Rappel
- Le 15 mars 2005, parution dans le quotidien Le Monde de tout un dossier sur le thème du "spectre des violences anti-Blancs". La tactique de dénonciation systématique du racisme, du sexisme, de l' "antisémitisme", de l'antisionisme, de la "haine" (en américain : "hate"), etc. des jeunes bougnoules et négros dits du "Frankistan" (et c'est où, ça ?), inaugurée par un youtre du nom de Bronner, soutenu par le "témoin" Goldbronn, commence à porter ses fruits, en rencontrant un écho favorable du côté d'une certaine fraction de l'opinion.
- Dans la foulée, un éditorial tenu sur une certaine radio communautariste judaïque par un autre youpin, Clément Weill-Raynal, enfonce le clou et dénonce le "racisme anti-blancs" des jeunes allogènes, mais dirigé contre qui au juste ? évidemment la "race élue", ceux qui auraient prétendument bien plus de droits que tous les autres à être protégés des agissements de ces animaux-là... Au passage, il stigmatise l’Education nationale, selon les youtres "gangrénée" par l’ "antisémitisme", au point que dans "de nombreux établissements", où il y a trop d’ "arabes" à leur goût, il serait devenu impossible d’y inscrire un petit juif.
- Presque au même moment, un groupuscule sioniste et Radio Shalom s’associaient pour lancer un "Appel contre le racisme anti-blancs", immédiatement signé par les Finkielkraut, Kouchner, Arfi (dirigeant de l’UEJF), Chouraqui et tant d’autres depuis, si bien nés. Ne manquaient plus que les signatures des youpins associés Antoine Zacharias et Alain Minc, par exemple, pour faire bonne mesure...
- Dans un tel contexte, on vit de plus en plus d’individus, au sein de cette vermine judaïque, tenter de se faire passer pour les plus sûrs défenseurs des "blancs" et de l’ "identité française" menacée. Des Orientaux de culture, de petits êtres à la peau sombre et aux cheveux noirs frisés, souvent nés eux-mêmes quelque part en Afrique, qui d’habitude sont si prompts à se plaindre devant la justice de racisme à leur encontre, et si bien organisés qu’ils parviennent immanquablement à leurs fins, se mirent à parler et à agir comme de vulgaires gros cons frontistes, lorsqu’ils s’en prennent aux "immigrés", aux "melons" à réexpédier selon eux de l’autre côté de la Méditerranée.
- Le 24 octobre 2005, le candidat de la juiverie, le Sarkojuif, relança publiquement et volontairement l’idée d’un droit de vote des immigrés aux élections locales. Ce fut là le point de départ réel de la "crise des banlieues". L’idée était alors de laisser faire, de manière à susciter et à entretenir ensuite l’indignation de l’opinion contre les casseurs et la "racaille", autoriser dans le même temps la plus large couverture médiatique possible alors donnée aux "émeutes urbaines", de manière à accréditer la croyance selon laquelle les banlieues, zones de non droit, passées sous souveraineté étrangère, seraient devenues totalement incontrôlables. A moins de retrouver le chemin de la fermeté sans concessions, celle que le petit youtre serait prétendument le seul à pouvoir incarner. Et on pouvait constater que la cote de popularité de Sarkozy n’avait pas cessé de monter dans les sondages, durant tout le temps que dura cette crise. Ce qui intéressait en tout premier lieu le parti juif en France, ce n’était certainement pas la réalité de ce qui pouvait se passer dans les banlieues, mais bien plutôt l’image qui en était donnée à l’opinion. L’objectif était comme toujours pour la juiverie de diviser, d’attiser encore et toujours les haines des uns contre les autres, en n’ayant pas le moindre scrupule à provoquer systématiquement, à manipuler aussi l’opinion.
