Trois exemples de dispositifs actuels d'autodéfense de la part des juifs
Depuis des millénaires que cette race mentale s'active dans ses oeuvres, à peu près toutes destructrices de l'Europe et de l'Occident, les juifs ont bien su imaginer toutes sortes de discours et de postures qui leur permettent de se protéger de la dénonciation qui pourrait être faite de leurs agissements. Le but est toujours le même : désamorcer les critiques en les ridiculisant, en tentant de les faire passer pour des délires prétendument dignes de malades mentaux ET des fantasmes de criminels, QUAND BIEN MEME il ne s’agirait que de produire des faits aisément vérifiables ou des arguments rationnels ! Ce n’est qu’ensuite, si leur adversaire n’acceptait toujours pas de s’abstenir de dénoncer les agissements des juifs, n’était pas disposé à reconnaître leur fausse supériorité et celle de leurs valeurs bassement matérialistes, qu’ils obtiendront de le faire taire, en lui faisant un procès (combien de critiques d’Israël se retrouveront-ils finalement devant les tribunaux, convoqués parfois pour des motifs futiles, sur toutes sortes d’accusations mensongères, d’une parfaite mauvaise foi, ou encore à l’instigation de prétendus "témoins" trouvés on ne sait où ?), ou en ayant recours DIRECTEMENT A LA VIOLENCE (ces prétendues "ligues de défense" juives sont particulièrement actives en France, pays dans lequel elles bénéficient d’une totale impunité, en étant même les seules bandes armées à bénéficier d’une quasi légalité !). Trois exemples de ce type de défenses.
Premier exemple : la "vieille thèse" d’un prétendu "complot"
Tout juif a le devoir de se montrer solidaire d’un autre juif (pour le Talmud, les juifs sont toujours responsables les uns des autres) et d’Israël. Le judaïsme, c’est avant tout l’appartenance à une communauté étroitement unie, celle "des fils et des filles d’Israël", le "peuple élu", la communauté "humaine" (pour les juifs, les goyim ne sont pas des hommes à part entière, à ce qu’ils prétendent, les juifs seuls possèdent cette dignité, tous les autres ne sont que des animaux ! il faut le savoir), etc. Ce n’est qu’accidentellement une croyance religieuse monothéiste (il n’y a pas de véritable théologie dans le judaïsme, uniquement des lectures et des interprétations sans fin de la Torah et du Talmud), qui tente de se faire passer pour une morale (en raison de cette quantité invraisemblable de prescriptions et d’interdits qu’il comporte, mais qui ne concernent exclusivement que les juifs). On appartient à la "communauté" par la naissance (est juif(-ve) celui ou celle qui est né(e) de mère juive exclusivement : un converti ne sera jamais regardé par eux comme étant tout à fait un juif ; seuls les rabbins libéraux prononcent des conversions, que les orthodoxes ne reconnaissent pas ; la conversion au judaïsme est très longue et difficile, et tout est fait pour décourager les postulants et les maintenir dans leur premier état de goyim). L’endogamie est chez eux un impératif absolu (entre eux, les juifs regardent les mariages mixtes comme une abomination). Les prières des juifs s’énoncent à la première personne du pluriel : "nous", c’est-à-dire nous tous, qui formons ensemble la race élue...
Par ailleurs, les juifs ne savent que poursuivre des buts étroitement et bassement matériels : dans les synagogues, où on se retrouve entre soi, il n’est pas du tout inconvenant de parler d’affaires ou d’argent, ou bien de continuer à faire du commerce ; le plus grand désir de tout juif est souvent uniquement de s’enrichir au plus vite ; les bénédictions du rabbin et le rachat des fautes s’obtiennent contre de l’argent ; chaque juif, pour pouvoir faire son aliya, le plus souvent vers l’âge de la retraite, ne se préoccupera que d’accumuler le maximum d’argent, par des moyens d’ailleurs plus souvent malhonnêtes qu’honnêtes (la morale juive ne condamne aucunement, dans la plupart des cas, les moyens, même parfaitement illégaux, de "faire de l’argent", mais se contente le plus souvent d’entériner le résultat, ou bien de stigmatiser la bêtise du juif qui se ferait rattraper par le fisc ou par la justice !), afin de vivre le plus confortablement possible en Israël, sur la terre de Palestine, où il se trouve à l’abri de toute poursuite (l’Etat d’Israël, qui se veut lui-même un refuge commode où tout juif du monde devrait prétendument être en sécurité, n’extrade jamais aucun de ses ressortissants juifs, quelle que puisse être la gravité des crimes qu’il ait commis ailleurs, ne donne jamais suite à aucune plainte contre un juif, etc.)
