Monday, October 29, 2007

James Watson, le grand découvreur avec Crick de la structure de l’A.D.N., déclare

Acte 1 : le 14 octobre dernier, le généticien américain de renommée internationale James Watson accorde un entretien au journal britannique Sunday Times, dans lequel il déclare être "foncièrement pessimiste sur l'avenir de l'Afrique". Il ajoutait alors : "Nos politiques sociales se fondent sur le fait que leur intelligence est la même que la nôtre, alors que toutes les recherches disent que ce n'est pas vraiment le cas." Fait incontestable, bien connu de la communauté scientifique depuis les premiers travaux de Jensen et d’Eysenck sur la question, depuis confirmé par tant d’autres études, en dépit de la vaste polémique artificiellement lancée contre eux dès les années 1970 par tous ceux qui font profession d’antiracisme militant de par le monde. Watson ajoutait même : "Les gens qui ont affaire à des employés noirs trouvent que ce n'est pas vrai". Bien sûr ! Vous mettez un frac à un négro, vous lui inculquez les règles élémentaires de la politesse et de la propreté, un vague vernis culturel en plus, et il fera illusion !

Acte 2 : le journal sénégalais Le Populaire découvre presque cinq jours plus tard l’existence de l’entretien en cause. Qualifiant immédiatement l’éminent scientifique de "Nobel de racisme", il rapporte que celui-ci aurait déclaré "que les Africains étaient moins intelligents que les Blancs". Vous remarquerez ici qu’on passe d’un jugement qualitatif (l’intelligence des êtres de type négroïde est incontestablement très différente de celle des Occidentaux de race blanche) à un jugement hiérarchisant ("moins intelligents"), et que ce qui concernait au départ la race nègre, aux USA, en Grande-Bretagne comme partout ailleurs, est présenté comme un préjugé (ce qu’il n’est pas) à l’encontre des Africains ! (Source : Le Monde du 19.10.2007)

Acte 3 : vive indignation attendue, car provoquée en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Watson présenté au monde comme un vieillard sénile, comme un raciste récidiviste, pour avoir antérieurement évoqué le plus grand développement des pulsions sexuelles chez les négros en comparaison des blancs (c’est le b.-a.-ba. de l’anthropologie physique ! simple question d’hormones et de développement relatif des glandes sudoripares suivant les grandes races). Watson contraint de se défendre, par un nouvel entretien donné aujourd’hui au quotidien The Independant, se déclare "mortifié" par les réactions à ses propos, signalant qu’il a été mal compris : "Et le plus grave, c'est que je ne peux pas comprendre comment j'ai pu dire ce sur quoi on me cite" (évidemment parce qu’il ne l’a pas dit !). "A tous ceux qui ont déduit de mes propos que l'Afrique, comme continent, était d'une certaine façon génétiquement inférieur, je ne peux que présenter mes excuses sans réserve", a-t-il encore ajouté. Se défendant encore de tout racisme, il déclare, en insistant une fois de plus sur ce qui est scientifique, au-delà de toute volonté de polémique parfaitement stérile : "Le souhait de presque toute la société aujourd'hui est d'estimer que la capacité à raisonner est un héritage universel de l'humanité. C'est possible. Mais vouloir simplement que ce soit le cas n'est pas suffisant. Ce n'est pas de la science. S'interroger sur cela n'est pas faire preuve de racisme". Et : "la science n’est pas là pour nous faire plaisir". "Ce n'est pas un débat sur la supériorité ou l'infériorité. Il s'agit d'essayer de comprendre les différences, pourquoi certains d'entre nous sont de grands musiciens et d'autres de grands ingénieurs." On ne peut être plus clair.

Conclusion : messieurs les bien pensants, les enjuivés, les partisans du métissage généralisé, des enculages judéo-nègres quasi imposés, et de tout ce dont vous pouvez encore rêver pour l’humanité, informez-vous d’abord, avant de critiquer ! Cultivez-vous sérieusement ! Faites de la science ! Qu’on puisse enfin retrouver le vrai sens des mots, pouvoir appeler un négro un nègre, et des races distinctes autrement que de l’euphémisme équivoque de "populations". Que chacun puisse au moins pouvoir énoncer en la matière ces vérités incontestables que la science permet d’établir, sans être immédiatement pris pour cible des critiques sans fondement de toutes sortes d’ignorants incompétents, souvent des produits dégénérés eux-mêmes des pires mélanges raciaux ayant jamais été. Finies les convenances et la langue de bois ! JH demande que les études raciales puissent être enfin réhabilitées, encourage sans le moindre a priori toute recherche scientifique dans ce domaine, quelles qu’en puissent être ultérieurement les conclusions, rend hommage aux chercheurs les plus courageux, ceux qui ne craignent ni la vindicte de l’opinion, ni les lois liberticides. Lui, il a bien une petite idée de ce que l’évolution du vivant a pu produire, et dissocier à un moment donné. Et il en respecte de toute manière le sens, qui garantira bien la survie de la race aryenne, en dépit même de sa destruction d’ores et déjà programmée par la juiverie mondiale. JH, lui, a la foi des survivants. Et il encourage le meilleur de l’humanité à suivre son exemple, sans craindre les délires hystériques des sous-hommes.

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