- Aujourd’hui encore, seules comptent du point de vue de la juiverie les réactions de l’opinion par rapport aux événements de la gare du Nord, et non pas la réalité de ces mêmes événements. Les autorités, vraisemblablement sur ordre très supérieur, se sont manifestement contentées d’un filtrage des entrées et des sorties de la gare du Nord, et pour le reste, ont manifestement laissé faire, au moins provisoirement, en veillant à ce que les caméras puissent complaisamment filmer toute la scène, et que les images parviennent bien dans les salles de rédaction, en tout premier lieu du Figaro et de TF1. Les charges de policiers, c’était évidemment pour le spectacle ! On médiatise aussi soigneusement les bourdes de la conne du Poitou, tout comme les réactions folkloriques attendues d’un José Bové, tout cela sert si bien la croyance qu’on s’efforce désespérément d’imposer, celle d’une anti-France tout entière liguée contre la politique de restauration nationale, que le défenseur par excellence de la "République" (en réalité, bien plutôt "Ripoublique"), Sarkozy, entendrait prétendument mener Et au même moment, les télévisions diffusent toutes les mêmes images prises devant cette école maternelle (quel rapport avec les émeutes de la gare du Nord ?), comme pour accréditer l’idée que ce sont toujours les mêmes, tous ces macaques, ces étrangers, tous ces sans papiers, et les associations qui les soutiennent, qui posent problème en France. Et le Sarkojuif de renchérir, avec de belles paroles bien démagogiques, opposant la fausse gauche, dénoncée dans son soutien aux délinquants multi-récidivistes, aux fraudeurs du métro, à tous les profiteurs du système, au parti de l’ordre que lui seul prétendument incarnerait.
Mais quelques remarques s’imposent, bien évidemment.
1) De quel côté se trouvent vraiment ceux qui trichent, qui fraudent, à bien plus grande échelle et de manière bien plus lucrative pour eux que dans le métro, et qui s’enrichissent toujours plus ? Ceux qui tirent profit des délocalisations, des licenciements massifs, pour permettre aux leurs d’accroître toujours plus leurs dividendes ? Ceux qui se gavent de stock options, qui exigent des parachutes dorés en cas de fausse sortie, ou qui se font rémunérer très cher leurs prétendus "conseils", avant de prendre une retraite particulièrement dorée en Suisse, ou en Israël ? Ceux qui n’ont que mépris pour le "facteur humain", encore insuffisamment mobile, substituable et malléable à leur goût ? Ceux qui ne savent que vanter le capitalisme ultra-libéral aujourd’hui, tout aussi bien que le marxisme-léninisme il y a un siècle, du moment qu’ils y trouvent leur intérêt ?
2) Qui a fait massivement venir sur le territoire européen tant de hordes d’allogènes, étrangers à quelque culture d’Europe qu’elle puisse être, qui continue à les faire venir clandestinement, en n’étant motivé que par l’appât du gain, le bénéfice immédiat, se moquant éperdument des conséquences sociales parfaitement prévisibles sur moyen ou long terme, sinon les mêmes que les précédents ? Qu’on se rappelle par exemple que c’est bien un juif (Debré) qui organisa la venue en masse des Antillais en France. Qu’il faille sévèrement sanctionner, et pénalement aussi, tous les négriers et tous les exploiteurs de nègres, c’est pour JH l’évidence même.
3) Qui sont ces jeunes étrangers délinquants, sinon souvent les mêmes que ceux qui rêvent eux aussi d’intégration par l’emploi et par la consommation, les déchets de l’école "ripoublicaine", faussement égalitaire, en réalité ne favorisant plus que la réussite des seuls gosses de riches, et qui ont parfois autant de droits, sinon plus, que ceux-là dont les multiples et diverses nationalités ne sont jamais que de papier, parce que leur véritable patrie, c’est pour eux leur "terre promise", et qui se regardent de loin supérieurs à tous ceux qu’on laisse végéter dans les quartiers, pourrir les banlieues, pour mieux en tirer profit, suivant l’occasion donnée sur le moment. S’en servir comme repoussoir, comme faire-valoir, ou bien encore comme main-d’oeuvre facilement exploitable, c’est en fonction.