Par le passé, les juifs usaient de tout un langage gestuel et à base de mimiques et d’expressions du visage, qui leur permettait de se reconnaître immédiatement comme juifs, et même de communiquer entre eux à l’insu des goyim ! J’ai pu cependant constater moi-même, sur la base de patientes observations (où il faut être particulièrement attentif, les gestes sont échangés très vite pour être quasiment imperceptibles) qu’il en allait de ce langage comme du yiddish : seuls les plus vieux le connaissent encore, peut-être pour l’avoir appris dans les ghettos d’Europe de l’Est, je ne le sais ; les jeunes juifs, eux, l’ignorent totalement.
En somme, n’avez-vous pas ci-dessus tous les éléments susceptibles de nourrir effectivement cette vieille idée d’un complot juif en vue de la domination matérielle du monde ?
Mais essayez donc de rappeler à un juif les faits précédents. Il aura alors beau jeu de vous répondre : mais c’est la thèse du complot que vous énoncez là ! insupportable antisémitisme ! collectivement, les juifs ne poursuivent aucun but, et certainement pas la maîtrise du monde ! (ils se contentent seulement de convenir des mêmes nécessités, notamment celle de lutter ensemble contre toute menace qui pourrait se faire jour sur leur statut et leurs privilèges individuels, d’où cette dénonciation inlassable du prétendu "antisémitisme", ou de la haine des juifs par les goyim, sur laquelle ils sont tous d’accord, de défendre vigoureusement leur communauté, de revendiquer sans cesse des droits spécifiques, ET tous poursuivent souvent les mêmes buts, non pas tant la puissance ou le pouvoir, que l’enrichissement, l’argent, la richesse facile, et la jouissance qui l’accompagne...)
Deuxième exemple : tous des nazis !
Tous les antisémites ne sont certainement pas des nostalgiques du IIIe Reich ou des néo-nazis. Tous les révisionnistes ne se situent pas tous politiquement, sans la moindre exception, à l’extrême-droite. Tous les antisionistes ne se reconnaissent pas nécessairement eux-mêmes comme des antisémites. Et pourtant, les juifs tiennent au plus haut point à ce genre d’amalgames, lesquels, avec la criminalisation du national-socialisme et la réécriture constante de l’histoire du XXème siècle dans une perspective judéo-centrée, sont propres à déconsidérer totalement la moindre critique à leur égard. Et la situation s’aggrave chaque jour davantage, avec l’ignorance de l’histoire qui devient abyssale chez les plus jeunes, lesquels forment alors un public de choix pour tous ces mensonges et exagérations au profit exclusif des juifs.
