Un film à boycotter
Sortira mercredi dans les salles le film "Bienvenue chez les ch’tis". Cela fait plusieurs semaines déjà qu’il fait l’objet d’une énorme campagne de promotion dans les médias. Tout est fait pour vanter sur tous les supports disponibles la dernière comédie à la mode, sur le thème des particularismes régionaux et du contraste entre le Nord et le Sud. L’auteur du film, le comique circoncis Daniel Hamidou dit "Dany Boon" est décidément un petit malin ! Non content d’avoir imposé au générique la présence de sa youpine à lui (Yael Harris), et aussi, comme pour se prémunir par avance de toute dénonciation de dérive communautariste, celle, dans le rôle principal, d’un autre allogène, Kaddour Merad, il a encore réussi à faire subventionner son film par la région Nord-Pas-de-Calais ! Alors que pas la moindre image de ce film n’est à l’avantage de cette région. Et, pire encore, le spectateur moyen risque de ne retenir du film que les habituels clichés méprisants à l’encontre de toute une région et de ses habitants. Mais de cela, Hamidou se moque éperdument ! Son unique objectif en faisant ce film, peut-on penser, c’est de se faire des couilles en or, et rien d’autre.
Au-delà, avec ce genre d’entreprises, il y a bien évidemment le danger de voir certaines idées nuisibles totalement banalisées : celle que l’enracinement dans un pays, c’est-à-dire une province chargée d’histoire et de traditions, une région, un terroir, n’a plus aucune espèce d’importance ; qu’on pourrait être objectivement un Africain et un ch’ti à la fois (ou youpin et de Toulouse, ou bougnoule et Marseillais en même temps, ou encore négro et Breton, tout aussi bien, c’est au choix !) ; qu’être d’une région, ce serait simplement y être né par hasard, ou même l’avoir rejointe, ce qui est à la portée de n’importe quel cosmopolite qui aurait décidé un beau jour de s’y installer... Non ! Ces fausses croyances doivent au contraire être très fermement combattues. Ce sont incontestablement les qualités de race, telles qu’héritées des longues lignées ancestrales dont on peut garder la mémoire, qui fondent les particularismes régionaux, leur donnent leur caractère authentiquement vivant, et les font ainsi perdurer, en permettant de les reconnaître. Des Bretons typiques par exemple pourront ainsi se distinguer d’eux-mêmes comme tels jusqu’au Canada. Personne n’aurait l’idée de les confondre avec d’autres groupes humains issus de toutes autres souches. Croyez-vous sérieusement qu’à l’inverse un quelconque bougnoule puisse seulement acquérir les qualités de probité, d’endurance à la tâche et de modestie extrême caractéristiques des habitants de la Lozère, simplement en s’y trouvant transplanté ?
Quant aux youpins en particulier, ils occupent, eux, des terres sur lesquelles ils n’ont aucun droit. Ils s’y installent, en repartent parfois, au gré des seuls mouvements migratoires et démographiques qui affectent ces populations tout particulièrement mélangées de vermines. Israël n’a rien d’un pays : c’est une simple base arrière de repli, où se retrouvent à l’occasion toutes sortes de métis d’extractions et de provenances les plus diverses, qui n’ont entre eux tous, sur le plan strictement racial, à peu près rien de commun, qui occupent illégalement la Palestine, où ils n’ont aucunes racines ancestrales, pour la quasi totalité d’entre eux, depuis moins de soixante ans ! Il n’y a pas d’autre alternative alors que celle-ci : il faut détruire Israël, ou bien faire disparaître, au moins par démantèlement, ce chancre que constitue un Etat juif, et non laïc, artificiellement implanté sur une terre arabe, musulmane et chrétienne.
Au-delà, avec ce genre d’entreprises, il y a bien évidemment le danger de voir certaines idées nuisibles totalement banalisées : celle que l’enracinement dans un pays, c’est-à-dire une province chargée d’histoire et de traditions, une région, un terroir, n’a plus aucune espèce d’importance ; qu’on pourrait être objectivement un Africain et un ch’ti à la fois (ou youpin et de Toulouse, ou bougnoule et Marseillais en même temps, ou encore négro et Breton, tout aussi bien, c’est au choix !) ; qu’être d’une région, ce serait simplement y être né par hasard, ou même l’avoir rejointe, ce qui est à la portée de n’importe quel cosmopolite qui aurait décidé un beau jour de s’y installer... Non ! Ces fausses croyances doivent au contraire être très fermement combattues. Ce sont incontestablement les qualités de race, telles qu’héritées des longues lignées ancestrales dont on peut garder la mémoire, qui fondent les particularismes régionaux, leur donnent leur caractère authentiquement vivant, et les font ainsi perdurer, en permettant de les reconnaître. Des Bretons typiques par exemple pourront ainsi se distinguer d’eux-mêmes comme tels jusqu’au Canada. Personne n’aurait l’idée de les confondre avec d’autres groupes humains issus de toutes autres souches. Croyez-vous sérieusement qu’à l’inverse un quelconque bougnoule puisse seulement acquérir les qualités de probité, d’endurance à la tâche et de modestie extrême caractéristiques des habitants de la Lozère, simplement en s’y trouvant transplanté ?
Quant aux youpins en particulier, ils occupent, eux, des terres sur lesquelles ils n’ont aucun droit. Ils s’y installent, en repartent parfois, au gré des seuls mouvements migratoires et démographiques qui affectent ces populations tout particulièrement mélangées de vermines. Israël n’a rien d’un pays : c’est une simple base arrière de repli, où se retrouvent à l’occasion toutes sortes de métis d’extractions et de provenances les plus diverses, qui n’ont entre eux tous, sur le plan strictement racial, à peu près rien de commun, qui occupent illégalement la Palestine, où ils n’ont aucunes racines ancestrales, pour la quasi totalité d’entre eux, depuis moins de soixante ans ! Il n’y a pas d’autre alternative alors que celle-ci : il faut détruire Israël, ou bien faire disparaître, au moins par démantèlement, ce chancre que constitue un Etat juif, et non laïc, artificiellement implanté sur une terre arabe, musulmane et chrétienne.
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