4) De qui Sarkozy est-il le candidat ? Pourquoi est-il si attaché à la défense de son image de petit bonhomme d’ordre, et de partisan d’une justice expéditive, sinon parce qu’il sait que c’est bien cela qui plaît à toute cette France profonde, pour qui l’emploi, la faiblesse des salaires et le pouvoir d’achat, les retraites, etc., ne sont pas des problèmes, pour qui les problèmes hautement prioritaires à l’heure actuelle seraient plutôt l’insécurité, la vitrine du commerce, les 35 heures des employées, ou encore la transmission du patrimoine...
5) Quelles solutions pourra-t-on jamais apporter aux multiples problèmes dans lesquels se débattent les banlieues, autres que strictement pragmatiques ? La volonté clairement affirmée de favoriser la juiverie internationale, le parti juif et le clan américain contre "les arabes" et les nègres, toujours soupçonnés quant à eux de préférer la cause des Palestiniens à celle d’Israël, le parti-pris des condamnations lourdes et systématiques des délinquants, la stigmatisation systématique des pauvres et des Rmistes, "tous des fainéants, des assistés, incapables de bosser !" (il est bien entendu que du point de vue de la "race élue" et des privilégiés du système, seuls les commerçants et les trafiquants "travaillent" !), tout cela doit être dénoncé. Dans certains cas, la fermeté s’impose à l’égard des jeunes délinquants. Dans d’autres, ce serait plutôt le dialogue. Il faudrait encore de réels accords de coopération entre l’Europe et les Etats d’origine, pour organiser le retour au pays des allogènes extra-Européens (et aussi probablement avec les USA pour ce qui est des youpins eux-mêmes : dans le cas contraire, compte-tenu des intenables prétentions des juifs, ce ne pourrait être décidément que le chemin de la cheminée !). Chacun n’a-t-il pas le droit premier et inaliénable, et quels que puissent être par ailleurs les intérêts du commerce international, de vivre sur sa terre d’origine, celle où ses ancêtres ont toujours vécu, et sans se voir imposer une quelconque présence étrangère à la culture qui est la sienne propre ?
- Dans la foulée, un éditorial tenu sur une certaine radio communautariste judaïque par un autre youpin, Clément Weill-Raynal, enfonce le clou et dénonce le "racisme anti-blancs" des jeunes allogènes, mais dirigé contre qui au juste ? évidemment la "race élue", ceux qui auraient prétendument bien plus de droits que tous les autres à être protégés des agissements de ces animaux-là... Au passage, il stigmatise l’Education nationale, selon les youtres "gangrénée" par l’ "antisémitisme", au point que dans "de nombreux établissements", où il y a trop d’ "arabes" à leur goût, il serait devenu impossible d’y inscrire un petit juif.
- Presque au même moment, un groupuscule sioniste et Radio Shalom s’associaient pour lancer un "Appel contre le racisme anti-blancs", immédiatement signé par les Finkielkraut, Kouchner, Arfi (dirigeant de l’UEJF), Chouraqui et tant d’autres depuis, si bien nés. Ne manquaient plus que les signatures des youpins associés Antoine Zacharias et Alain Minc, par exemple, pour faire bonne mesure...
- Dans un tel contexte, on vit de plus en plus d’individus, au sein de cette vermine judaïque, tenter de se faire passer pour les plus sûrs défenseurs des "blancs" et de l’ "identité française" menacée. Des Orientaux de culture, de petits êtres à la peau sombre et aux cheveux noirs frisés, souvent nés eux-mêmes quelque part en Afrique, qui d’habitude sont si prompts à se plaindre devant la justice de racisme à leur encontre, et si bien organisés qu’ils parviennent immanquablement à leurs fins, se mirent à parler et à agir comme de vulgaires gros cons frontistes, lorsqu’ils s’en prennent aux "immigrés", aux "melons" à réexpédier selon eux de l’autre côté de la Méditerranée.
