Sarkozy est-il juif ?
On ne peut qu'apprécier la magnifique contradiction chez l'intervenant Bartleby, qui poste à une heure d'intervalle [sur fr.soc.politique] :
"(...) en attendant, j'attends toujours la définition du "juif" "
puis :
"art 1er loi 3/10/1940 :
"Est regardé comme juif, pour l'application de la présente loi, toute personne issue de trois grands-parents de race juive ou de deux grands-parents de la même race, si son conjoint lui-même est juif."
Mais le texte oublie de préciser ce qu'est la "race juive"
Qu'à cela ne tienne, la loi du 2 juin 1940 précise :
1° "Celui ou celle, appartenant ou non à une confession quelconque, qui est issu d'au moins trois grands-parents de race juive, ou de deux seulement si son conjoint est lui-même issu de deux grands-parents de race juive.
Est regardé comme étant de race juive le grand-parent ayant appartenu à la religion juive ;
2° Celui ou celle qui appartient à la religion juive, ou y appartenait le 25 juin 1940, et qui est issu de deux grands-parents de race juive." "
Que lui faut-il de plus ?
Les deux objections qui suivent du même intervenant sont en revanche totalement infondées :
"Bref, les grands ancêtres de nos zorgub actuels n'étaient pas eux-mêmes très fixés, puisqu'ils définissent la "race" par la religion, et encore avec faculté d'apostasie..."
Non, il ne s'agissait pas à l'époque d'apostasie, mais de naturalisations abusives que les youpins de l'époque s'empressaient d'obtenir à leur profit, et qui furent ultérieurement dénoncées. Dans ce contexte, "religion juive" était simplement synonyme de nationalité douteuse, à coup sûr étrangère, parfois même impossible à établir : les youpins ne sont-ils pas d’éternels cosmopolites ? Et ces fameux "juifs de France", c’était bien en qualité d’étrangers circoncis qu’on les a renvoyés vers l’Est prendre des vacances. Bartleby est-il inculte, ou simplement, en tant que youtre lui-même, de mauvaise foi ? Puisque c'est évidemment la triste réalité qu'ils révisent en permanence l'histoire contemporaine dans le sens de leur victimitude toujours davantage accrue, et en s’arrogeant dans tous les pays toujours plus de droits que les nationaux.
On pourra encore faire remarquer qu’à l’époque, la définition de la race apparaissait à ce point évidente que le législateur n’éprouvait aucunement le besoin de la préciser, que lui demander rétrospectivement de le faire est suffisamment significatif du pil-poul judaïque, autrement reconnu comme art de couper les cheveux en quatre, que cela reviendrait à vouloir à tout prix trouver des poux sur un crâne rasé... Non, petite vermine circoncise, ou tout au moins sérieusement enjuivée, la LICA, devenue LICRA, n’était pas encore passée par là ; il n’y avait pas toutes ces lois liberticides qui entendent aujourd’hui interdire jusqu’à l’usage du mot "race", et surtout lorsqu’il s’agit des youtres. A l’époque, c’était simplement une définition telle que la suivante qui prévalait dans son évidence même : sont des juifs tous ces individus étroitement unis entre eux par les liens du sang, et qui se retrouvent souvent ensemble à la synagogue. JH peut ainsi vous faire remarquer que :
1) Il vous suffit de vous rendre partout au Nord ou à l’Est de l’Europe pour constater partout la présence dominante de personnes aux yeux d’un bleu profond, ce regard même des conquérants-nés, de ceux qui ont partout introduit l’idée même de civilisation, qui ont bien su envoyer l’homme jusque sur la Lune... Rien à voir avec ce regard bovin du nègre, ou cette face impavide, avec le sourire cruel qui l’accompagne souvent, du jaune. La race, c’est l’évidence même, et encore aujourd’hui, en dépit de ces métissages exacerbés que les youtres savent si bien imposer aux goyim.
