Friday, March 16, 2007

Licenciements

C'est désormais devenu un lieu commun dans l'impensé politique qu'on sert régulièrement à l'opinion dans le cadre de la campagne des Présidentielles que de dénoncer les "patrons voyous", ceux qui licencient massivement alors même que leurs carnets de commande sont pleins, et que les entreprises font même des bénéfices. Hier soir, la représentante de la fausse gauche, celle qui n’a de socialiste que le nom, n’a pas dérogé à la règle commune ... tout en se mettant magnifiquement en contradiction avec elle-même. Dans le dossier Airbus, n’a-t-elle pas promis que de l’argent public serait investi pour aider l’entreprise, évidemment aux frais du contribuable, qui ne pourra que voir dans les régions tenues par la gauche caviar ses impôts locaux exploser ? Et la même qui prône une réduction du train de vie des élus : mais tous ces gros qui bénéficient de confortables fauteuils dans tous les parlements, assemblées et commissions tenus par la fausse gauche sont-ils prêts à renoncer à leurs privilèges et à leurs notes de frais ? On peut sérieusement en douter. De son côté, le Sarkojuif ne s’en est-il pas pris récemment à l’euro fort, qui masque la hausse réelle des prix, et qui jouerait prétendument contre l’emploi, prenant ainsi le contre-pied de toute la propagande gouvernementale en la matière (mais non, il n’y a pas de hausse des prix ! mais non, le chômage recule, au contraire, grâce au CNE, grâce aux mesures prises en faveur de l’emploi des jeunes, ou pour faciliter le maintien dans l’activité des seniors, etc.) ? Et comment celui-là peut-il tenir un tel discours, auquel il ne croit pas lui-même, et qui s’oppose aussi clairement aux intérêts réels de toute cette maffia financière cosmopolite qui se tient derrière lui, et qui exige sa prochaine élection ? Et que trouve-t-on en face d’eux ? Des gauchistes médiatiques fabriqués pour divertir le peuple, pour faire croire en l’existence d’une opposition au capitalisme libéral, et dont les propos, à caractère strictement folklorique, ne varient pas : Laguiller, Besancenot, le gendre du juif Krivine, Koselek, dite "Buffet", Bové, Autain...

N’est-il pas plus que temps que cesse tout ce cirque médiatique, et qu’on dise au moins clairement aux Européens la vérité ? Pourquoi des entreprises telles qu’Airbus ou Alcatel-Lucent licencient-elles en masse ? Evidemment pour pouvoir verser des dividendes, à croissance exponentielle exigée, à des actionnaires privés toujours plus gourmands. Et qui sont ces actionnaires ? Incontestablement, ces banques judéo-maçonniques, dont les intérêts et les montages de capitaux sont étroitement imbriqués les uns dans les autres, et dont les sièges sociaux sont au final à New York, ou bien encore dans tel ou tel paradis fiscal quelque part ailleurs dans le monde, ces fonds de pension qui permettent aux riches commerçants et profiteurs américains de se constituer une retraite future, de louches particuliers s’étant outrageusement enrichis à la suite de quelconques trafics, ou ayant simplement hérités de telle grosse fortune. Tous ces gens se moquent éperdument du maintien de l’emploi dans telle ou telle région. Bien au contraire, à leurs yeux, le travail n’a rien d’un facteur humain, et doit être un élément aussi mobile à l’échelle internationale que leurs capitaux : un ouvrier roumain ou un nouvel esclave chinois vaudraient bien un Français ou un Allemand de souche ! et que ceux-ci ou bien ceux-là travaillent ici, ou bien ailleurs, chez eux, en Afrique, ou plutôt en Europe, quelle importance ? Les coûts humains ainsi engendrés ? Ce n’est pas leur affaire ! Seule importe la loi du profit et de la spéculation immédiatement rentable, à très court terme. Les conséquences sociales, engendrées en particulier par ces déplacements organisés de populations pauvres allogènes uniquement afin de servir de réservoir de main-d’oeuvre indéfiniment corvéable et exploitable, en n’importe quel point précis du globe ? Le long terme, l’avenir des peuples, de tout un continent ? On s’en moque !

JH n’est certes pas au pouvoir, et n’a probablement pas la moindre chance d’y accéder. Tout le pouvoir est aux mains des juifs, incontestablement, qui n’hésitent même plus à se vanter ouvertement, comme sur fr.soc.politique, d’être les seuls capables de tenir en respect les "arabes", comme ils disent, et qui ont effectivement les moyens de sanctionner la moindre critique à leur encontre. Mais, en attendant qu’ils parviennent à faire taire définitivement sa voix discordante, il peut encore suggérer quelques solutions. En premier lieu, contraindre toute entreprise établie en un lieu quelconque du territoire européen, et quelle que soit son importance ou son activité, à y déclarer un propriétaire nominativement identifiable, qui offrirait des garanties financières suffisantes, juridiquement responsable, et personnellement saisissable en cas de besoin, exactement comme s’il s’agissait d’un particulier. Ainsi il deviendrait possible de sanctionner réellement tous les entrepreneurs indélicats, les industriels sans scrupules, les patrons véreux, qui ne pourraient plus disparaître derrière l’anonymat des capitaux internationalement mobiles et des intérêts internationaux. Criminaliser les agissements de tous ceux qui organisent la venue, font travailler, ou tirent des revenus quelconques sur le territoire européen de toute main-d’oeuvre clandestine, par de lourdes sanctions qui seraient à la fois pécuniaires et pénales. Confisquer aussi par saisie directe auprès des banques toutes ces fortunes de provenance douteuse, et dont les titulaires ne pourraient justifier de l’origine. Imposer à tous ces riches commerçants, banquiers, propriétaires juifs, de renoncer à leurs nationalités multiples et non européennes, ou bien s’exposer à être immédiatement expulsés, tout comme n’importe quel Malien ou Turc en situation irrégulière, en direction des USA ou bien d’Israël, et après confiscation, le cas échéant, de la totalité de leurs biens au profit de l’Etat. Une autre mesure préconisée, et qui pourrait assez facilement être appliquée : exiger la transparence financière la plus totale, sous le contrôle approfondi des services fiscaux, de tout montage financier qui engagerait des intérêts publics, ou qui résulterait d’accords de coopération entre des Etats. Et pourquoi ne pourrait-on pas encore saisir les installations industrielles, les brevets, les plans et les stocks, pour les mettre immédiatement à la disposition directe des salariés ou des CE, des entreprises dont l’activité serait manifestement déclinante par la volonté directe de leurs actionnaires, de manière à éviter par avance le démontage des machines, les fermetures de sites, et les délocalisations programmées ?

JH, résolument socialiste et nationaliste pro-européen.

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