Monday, October 29, 2007

Mon cher Jerry Kraus

Vous avez posté ce lien : http://www-personal.umich.edu/~nisbett/racegen.pdf . J’ai parcouru l’article en question, mais n’y ai rien vu d’autre que l’habituelle critique "politiquement correcte", comme disent les anglo-saxons, des thèses héréditaristes sur l’intelligence, qui plus est très contextualisée : Nisbett n’est évidemment pas un inconnu, et intervenait alors dans le contexte suscité par la publication de l’étude américaine sous le titre The Bell Curve, dans les années 1990. Cela commence à dater aujourd’hui. Depuis, il y a eu le séquençage complet du génome humain, et bien d’autres avancées scientifiques majeures, dont vous avez certainement été informées au travers des médias.

Avant votre post, un autre intervenant signalait quant à lui le jugement toujours sûr d’un grand savant et historien de la biologie, Denis Buican. JH, lui, pourrait encore vous recommander la lecture des revues The Mankind Quaterly et Neue Anthropologie, vous expliquer tout ce qu’il doit lui-même à des savants tels que Donald Swan, Jürgen Rieger, Gerhard Frey, Rolf Kosiek, F. J. Irsigler, spécialiste reconnu de l’étude du cerveau, et tant d’autres aussi, après Eugen Fisher et Fritz Lenz en Allemagne, qui furent véritablement des précurseurs. Leurs intuitions géniales ont bel et bien été confirmées par la science !

Le problème, voyez-vous, c’est que les négateurs habituels des thèses héréditaristes s’efforcent habituellement de retrouver après coup, dans toute la littérature scientifique disponible, la confirmation de leurs préjugés égalitaristes et anti-différentialistes, au lieu de faire abstraction du "politiquement correct", et d’accepter de ne considérer que les faits. J’espère bien que, suivant votre intelligence propre, vous vous refusez à faire partie de ceux-là.

"Mais, il y a un aspect de votre argument qui m'intéresse. Pourquoi croyez-vous en les idées d'un homme qui ait gagné un Prix Nobel ? Il y a bien des juifs qui ont gagné des Prix Nobel, et vous les croyez être des sous-humains, avec les noirs."

Là, vous vous égarez totalement. Il ne s’agit pas de CROIRE un homme, et encore moins PARCE QUE ses travaux ont été jadis récompensés par un prix Nobel, mais simplement de faire le constat d’un bien mauvais procès d’intention qu’on fait aujourd’hui à un brave homme et à un authentique savant, sous le prétexte que certaines de ses dernières déclarations publiques déplaisent à ces bien pensants qui ont aujourd’hui et depuis longtemps le réel pouvoir de commander les indignations, décidément bien sélectives ! Vous en fournissez vous-même, peut-être à regret, un magnifique exemple, avec le cas personnel de ce Daniel Kaheman, Prix Nobel, dont vous affirmez vous-même la qualité d’expert ... en manipulations ! Cela, je ne vous le contesterai évidemment pas ! Mais, pour ma part, je ne connais personnellement aucun youpin. J’évite plutôt de les fréquenter, m’efforce avant tout de protéger les miens et, au-delà, tous les hommes et toutes les femmes de ma propre race, de leurs belles paroles, lesquelles ne servent le plus souvent qu’à masquer leurs tentatives de corruption de la race aryenne.

Seulement, voyez-vous, cette histoire, que vous rapportez de ce youtre, évoquant l’humanité du SS l’ayant arrêté dans la rue, n’a rien de crédible. Elle est de la même nature que celle du rabbin découvrant prétendument dans l’assistance, à la synagogue même, les petits-enfants, évidemment blonds aux yeux bleus, du SS à ce point repenti que s’étant converti au judaïsme. Ou bien de cet ancien garde, en poste à Auschwitz, au pied des rampes de déchargement de toute la vermine judaïque d’Europe, et qui n’aurait de cesse depuis que de dénoncer le prétendu "mensonge négationniste", sous le fallacieux prétexte que lui, au moins, a toujours su ce qu’il en était... De grâce, ne soyez pas aussi naïf et manipulable ! Laissez toute cette hagiographie aux éternels faiseurs de mensonges, les youpins. Ils ont évidemment besoin de peindre toute la complexité des sentiments de leurs adversaires d’alors. Les méchants Allemands, contre les soi disants gentils youpins, on ne les croirait pas ! C’est de toute nécessité, pour pouvoir faire passer cette monstrueuse escroquerie des six millions de gazés, leurs parents mêmes, dont ils n’hésitent même pas, dans leur insatiable soif de lucre, à monnayer la mort !