Les réalisations matérielles du régime national-socialiste sont indéniables, notamment en matière de lutte contre le chômage, d’amélioration du bien-être des travailleurs allemands, d’accroissement des salaires réels, de politique de santé publique, etc. etc. On célèbre en ce moment en France le 70ème anniversaire des premiers congés payés par exemple. Mais qui sait encore que le Front populaire, à l’époque, n’avait fait que concéder à l’ouvrier français une misérable semaine de vacances, et encore uniquement pour désamorcer les revendications sociales d’alors dans l’industrie, alors que dans le même temps tout ouvrier allemand bénéficiait déjà, lui, de 22 jours de repos rémunérés !? Toutes les avancées sociales du régime, tous ses aspects positifs, doivent impitoyablement être gommés au profit de la seule version de l’histoire de la période qui puisse convenir aux juifs : celle qui ne retient que leur "shoah", pour l’éternité et pour la culpabilisation à jamais de tous les goyim ! Avec cette légende juive des chambres à gaz exterminatrices, le national-socialisme est simplement devenu le régime prétendument le plus criminel de tous les temps (combien de morts en face, du côté de l’URSS stalinienne ?) et cette sorte d’éternel symbole du mal absolu ! Mais qui sait encore que les camps de rétention où se trouvaient rassemblés les juifs apatrides en France, tels que celui de Gurs par exemple, ont été ouverts, non pas par le gouvernement de Vichy, mais par le précédent, celui du Front populaire ? Qui sait encore que le camp de Dachau n’a jamais été autre chose qu’un camp de détention, qu’on a prétendu projeter à Nuremberg les images d’une chambre à gaz qui aurait été prétendument en service dans ce camp, que ces images ont été retenues comme des éléments à charge au cours du procès, alors qu’on a pu par la suite démontrer qu’aucune chambre à gaz criminelle n’avait jamais été existé à Dachau, et que ce petit film qui se diffuse encore sans ces précisions sur le web n’était qu’une fiction cinématographique ! Qui est encore assez âgé pour se souvenir des crimes de l’épuration, à partir de l’été 1944 ? de ceux des "résistants", dont la plupart n’étaient que de la toute dernière heure ? de ceux commis en toute impunité sur les prisonniers allemands ?
Bientôt, on fera croire au grand public que c’est Hitler qui aurait déclaré la guerre aux démocraties, qu’elles, elles ne faisaient prétendument que défendre les valeurs de l’Occident contre la "barbarie" nazie, et n’auraient jamais commis quant à elles le moindre crime, que tous les Allemands n’étaient à l’époque que des criminels assoiffés de sang juif, ou bien encore que dès 1933 toute la politique allemande n’avait pour seul et unique but que l’extermination des juifs !
Et c’est alors qu’on vous répètera de plus en plus souvent, de manière incantatoire : vous vous permettez de critiquer les juifs, ou bien la politique d’Israël au Proche-Orient ? alors, auriez-vous déjà oublié Auschwitz ? les chambres à gaz ? "les urnes pleines des cendres des juifs déportés" ? voudriez-vous vraiment que tout recommence ? seriez-vous donc incapable de tirer les leçons du passé ?
Mais il y a pire encore. Si on étudie de près les faits allégués censés établir de manière définitive et sans appel la suprême culpabilité des nazis, alors on va de surprise en surprise ! Quoi ? Eichmann, présenté comme le maître d’œuvre de la "solution finale", le plus grand des criminels de guerre, auquel Israël a fait un célèbre procès, est demeuré durant toute la guerre un officier subalterne ? Il n’a donc jamais été promu à un grade plus élevé ? Cela ne cadre pas avec les responsabilités considérables qu’il était censé avoir ! Quoi ? Le docteur Mengele, le type même du médecin nazi sadique, célèbre pour ses prétendues expériences sur les jumeaux, que tant de faux témoins décrivent comme le tortionnaire qu’il est censé avoir été, est inconnu à l’état-civil de son village ? et on ne retrouve pas trace de son doctorat en médecine non plus ? A-t-il seulement existé, celui-là ? Quoi ? La Russie a restitué depuis longtemps déjà les registres allemands des morts d’Auschwitz ? Et les listes des victimes ainsi que les totaux n’ont toujours pas été communiqués au public ? On ne peut pas comparer avec les listes de noms des convois de déportés ? Avec les noms qui figurent sur le site de Yad Vashem ? Nein ! Verboten ! Sie beleidigen die Erinnerung an die Opfer! ... Warum ? Alors, la conclusion s’impose d’elle-même : les juifs n’ont reculé devant aucun mensonge ni mise en scène pour entretenir la légende. Ils espèrent sans doute que la plupart ne seront pas suffisamment attentifs, ou n’auront pas l’esprit suffisamment critique pour s’en apercevoir, ou encore s’interdiront, par scrupule moral, que sais-je ? de regarder de plus près les fondements de la légende... Quant aux autres, il suffirait certainement d’en faire de dangereux négateurs passibles de poursuites pénales pour les faire taire !