2) Une meilleure définition du juif peut toujours être proposée. Par exemple celle de JH soi-même : "Est considéré(e) comme juif ou juive celui ou celle qui se comporte de manière suffisamment évidente comme tout(e) représentant(e) de cette race mentale invariablement honnie depuis l’Antiquité, telle que façonnée par l’esprit du Talmud, dont les préoccupations ne sont jamais que bassement matérielles, qui ne vénère d’autre dieu que l’argent, infatuée d’un intenable complexe de supériorité, attachée à mettre en scène en permanence sa propre victimisation, se présentant elle-même perpétuellement innocente de tous les crimes qui lui sont attribués, sachant si bien instrumentaliser à son profit jusqu’à l’accusation d’ "antisémitisme", etc. etc."
3) Le contexte même de l’actualité la plus récente vient jusqu’à confirmer tes pires fantasmes de pureté judaïque : la fille même de l’ex-épouse d’Alberich prénommée Jeanne-Marie célèbrera lors du prochain shabbat ses fiançailles ... mais avec qui au juste ? quel nom porte le prétendant ? est-il bien circoncis ? en est-il, de la "race élue", ou non ? et que fait-il dans la vie ? Puisque le youtre à talonnettes est suffisamment juif pour distraire tout le monde avec ce genre d’informations (et diffusées un jour de grève ! "et comment se portent la femme ? les enfants ?" ; c’est bien le boniment habituel du petit youpin pour détourner la méfiance de celui qu’il est en train d’escroquer !), cela, JH aimerait bien le savoir, et ne s’étonnerait en rien d’avoir la confirmation de ses légitimes soupçons.
Last, but not least : 4) aucun intervenant ici parmi les non-juifs ne semble soupçonner un seul instant qu’on puisse être selon la loi juive juif ET catholique. Non seulement en raison des conversions forcées du passé, mais parce que la conversion n’est rien selon le Talmud, que le mensonge, la tromperie et la dissimulation sont parfaitement licites, que seul importe le sang de la mère (Lustiger par exemple), et qu’il peut ainsi se concevoir des juifs honteux, ou au contraire fiers de l’être, tout dépend des situations, qui se proclament eux-mêmes catholiques (Sarkozy).
"(...) en attendant, j'attends toujours la définition du "juif" "
puis :
"art 1er loi 3/10/1940 :
"Est regardé comme juif, pour l'application de la présente loi, toute personne issue de trois grands-parents de race juive ou de deux grands-parents de la même race, si son conjoint lui-même est juif."
Mais le texte oublie de préciser ce qu'est la "race juive"
Qu'à cela ne tienne, la loi du 2 juin 1940 précise :
1° "Celui ou celle, appartenant ou non à une confession quelconque, qui est issu d'au moins trois grands-parents de race juive, ou de deux seulement si son conjoint est lui-même issu de deux grands-parents de race juive.
Est regardé comme étant de race juive le grand-parent ayant appartenu à la religion juive ;
2° Celui ou celle qui appartient à la religion juive, ou y appartenait le 25 juin 1940, et qui est issu de deux grands-parents de race juive." "
Que lui faut-il de plus ?
Les deux objections qui suivent du même intervenant sont en revanche totalement infondées :
"Bref, les grands ancêtres de nos zorgub actuels n'étaient pas eux-mêmes très fixés, puisqu'ils définissent la "race" par la religion, et encore avec faculté d'apostasie..."
Non, il ne s'agissait pas à l'époque d'apostasie, mais de naturalisations abusives que les youpins de l'époque s'empressaient d'obtenir à leur profit, et qui furent ultérieurement dénoncées. Dans ce contexte, "religion juive" était simplement synonyme de nationalité douteuse, à coup sûr étrangère, parfois même impossible à établir : les youpins ne sont-ils pas d’éternels cosmopolites ? Et ces fameux "juifs de France", c’était bien en qualité d’étrangers circoncis qu’on les a renvoyés vers l’Est prendre des vacances. Bartleby est-il inculte, ou simplement, en tant que youtre lui-même, de mauvaise foi ? Puisque c'est évidemment la triste réalité qu'ils révisent en permanence l'histoire contemporaine dans le sens de leur victimitude toujours davantage accrue, et en s’arrogeant dans tous les pays toujours plus de droits que les nationaux.
