Comme un juif en France
JH a regardé, évidemment, les deux volets de ce documentaire de propagande imaginé par les youtres à destination des naïfs et des esprits non informés, tels que diffusés et rediffusés sur France 3. Il déplore que cette entreprise de désinformation n’ait pas suscité depuis davantage de réaction ici et dans la presse (en dehors du texte tout à fait intéressant traduit et posté ici même par P@lp@tine, mais dont le contenu est différent).
Chacun pouvait se douter, évidemment, que ce nouveau martèlement médiatique décidé par les youpins (ne tiennent-ils pas les médias ?), et ne jugeant de toute l’histoire récente que d’après leur seul point de vue, à l’exclusion de celui de tous les autres, ne pouvait qu’aller dans le sens de leur sempiternelle martyrologie, comme pour toujours mieux conforter leur propre complexe de victimitude. Le téléspectateur est évidemment invité à s’apitoyer encore et toujours sur le sort des youpins : "les pauvres ! toujours les victimes innocentes de cette haine "antisémite" totalement irrationnelle qui déferle régulièrement sur eux, jamais éradiquée, et qu’ils n’auraient prétendument rien fait pour mériter !" Dans ces conditions, ce n’est pas demain la veille qu’on verra à la télévision française un programme suffisamment soucieux d’objectivité historique pour détailler et expliciter toutes les positions d’influence réellement occupées par les youpins dans toute l’Europe d’avant guerre, ou bien analysant les multiples liens et réseaux de relations qui unissent de manière particulièrement étroite la juiverie parasite de France à Israël.
JH a retenu le générique : la rengaine "douce France", chère à tous les cosmopolites qui envahissent le pays, chantée en yiddish par le pédé juif hollandais passé de mode qui se cache sous le surnom de "Dave", avec des arrangements musicaux volontairement désuets (ah ! le charme de ces quartiers juifs d’avant guerre !). Toute la première partie du documentaire vantait ainsi l’intégration prétendument parfaite des youpins en France, même immigrés de fraîche date, et tentait désespérément de faire croire que la quasi-totalité d’entre eux occupaient des positions sociales modestes, vivaient exclusivement dans les quartiers populaires de la capitale, etc. La réalité historique est évidemment très différente : dans les années 1930 déjà, les youtres avaient réussi à s’accaparer les deux tiers des richesses de la France, détenaient déjà pour environ 300 milliards de capitaux ; 60 % d’entre eux étaient banquiers, rentiers, spéculateurs (contre un Français de souche seulement sur 40.000) ; les trois plus grandes fortunes de France étaient alors celles des familles Rothschild, Cahen et ... Dreyfus. C’est bien la même tribu. Même s’il y avait aussi des juifs à Belleville, on les trouvait surtout, tout comme aujourd’hui, à Neuilly et dans les beaux quartiers de Paris. Aucun dans les campagnes : les youtres préfèrent depuis toujours, tout comme n’importe quelle vermine, s’agréger entre eux. Et il suffit de dresser la carte de France des synagogues pour se rendre immédiatement compte des lieux de résidence qu’ils préfèrent depuis toujours : Paris et le sud-Est de la France, les grandes villes, et les départements les plus riches... Non seulement toutes les positions sociales d’avant-guerre ont toutes été reconquises et largement dépassées depuis, mais la carte de France des synagogues recouvre très exactement celle des assujettis à l’ISF ! Pure coïncidence, me direz-vous ? Certainement pas !
Et comment se justifierait alors la constitution de ces ligues "antisémites" encore après le règlement de l’affaire Dreyfuss ? L’inlassable dénonciation du capitalisme judaïque, de la richesse juive, de la cupidité des juifs, par presque toute la gauche d’avant-guerre ? Et en Allemagne, la célèbre "nuit de cristal" aurait-elle été seulement possible si, dans certaines villes, la quasi-totalité des commerces, avec leurs belles vitrines, n’étaient pas alors la propriété des juifs ? Alors, déferlement de haine irrationnelle, ou bien manifestations d’exaspération légitime, de la part des classes populaires surtout, contre ces éternels prédateurs circoncis ? JH vous laisse juges ! Et vous demande encore de réfléchir : qui sont encore aujourd’hui les réels exploiteurs de tous les peuples ? Les rois des stock-options représentant des millénaires de SMIC ? Banquiers, syndics de copropriété ou de faillite ? Tous ces propriétaires de boutiques bien implantées dans tous les centres-villes ? Tous de purs Aryens, sans la moindre contestation possible ?
Très instructives, toutes ces photographies de visages très sombres, de cheveux noirs, d’appendices nasaux particulièrement développés, de regards torves, tout autant observables sur les types masculin que féminin. Considérez à l’opposé ce qu’on s’est bien gardé de vous montrer en parallèle : cette belle jeunesse nordique et germanique de l’époque, saine, forte, sportive, élancée, blonde, de pure race aryenne, aujourd’hui presque totalement anéantie, par la seule volonté des youpins et de leurs métissages désormais exigibles pour tous sauf eux-mêmes. Regardez où nous en sommes aujourd’hui, faute du minimum d’éducation raciale dispensée aux jeunes : tous ces sous-produits dégénérés, tels qu’ils envahissent nos rues, et au milieu desquels le youtre se sentira toujours comme un poisson dans l’eau ! Cette situation-là, il l’a évidemment voulue.