- Le 24 octobre 2005, le candidat de la juiverie, le Sarkojuif, relança publiquement et volontairement l’idée d’un droit de vote des immigrés aux élections locales. Ce fut là le point de départ réel de la "crise des banlieues". L’idée était alors de laisser faire, de manière à susciter et à entretenir ensuite l’indignation de l’opinion contre les casseurs et la "racaille", autoriser dans le même temps la plus large couverture médiatique possible alors donnée aux "émeutes urbaines", de manière à accréditer la croyance selon laquelle les banlieues, zones de non droit, passées sous souveraineté étrangère, seraient devenues totalement incontrôlables. A moins de retrouver le chemin de la fermeté sans concessions, celle que le petit youtre serait prétendument le seul à pouvoir incarner. Et on pouvait constater que la cote de popularité de Sarkozy n’avait pas cessé de monter dans les sondages, durant tout le temps que dura cette crise. Ce qui intéressait en tout premier lieu le parti juif en France, ce n’était certainement pas la réalité de ce qui pouvait se passer dans les banlieues, mais bien plutôt l’image qui en était donnée à l’opinion. L’objectif était comme toujours pour la juiverie de diviser, d’attiser encore et toujours les haines des uns contre les autres, en n’ayant pas le moindre scrupule à provoquer systématiquement, à manipuler aussi l’opinion.
- Aujourd’hui encore, seules comptent du point de vue de la juiverie les réactions de l’opinion par rapport aux événements de la gare du Nord, et non pas la réalité de ces mêmes événements. Les autorités, vraisemblablement sur ordre très supérieur, se sont manifestement contentées d’un filtrage des entrées et des sorties de la gare du Nord, et pour le reste, ont manifestement laissé faire, au moins provisoirement, en veillant à ce que les caméras puissent complaisamment filmer toute la scène, et que les images parviennent bien dans les salles de rédaction, en tout premier lieu du Figaro et de TF1. Les charges de policiers, c’était évidemment pour le spectacle ! On médiatise aussi soigneusement les bourdes de la conne du Poitou, tout comme les réactions folkloriques attendues d’un José Bové, tout cela sert si bien la croyance qu’on s’efforce désespérément d’imposer, celle d’une anti-France tout entière liguée contre la politique de restauration nationale, que le défenseur par excellence de la "République" (en réalité, bien plutôt "Ripoublique"), Sarkozy, entendrait prétendument mener Et au même moment, les télévisions diffusent toutes les mêmes images prises devant cette école maternelle (quel rapport avec les émeutes de la gare du Nord ?), comme pour accréditer l’idée que ce sont toujours les mêmes, tous ces macaques, ces étrangers, tous ces sans papiers, et les associations qui les soutiennent, qui posent problème en France. Et le Sarkojuif de renchérir, avec de belles paroles bien démagogiques, opposant la fausse gauche, dénoncée dans son soutien aux délinquants multi-récidivistes, aux fraudeurs du métro, à tous les profiteurs du système, au parti de l’ordre que lui seul prétendument incarnerait.
Mais quelques remarques s’imposent, bien évidemment.
1) De quel côté se trouvent vraiment ceux qui trichent, qui fraudent, à bien plus grande échelle et de manière bien plus lucrative pour eux que dans le métro, et qui s’enrichissent toujours plus ? Ceux qui tirent profit des délocalisations, des licenciements massifs, pour permettre aux leurs d’accroître toujours plus leurs dividendes ? Ceux qui se gavent de stock options, qui exigent des parachutes dorés en cas de fausse sortie, ou qui se font rémunérer très cher leurs prétendus "conseils", avant de prendre une retraite particulièrement dorée en Suisse, ou en Israël ? Ceux qui n’ont que mépris pour le "facteur humain", encore insuffisamment mobile, substituable et malléable à leur goût ? Ceux qui ne savent que vanter le capitalisme ultra-libéral aujourd’hui, tout aussi bien que le marxisme-léninisme il y a un siècle, du moment qu’ils y trouvent leur intérêt ?
