Dieu unique...
Vous pensez juste : il y a bien une opposition essentielle, elle n'est pas niable, entre l'Aryen et le juif. C'est la base même de notre mythologie : le sang contre l'or, la santé des corps, la force innocente, d’avance assurée de sa supériorité inattaquable, soit la vie même, contre la corruption des âmes, l’intellectualisme méprisant, les pires perversions qui puissent être, la dégénérescence... C'est l'éternel combat du bien contre le mal, et nous sommes, moi-même et tous les camarades qui se reconnaissent là, avant tout des combattants, quand bien même nous serions actuellement réduits à un tout dernier carré de survivants. Les youpins les plus cohérents avec eux-mêmes ne sont pas autrement nos éternels ennemis : nous sommes pour eux *le pire* dont ils aient jamais pu rêver, puisque nous refusons par avance tous leurs métissages imposés, affirmons une fidélité sans faille à ce que nous sommes depuis toujours, entendons nous maintenir au moins aussi purs qu'eux, dénonçant sans relâche leur pouvoir, leur politique pour l’Europe, etc.
Il ne peut y avoir de place, en tout cas sur notre vieux continent, à la fois pour cette prétendue "race élue", et pour la race aryenne incontestablement supérieure, au moins par ses valeurs, dont nous nous efforçons d’être les dignes représentants.
Quant à votre Dieu prétendument unique, vous savez déjà ce qu’il représente pour moi : un pur produit de l’imagination au plus haut point intolérante de tous ces fanatiques du désert, vulgaires enculeurs de chèvres ou de dromadaires, ou ayant encore trop abusé de la masturbation, avec ou sans leurs petits garçons, pour avoir pu prendre leurs propres fantasmes pour shekel comptant...
Il ne peut y avoir de place, en tout cas sur notre vieux continent, à la fois pour cette prétendue "race élue", et pour la race aryenne incontestablement supérieure, au moins par ses valeurs, dont nous nous efforçons d’être les dignes représentants.
Quant à votre Dieu prétendument unique, vous savez déjà ce qu’il représente pour moi : un pur produit de l’imagination au plus haut point intolérante de tous ces fanatiques du désert, vulgaires enculeurs de chèvres ou de dromadaires, ou ayant encore trop abusé de la masturbation, avec ou sans leurs petits garçons, pour avoir pu prendre leurs propres fantasmes pour shekel comptant...
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