Saturday, March 10, 2007

Le Sarkojuif et l'immigration

Alberich = danger ! Sur le papier, la politique initiée par l’actuel gouvernement en matière d'immigration peut apparaître séduisante : pour une immigration choisie, contre une immigration subie ; recours à des tests génétiques en l’absence d’état civil fiable pour les candidats à l’entrée sur le territoire national dans le cadre du regroupement familial ; exigence pour tous d’une maîtrise suffisante de la langue et de l’acceptation de la culture du pays d’accueil ; à terme, politique de quotas par nationalité d’origine et par profession... Seulement, avec un minimum de sens critique, et compte-tenu des réalités actuelles en matière de flux migratoires, on peut entrevoir où cette politique va mener le pays, ce que JH n’est certainement pas le premier à dénoncer :

1) L’immigration n’est plus aujourd’hui alimentée par le travail, ni même par le regroupement familial, mais avant tout par le mariage. Elle a pour cause première tous ces Européens de fraîche date (en réalité des allogènes ayant acquis à une date relativement récente la nationalité du pays d’accueil, exactement comme au siècle dernier tous ces "juifs de France" si massivement rescapés des camps prétendument "de la mort", tous ces "fils et filles" puis petits-enfants de déportés) qui pratiquent une endogamie forcenée, ainsi que tous ces autres cédant à cette pitoyable mode actuelle des unions avec des conjoints exotiques. Si une véritable éducation raciale était encore dispensée à notre jeunesse, alors les premiers comprendraient vite qu’ils ont vocation à retourner dans leur pays d’origine, et les seconds qu’ils commettent sciemment ce qui n’est rien d’autre qu’un crime contre la race.

2) Il n’est nul besoin de pratiquer des tests génétiques onéreux pour prétendre ce faisant régulariser la situation sur le territoire d’allogènes qui n’ont objectivement rien à y faire : il faudrait bien vite comprendre que la présence par exemple de nègres d’un noir profond est dans les rues de nos grandes villes tout aussi incongrue que celle d’Ecossais roux au beau milieu de la grande forêt zaïroise, à moins qu’on tienne absolument à les faire venir, d’où ce troisième point :

3) Exiger la connaissance préalable de la langue ne peut que favoriser une immigration d’origine africaine : c’est l’Afrique noire qui est encore largement francophone (quoiqu’il y ait encore un certain pays qui manoeuvre depuis trop longtemps déjà pour être admis au sein de la francophonie ; ce pays, c’est bien entendu Israël...). Ce n’est certainement pas là une homogénéité culturelle qui se trouve recherchée, sauf peut-être au jugement des naïfs et de tous les cocus des démocraties, mais bien un métissage racial généralisé, au milieu duquel les youtres pourront par la suite très facilement se fondre.

4) La politique des quotas, c’est le modèle américain de la green card, avec tous ses défauts : on n’empêche aucunement, mais on encourage même l’immigration clandestine en créant une sorte d’appel d’air, non seulement pour les exclus du système, qui s’obstineront à tout faire pour y être à nouveau admis ou pour passer entre les mailles du filet, mais aussi pour tous leurs proches et leur famille... Soit, dans cinq ou dix ans, des dizaines de millions d’allogènes supplémentaires massivement issus des régions les plus défavorisées de la planète, attirés par notre prétendue prospérité, dans le sillage de cette main-d’oeuvre bon marché que le MEDEF et autres auront commandée sur les nouveaux marchés aux esclaves.

JH s’en est déjà ouvert : il est des principes sur lesquels il ne faut pas transiger : les origines réelles, la race, la culture. Tout être humain doit être encouragé à vivre, et doit avoir la possibilité de vivre, là où ses ancêtres ont toujours vécu. Il est des races européennes et des races allogènes. On doit pouvoir accueillir à bras ouverts le plombier polonais ou le maçon ukrainien, qui sont bien de notre race, et certainement pas la vermine judaïque ou les macaques africains, sauf à vouloir réellement la faillite programmée de nos hautes cultures. C’est incontestablement l’Europe, et non le proche Orient ou l’Afrique qui ont été à l’origine, il y a des milliers d’années, de toute idée de civilisation. Voulez-vous vraiment que cela ne soit plus dans l’avenir qu’un lointain souvenir ?

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