Second volet du documentaire : de leur show-ouah-ouah à l’ "antisémitisme" d’aujourd’hui. Encore et toujours les mêmes lamentations, les mêmes exagérations et mises en scène victimaires, les mêmes mensonges éhontés. Et cet acteur circoncis qui avait le culot de demander quel rapport il pouvait bien y avoir entre un enfant juif pris pour cible en France et les exactions de l’armée d’Israël en Palestine ! JH va alors le lui expliquer : mais gros con de youtre ! As-tu déjà entendu leurs rabbins, leurs instances représentatives, la LICRA et tout le reste, condamner, ne serait-ce qu’une fois seulement, ces mêmes exactions ? Tout au contraire, et ici même chacun peut en trouver quasi quotidiennement la preuve, ils les approuvent, et les justifient même ! Quoi d’étonnant alors à ce que toute cette vermine, tous ces youpins, tous étroitement solidaires les uns des autres, puissent susciter autant de réactions épidermiques hostiles à leur encontre, et de la part des réelles victimes du pouvoir judaïque, des réels opprimés, le plus souvent ?
Mais bon sang ! De quoi les youpins en France peuvent-ils bien actuellement souffrir ? Du souvenir toujours plus show-ouah-ouah centré d’un passé d’il y a plus de soixante ans, et de la plus grande escroquerie de tous les temps qu’ils aient jamais imaginée pour faire accréditer leurs mensonges éhontés ? De n’avoir pas réussi à amasser suffisamment d’argent encore pour pouvoir s’installer aussi confortablement qu’ils le désireraient aux USA ou en Israël ? De l’envie qu’ils suscitent pour leurs richesses, pour leurs positions sociales avantageuses, de la part des défavorisés qu’ils produisent en nombre croissant, dans une société devenue, conformément à leurs désirs, d’un matérialisme toujours plus étroit et borné ?
A quand à la télévision française un documentaire consacré aux indicibles souffrances de toute cette faune négroïde telle que tombée des arbres quelque part en Afrique, charitablement recueillie ensuite par les Mendès (devenus Mendès-"France" !) et tant d’autres honorables circoncis encore, pour se voir offrir des emplois dans ces gigantesques plantations qu’ils détenaient aux Antilles, à Cuba, au Surinam ou encore au Brésil ? Après tout, n’est-ce pas grâce à eux que les deux Amériques sont aujourd’hui à peu près totalement négrifiées ? Et ne serait-ce pas là le sort désormais promis à toute l’Europe, par la seule grâce d’Alberich et des siens ?
Chacun pouvait se douter, évidemment, que ce nouveau martèlement médiatique décidé par les youpins (ne tiennent-ils pas les médias ?), et ne jugeant de toute l’histoire récente que d’après leur seul point de vue, à l’exclusion de celui de tous les autres, ne pouvait qu’aller dans le sens de leur sempiternelle martyrologie, comme pour toujours mieux conforter leur propre complexe de victimitude. Le téléspectateur est évidemment invité à s’apitoyer encore et toujours sur le sort des youpins : "les pauvres ! toujours les victimes innocentes de cette haine "antisémite" totalement irrationnelle qui déferle régulièrement sur eux, jamais éradiquée, et qu’ils n’auraient prétendument rien fait pour mériter !" Dans ces conditions, ce n’est pas demain la veille qu’on verra à la télévision française un programme suffisamment soucieux d’objectivité historique pour détailler et expliciter toutes les positions d’influence réellement occupées par les youpins dans toute l’Europe d’avant guerre, ou bien analysant les multiples liens et réseaux de relations qui unissent de manière particulièrement étroite la juiverie parasite de France à Israël.
JH a retenu le générique : la rengaine "douce France", chère à tous les cosmopolites qui envahissent le pays, chantée en yiddish par le pédé juif hollandais passé de mode qui se cache sous le surnom de "Dave", avec des arrangements musicaux volontairement désuets (ah ! le charme de ces quartiers juifs d’avant guerre !). Toute la première partie du documentaire vantait ainsi l’intégration prétendument parfaite des youpins en France, même immigrés de fraîche date, et tentait désespérément de faire croire que la quasi-totalité d’entre eux occupaient des positions sociales modestes, vivaient exclusivement dans les quartiers populaires de la capitale, etc. La réalité historique est évidemment très différente : dans les années 1930 déjà, les youtres avaient réussi à s’accaparer les deux tiers des richesses de la France, détenaient déjà pour environ 300 milliards de capitaux ; 60 % d’entre eux étaient banquiers, rentiers, spéculateurs (contre un Français de souche seulement sur 40.000) ; les trois plus grandes fortunes de France étaient alors celles des familles Rothschild, Cahen et ... Dreyfus. C’est bien la même tribu. Même s’il y avait aussi des juifs à Belleville, on les trouvait surtout, tout comme aujourd’hui, à Neuilly et dans les beaux quartiers de Paris. Aucun dans les campagnes : les youtres préfèrent depuis toujours, tout comme n’importe quelle vermine, s’agréger entre eux. Et il suffit de dresser la carte de France des synagogues pour se rendre immédiatement compte des lieux de résidence qu’ils préfèrent depuis toujours : Paris et le sud-Est de la France, les grandes villes, et les départements les plus riches... Non seulement toutes les positions sociales d’avant-guerre ont toutes été reconquises et largement dépassées depuis, mais la carte de France des synagogues recouvre très exactement celle des assujettis à l’ISF ! Pure coïncidence, me direz-vous ? Certainement pas !
