Monday, April 30, 2007

Abourick contre l'antisémitisme

"Voici ce qu'écrivait en 1845 à Paris Alphonse Toussenel dans Les Juifs, rois de l'époque - Histoire de la féodalité financière :

"J'appelle de ce nom méprisé de juif tout trafiquant d'espèces, tout parasite improductif, vivant de la substance et du travail d'autrui... Et qui dit juif dit protestant, et il est fatal que l'Anglais, que le Hollandais et le Genevois, qui apprennent à lire la volonté de Dieu dans le même livre que le juif, professent pour les lois de l'équité et pour les droits des travailleurs le même mépris que le juif""

Voilà, et pour ne s’attacher qu’à la dernière citation, on ne peut plus clair comme définition ! Je vous laisse juge : est-ce là l’énoncé d’un fait incontestable, ou bien une simple saillie "antisémite" ? Je pencherais évidemment pour le premier avis. Votre problème, c’est que vous êtes trop facilement enclins à dénoncer comme "antisémite" le moindre jugement déplaisant à l’égard des juifs seuls. C’est là ce qui justifie vos sempiternelles litanies. En somme, tout ce qui vous déplaît, tout ce qui serait exprimé à votre encontre, c’est toujours de l’ "antisémitisme" ? Avez-vous lu Bernard Lazare, entre autres ?

Vous pouvez au passage constater que, loin de refuser le dialogue, je vous invite au contraire à argumenter. Mais jusqu’ici, malheureusement, je n’ai jamais eu en retour, de la part des youpins et des enjuivés, que des insultes et des menaces, allant même jusqu’à la mort...

Et, pour en revenir à la suite de cette citation, je me sens pleinement en accord avec ce qu’écrivait Toussenel il y a déjà plus d’un siècle. Il faudra bien qu’un jour le christianisme fasse son aggiornamento, qu’il admette enfin, ou bien qu’il n’y a jamais eu de "civilisation chrétienne" qu’à la condition que les peuples aryens aient su rompre, ou au moins réinterpréter dans leur propre sens l’héritage judaïque dans le sens de l’héroïsme antique, ou bien que le poison instillé par les youtres ait pu à ce point corrompre notre vieille Europe que le protestantisme lui-même ait pu à ce point se réapproprier toutes ces valeurs spécifiquement judaïques : la richesse comme signe d’élection, la jouissance bassement matérialiste, l’absence de spiritualité autre qu’économiquement intéressée, etc.

"Accessoirement, je les aime bien la plupart de ces "anti-sémites" que vous citez..."

Moi aussi. Tous des penseurs, et des hommes de haute culture.

"Être Juif n'a jamais protégé de l'antisémitisme. Marx, Lenine, Trotsky, Israël Shamir, Charles Enderlin, Esther Benbassa, Rony Brauman et tant d'autres ont en commun d'être Juifs par l'origine et violemment antisémites. La tradition antisémite est peut-être encore plus vivace, radicale et haineuse chez les Juifs renégats et apostats que chez les non juifs."

Peut-être. Mais concédez alors qu’il y a bien là une sérieuse difficulté. Comment des juifs peuvent-ils à ce point se montrer "traîtres à leur race" ? Il y a certainement plus simple comme explication : que ce soit bien le juif, qui par son invariable comportement hérité, surtout culturellement (le poids de l’éducation talmudique !) suscite immanquablement l’ "antisémitisme". Et qu’ainsi, comme le disait unser Führer Adolf Hitler, incontestablement l’un des plus grands génies visionnaires du XXème siècle, n’en déplaise aux youpins et à leur inlassable propagande contraire, l’ "antisémitisme" ne disparaîtra qu’avec les juifs eux-mêmes ! Que des juifs puissent à l’occasion se révolter contre toute cette éducation leur ayant été inculquée, contre cet intenable complexe de supériorité caractéristique de la juiverie, n’aurait rien d’étonnant. Ce serait plutôt bon signe : que là où les rats agissent ordinairement en bandes, certains puissent se révéler capables du minimum d’indépendance d’esprit !

L’Europe entière ne pourra trouver le chemin de son salut qu’à la condition de rompre définitivement avec les juifs, le pouvoir juif. Le favori d’Abourick, il s’appelle Sarkojuif. JH, lui, entend se montrer un peu plus lucide : tout, sauf le pouvoir politique concédé aux juifs ! Ce que ni Ségo, ni Bayrou, ni même le vieillard Le Pen ne peuvent publiquement dire, JH, lui, le dit. Dimanche prochain, ou bien on évite que la juiverie puisse franchir par procuration la toute dernière marche, ou bien c’en est vraisemblablement fini du pays !

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