Déportés juifs "français"
Le message de "Camille" du 6 mars 21:59 en porte le symptôme : beaucoup de Français sont probablement aujourd’hui à ce point victimes de la propagande judaïque constamment martelée (encore deux soirées spéciales à la gloire de la juiverie ces jours-ci sur Arte !) pour s’imaginer que des millions de "juifs français" ont été déportés avant d’être gazés il y a maintenant plus de soixante ans. Qu’on sache au moins qu’il existe une statistique précise, constituée au camp de Drancy par un interné chargé de ce travail par les autorités, un certain Georges Etlin, qui l’a lui-même remise au Centre de Documentation Juive Contemporaine le 16 mars 1945, où elle porte depuis la cote DXLVI-13. On peut ainsi vérifier sur pièces que seulement 342 juifs de nationalité française ont été déportés de Drancy (contre 14.459 juifs polonais, 6.222 juifs allemands, 2.217 juifs autrichiens, 2.718 juifs roumains ou 3.290 juifs réfugiés russes, etc. etc.). Qu’en outre, sur 67.693 déportés recensés, un pourcentage non négligeable, soient 5.124 d’entre eux étaient "de nationalités inconnues" (plus 2.698 "apatrides" et 154 de nationalité "à déterminer" ; total : 7.976 juifs). Là, on peut toucher du doigt une réalité encore bien actuelle pour tous les services de police spécialisés : vers quel pays doit-on expulser celui-ci, dont les papiers d’identité ne sont visiblement que des faux grossiers, qui fait tout pour rester sur le territoire, dont on ignore le lieu exact de naissance, et ainsi la véritable nationalité ? Alors, où sont tous ces "juifs français" déportés ? Ne seraient-ce pas plutôt tous ces juifs étrangers qui seraient rétrospectivement devenus des "juifs français" par le seul privilège d’avoir été déportés de France ? Et aujourd’hui que beaucoup sont revenus reconquérir des positions de pouvoir bien plus enviables encore que toutes celles qu’ils occupaient avant guerre, on devrait encore continuer à les honorer comme s’ils étaient toujours des victimes ?
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