JH, lui, a vu certains de sa propre race, de ses propres parents, persécutés après 1945 par ces prétendus "libérateurs". Ils ne faisaient évidemment pas partie de ces quelques chanceux, contactés immédiatement avant la défaite de l’Allemagne éternelle par ces curieux petits hommes bien sombres de peau, qui parlaient l’allemand comme l’anglais avec un curieux accent métallique, et qui leur assuraient par avance toute l’impunité pour leurs prétendus "crimes de guerre" s’ils acceptaient de partir avec eux. Il a vu la légende de l’éternelle victimitude s’imposer progressivement dans les consciences, et le pays de ses racines totalement abaissé, criminalisé, et désormais pour l’éternité !

JH, depuis, a beaucoup lu. Il a mûrit aussi. Ce qui n’était au départ que de simples doutes est devenu chez lui conviction profonde, celle de la pire injustice ayant pu être commise, au détriment, non seulement de tout un peuple, mais même de tous ceux qui ont pu avoir le courage alors, dans tous les pays d’Europe, de se dresser alors contre la juiverie toute puissante.

Connaissez-vous par exemple les mémoires d’un certain Riegner, ancien président du Congrès Juif Mondial, confortablement réfugié en Suisse, alors pays neutre ? Vous avez là un youpin, parmi les plus influents, qui rapporte en forme de sous-entendus parfaitement explicites comment il a pu être lui-même, et dès avant 1939, l’un des artisans de la légende holocaustique. Il n’hésite pas à expliquer, avec force détails, comment les youtres se sont toujours souciés, pendant comme après la précédente guerre, d’instrumentaliser l’opinion publique mondiale, dans un sens qui leur était évidemment des plus favorables, les organismes de secours et d’assistance, tels que la Croix-Rouge, etc. Voilà qui mériterait d’être lu et expliqué dans les classes, plutôt que la lettre d’un certain Guy Môquet, comparable à tant d’autres, et évidemment dépourvue du moindre intérêt historique. Mais, Alberich l’exige, et pour tous les siens : il s’agit encore et toujours de faire pleurer. Le cas d’un Guy Môquet, même non juif, ne peut que servir la cause judaïque, dans sa volonté de renforcer l’imagerie naïve de l’agneau judaïque innocent, prétendument sacrifié à la barbarie nazie désormais proclamée pour l’éternité !

JH, en forme de conclusion, vous rappelle simplement ces lignes magnifiques inspirées il y a quelques jours à "P@lp@tine" , avec lesquelles il se sent pleinement en accord :

"L'histoire c'est tout sauf l'émotion et l'instrumentalisation de l'émotion. C'est l'analyse froide, rigoureuse, au scalpel, de documents oraux, écrits ou filmés. On peut analyser des mouvements émotifs comme la venue de De Gaulle à Paris après son soulèvement, comprendre ces instants où la foule se massifie et vibre à l'unisson, mais ce n'est pas l'émotion qu'il peut provoquer en nous qui est importante, c'est de l'analyser et en comprendre les raisons. On peut aussi chercher à analyser pourquoi 60 ans après ces images provoquent chez certains d'entre nous "la chair de poule", pourquoi les larmes peuvent nous monter aux yeux. Le "temouagnage" des rescapés de la chôwa ne doit, à la même aune, éveiller en nous aucun sentiment si nous voulons les analyser en tant que documents historiques : ni compassion, ni empathie, ni dégoût, ni haine ! Nous devons les analyser avec la froideur et la rigueur mécanique que l'on attribue aux nazis ! Le premier travail de l'historien étant de "pondérer" les documents en estimant le degré d'implication personnelle des producteurs."

"La démarche du nabot est donc "anti-historique" : La lettre sera lue hors de son contexte, ce qui est le "B - A BA" d'une démarche historique."

On ne peut pas mieux dire !

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