Et comment se justifierait alors la constitution de ces ligues "antisémites" encore après le règlement de l’affaire Dreyfuss ? L’inlassable dénonciation du capitalisme judaïque, de la richesse juive, de la cupidité des juifs, par presque toute la gauche d’avant-guerre ? Et en Allemagne, la célèbre "nuit de cristal" aurait-elle été seulement possible si, dans certaines villes, la quasi-totalité des commerces, avec leurs belles vitrines, n’étaient pas alors la propriété des juifs ? Alors, déferlement de haine irrationnelle, ou bien manifestations d’exaspération légitime, de la part des classes populaires surtout, contre ces éternels prédateurs circoncis ? JH vous laisse juges ! Et vous demande encore de réfléchir : qui sont encore aujourd’hui les réels exploiteurs de tous les peuples ? Les rois des stock-options représentant des millénaires de SMIC ? Banquiers, syndics de copropriété ou de faillite ? Tous ces propriétaires de boutiques bien implantées dans tous les centres-villes ? Tous de purs Aryens, sans la moindre contestation possible ?
Très instructives, toutes ces photographies de visages très sombres, de cheveux noirs, d’appendices nasaux particulièrement développés, de regards torves, tout autant observables sur les types masculin que féminin. Considérez à l’opposé ce qu’on s’est bien gardé de vous montrer en parallèle : cette belle jeunesse nordique et germanique de l’époque, saine, forte, sportive, élancée, blonde, de pure race aryenne, aujourd’hui presque totalement anéantie, par la seule volonté des youpins et de leurs métissages désormais exigibles pour tous sauf eux-mêmes. Regardez où nous en sommes aujourd’hui, faute du minimum d’éducation raciale dispensée aux jeunes : tous ces sous-produits dégénérés, tels qu’ils envahissent nos rues, et au milieu desquels le youtre se sentira toujours comme un poisson dans l’eau ! Cette situation-là, il l’a évidemment voulue.
Second volet du documentaire : de leur show-ouah-ouah à l’ "antisémitisme" d’aujourd’hui. Encore et toujours les mêmes lamentations, les mêmes exagérations et mises en scène victimaires, les mêmes mensonges éhontés. Et cet acteur circoncis qui avait le culot de demander quel rapport il pouvait bien y avoir entre un enfant juif pris pour cible en France et les exactions de l’armée d’Israël en Palestine ! JH va alors le lui expliquer : mais gros con de youtre ! As-tu déjà entendu leurs rabbins, leurs instances représentatives, la LICRA et tout le reste, condamner, ne serait-ce qu’une fois seulement, ces mêmes exactions ? Tout au contraire, et ici même chacun peut en trouver quasi quotidiennement la preuve, ils les approuvent, et les justifient même ! Quoi d’étonnant alors à ce que toute cette vermine, tous ces youpins, tous étroitement solidaires les uns des autres, puissent susciter autant de réactions épidermiques hostiles à leur encontre, et de la part des réelles victimes du pouvoir judaïque, des réels opprimés, le plus souvent ?
Mais bon sang ! De quoi les youpins en France peuvent-ils bien actuellement souffrir ? Du souvenir toujours plus show-ouah-ouah centré d’un passé d’il y a plus de soixante ans, et de la plus grande escroquerie de tous les temps qu’ils aient jamais imaginée pour faire accréditer leurs mensonges éhontés ? De n’avoir pas réussi à amasser suffisamment d’argent encore pour pouvoir s’installer aussi confortablement qu’ils le désireraient aux USA ou en Israël ? De l’envie qu’ils suscitent pour leurs richesses, pour leurs positions sociales avantageuses, de la part des défavorisés qu’ils produisent en nombre croissant, dans une société devenue, conformément à leurs désirs, d’un matérialisme toujours plus étroit et borné ?
A quand à la télévision française un documentaire consacré aux indicibles souffrances de toute cette faune négroïde telle que tombée des arbres quelque part en Afrique, charitablement recueillie ensuite par les Mendès (devenus Mendès-"France" !) et tant d’autres honorables circoncis encore, pour se voir offrir des emplois dans ces gigantesques plantations qu’ils détenaient aux Antilles, à Cuba, au Surinam ou encore au Brésil ? Après tout, n’est-ce pas grâce à eux que les deux Amériques sont aujourd’hui à peu près totalement négrifiées ? Et ne serait-ce pas là le sort désormais promis à toute l’Europe, par la seule grâce d’Alberich et des siens ?
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