2) Qui a fait massivement venir sur le territoire européen tant de hordes d’allogènes, étrangers à quelque culture d’Europe qu’elle puisse être, qui continue à les faire venir clandestinement, en n’étant motivé que par l’appât du gain, le bénéfice immédiat, se moquant éperdument des conséquences sociales parfaitement prévisibles sur moyen ou long terme, sinon les mêmes que les précédents ? Qu’on se rappelle par exemple que c’est bien un juif (Debré) qui organisa la venue en masse des Antillais en France. Qu’il faille sévèrement sanctionner, et pénalement aussi, tous les négriers et tous les exploiteurs de nègres, c’est pour JH l’évidence même.
3) Qui sont ces jeunes étrangers délinquants, sinon souvent les mêmes que ceux qui rêvent eux aussi d’intégration par l’emploi et par la consommation, les déchets de l’école "ripoublicaine", faussement égalitaire, en réalité ne favorisant plus que la réussite des seuls gosses de riches, et qui ont parfois autant de droits, sinon plus, que ceux-là dont les multiples et diverses nationalités ne sont jamais que de papier, parce que leur véritable patrie, c’est pour eux leur "terre promise", et qui se regardent de loin supérieurs à tous ceux qu’on laisse végéter dans les quartiers, pourrir les banlieues, pour mieux en tirer profit, suivant l’occasion donnée sur le moment. S’en servir comme repoussoir, comme faire-valoir, ou bien encore comme main-d’oeuvre facilement exploitable, c’est en fonction.
4) De qui Sarkozy est-il le candidat ? Pourquoi est-il si attaché à la défense de son image de petit bonhomme d’ordre, et de partisan d’une justice expéditive, sinon parce qu’il sait que c’est bien cela qui plaît à toute cette France profonde, pour qui l’emploi, la faiblesse des salaires et le pouvoir d’achat, les retraites, etc., ne sont pas des problèmes, pour qui les problèmes hautement prioritaires à l’heure actuelle seraient plutôt l’insécurité, la vitrine du commerce, les 35 heures des employées, ou encore la transmission du patrimoine...
5) Quelles solutions pourra-t-on jamais apporter aux multiples problèmes dans lesquels se débattent les banlieues, autres que strictement pragmatiques ? La volonté clairement affirmée de favoriser la juiverie internationale, le parti juif et le clan américain contre "les arabes" et les nègres, toujours soupçonnés quant à eux de préférer la cause des Palestiniens à celle d’Israël, le parti-pris des condamnations lourdes et systématiques des délinquants, la stigmatisation systématique des pauvres et des Rmistes, "tous des fainéants, des assistés, incapables de bosser !" (il est bien entendu que du point de vue de la "race élue" et des privilégiés du système, seuls les commerçants et les trafiquants "travaillent" !), tout cela doit être dénoncé. Dans certains cas, la fermeté s’impose à l’égard des jeunes délinquants. Dans d’autres, ce serait plutôt le dialogue. Il faudrait encore de réels accords de coopération entre l’Europe et les Etats d’origine, pour organiser le retour au pays des allogènes extra-Européens (et aussi probablement avec les USA pour ce qui est des youpins eux-mêmes : dans le cas contraire, compte-tenu des intenables prétentions des juifs, ce ne pourrait être décidément que le chemin de la cheminée !). Chacun n’a-t-il pas le droit premier et inaliénable, et quels que puissent être par ailleurs les intérêts du commerce international, de vivre sur sa terre d’origine, celle où ses ancêtres ont toujours vécu, et sans se voir imposer une quelconque présence étrangère à la culture qui est la sienne propre ?
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