On pourra encore faire remarquer qu’à l’époque, la définition de la race apparaissait à ce point évidente que le législateur n’éprouvait aucunement le besoin de la préciser, que lui demander rétrospectivement de le faire est suffisamment significatif du pil-poul judaïque, autrement reconnu comme art de couper les cheveux en quatre, que cela reviendrait à vouloir à tout prix trouver des poux sur un crâne rasé... Non, petite vermine circoncise, ou tout au moins sérieusement enjuivée, la LICA, devenue LICRA, n’était pas encore passée par là ; il n’y avait pas toutes ces lois liberticides qui entendent aujourd’hui interdire jusqu’à l’usage du mot "race", et surtout lorsqu’il s’agit des youtres. A l’époque, c’était simplement une définition telle que la suivante qui prévalait dans son évidence même : sont des juifs tous ces individus étroitement unis entre eux par les liens du sang, et qui se retrouvent souvent ensemble à la synagogue. JH peut ainsi vous faire remarquer que :
1) Il vous suffit de vous rendre partout au Nord ou à l’Est de l’Europe pour constater partout la présence dominante de personnes aux yeux d’un bleu profond, ce regard même des conquérants-nés, de ceux qui ont partout introduit l’idée même de civilisation, qui ont bien su envoyer l’homme jusque sur la Lune... Rien à voir avec ce regard bovin du nègre, ou cette face impavide, avec le sourire cruel qui l’accompagne souvent, du jaune. La race, c’est l’évidence même, et encore aujourd’hui, en dépit de ces métissages exacerbés que les youtres savent si bien imposer aux goyim.
2) Une meilleure définition du juif peut toujours être proposée. Par exemple celle de JH soi-même : "Est considéré(e) comme juif ou juive celui ou celle qui se comporte de manière suffisamment évidente comme tout(e) représentant(e) de cette race mentale invariablement honnie depuis l’Antiquité, telle que façonnée par l’esprit du Talmud, dont les préoccupations ne sont jamais que bassement matérielles, qui ne vénère d’autre dieu que l’argent, infatuée d’un intenable complexe de supériorité, attachée à mettre en scène en permanence sa propre victimisation, se présentant elle-même perpétuellement innocente de tous les crimes qui lui sont attribués, sachant si bien instrumentaliser à son profit jusqu’à l’accusation d’ "antisémitisme", etc. etc."
3) Le contexte même de l’actualité la plus récente vient jusqu’à confirmer tes pires fantasmes de pureté judaïque : la fille même de l’ex-épouse d’Alberich prénommée Jeanne-Marie célèbrera lors du prochain shabbat ses fiançailles ... mais avec qui au juste ? quel nom porte le prétendant ? est-il bien circoncis ? en est-il, de la "race élue", ou non ? et que fait-il dans la vie ? Puisque le youtre à talonnettes est suffisamment juif pour distraire tout le monde avec ce genre d’informations (et diffusées un jour de grève ! "et comment se portent la femme ? les enfants ?" ; c’est bien le boniment habituel du petit youpin pour détourner la méfiance de celui qu’il est en train d’escroquer !), cela, JH aimerait bien le savoir, et ne s’étonnerait en rien d’avoir la confirmation de ses légitimes soupçons.
Last, but not least : 4) aucun intervenant ici parmi les non-juifs ne semble soupçonner un seul instant qu’on puisse être selon la loi juive juif ET catholique. Non seulement en raison des conversions forcées du passé, mais parce que la conversion n’est rien selon le Talmud, que le mensonge, la tromperie et la dissimulation sont parfaitement licites, que seul importe le sang de la mère (Lustiger par exemple), et qu’il peut ainsi se concevoir des juifs honteux, ou au contraire fiers de l’être, tout dépend des situations, qui se proclament eux-mêmes catholiques (Sarkozy).
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