelle que soit leur origine. Et souvent au péril de leur vie : catholiques ou autres de tous les milieux imprégnés d'humanité. (...) Navré d'avoir abusé de votre temps."
Julien
Mais non ! Mais non ! A la limite, je peux comprendre qu’au soir de votre vie vous restiez empreint de cette même candeur et crédulité touchante que lorsque vous aviez vingt ans ! Simplement, vous ne vous rendez peut-être pas compte à quel point votre propos peut être révélateur d’un point de vue exagérément franchouillard sur l’époque. Ainsi, que cela fasse maintenant au moins plus d’un siècle que les youpins se font passer pour d’éternelles victimes (je daterais pour ma part la conviction généralement emportée auprès du vaste public de l’affaire Dreyfuss) semble totalement vous échapper encore aujourd’hui ! Moi, je peux au moins porter témoignage de l’existence d’un tout autre son de cloche injustement étouffé par les vainqueurs !
En temps de guerre, il y a toujours eu des traîtres, des lâches et des collaborateurs. Mais qui étaient-ils au juste ? Ceux qui travaillaient vraiment à la constitution de la nouvelle Europe, souvent au péril de leur vie ? Certainement pas ! Bien plutôt ceux qui s’imaginaient, parfois dès juin 1940, mais souvent après le tournant de Stalingrad, que l’Allemagne était déjà vaincue, et qui étaient déjà prêts à se vendre à la juiverie internationale ! N’oubliez pas ce défaitisme très tôt répandu parmi une large majorité de Français : oui, l’Allemagne a perdu la guerre, les Anglais, puis les Américains, vont bientôt nous "libérer", etc.
Moi, pour ma part, je garderais plutôt l’image de ces hordes de huns (à l’Est), de nègres américains (à l’Ouest) et de bombardiers de la R.A.F. au-dessus, détruisant l’Allemagne éternelle (tout comme aujourd’hui le Liban !), pillant, violant, exterminant, et ce dans l’intérêt exclusif de quelques milliers de youtres !
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