Troisième exemple : l’accusation de meurtre rituel
Je me suis déjà montré bien trop long en développant les exemples précédents. Aussi serai-je ici plus bref.
Chacun n’ignore pas en quoi consistait cette accusation, que les juifs ont parfaitement su retourner à leur profit comme l’exemple-type de l’affirmation absurde et dépourvue du moindre fondement, révélatrice de l’antisémitisme chrétien, et sur laquelle on rabattra en dernier recours toute affirmation critique à l’égard des juifs, comme si toutes étaient de même, caractéristiques d’un antisémitisme qui ne serait jamais que sans fondement, "obsessionnel" et "délirant" : quoi ? pourquoi ne ressortez-vous pas contre nous l’accusation de meurtre rituel, tant que vous y êtes ? mais vous délirez totalement ! etc.
Ce n’est qu’à la condition de s’interroger vraiment qu’on pourra commencer à comprendre. Mais d’où a bien pu provenir au cours des siècles chrétiens un thème en soi aussi absurde que celui du "meurtre rituel" ? Et c’est alors là que tout s’éclaire ! Mais, bon sang ! c’est bien sûr ! L’agneau du Seder, de la Pâque juive, rituellement consommé, les coupes rituelles, etc., tout cela est bien lourd de symboles ! Voilà pourquoi les juifs interdisent depuis toujours à tout chrétien d’assister à leur repas de Seder ! Ils savent très bien qu’un chrétien convaincu ne manquerait pas d’être profondément choqué par toute cette mise en scène débilement superstitieuse : les minutieux préparatifs du Seder, accomplis dans le secret des maisons juives, l’os du petit agneau, le symbole même de l’innocence mise à mort, l’agneau divin, c’est-à-dire l’enfant-Jésus pour le chrétien, qu’on ronge jusqu’à la dernière miette, la barbe sanguinolente et toute dégoûtante de vin, l’exhortation finale : "l’an prochain, tous à Jérusalem !", ces paroles proférées en hébreu, c’est-à-dire dans une langue gutturale, particulièrement lourde, inconnue de la plupart des chrétiens, dont beaucoup ignorent encore à peu près tout des simagrées rituelles des youpins.
Les juifs savent bien cela, évidemment, mais comme ils regardent ordinairement les chrétiens comme des "envieux" et des "usurpateurs" (à ce qu’on m’a précisé), ils prennent bien garde de ne pas les choquer. Ils font mine de ne pas savoir, ou de ne pas comprendre, dans l’intérêt de la communauté ! En tout cas, on comprend pourquoi les antisémites les plus convaincus se recrutent parmi les peuples les plus croyants, les Pollaks cathos ou les orthodoxes russes par exemple !
Premier exemple : la "vieille thèse" d’un prétendu "complot"
Tout juif a le devoir de se montrer solidaire d’un autre juif (pour le Talmud, les juifs sont toujours responsables les uns des autres) et d’Israël. Le judaïsme, c’est avant tout l’appartenance à une communauté étroitement unie, celle "des fils et des filles d’Israël", le "peuple élu", la communauté "humaine" (pour les juifs, les goyim ne sont pas des hommes à part entière, à ce qu’ils prétendent, les juifs seuls possèdent cette dignité, tous les autres ne sont que des animaux ! il faut le savoir), etc. Ce n’est qu’accidentellement une croyance religieuse monothéiste (il n’y a pas de véritable théologie dans le judaïsme, uniquement des lectures et des interprétations sans fin de la Torah et du Talmud), qui tente de se faire passer pour une morale (en raison de cette quantité invraisemblable de prescriptions et d’interdits qu’il comporte, mais qui ne concernent exclusivement que les juifs). On appartient à la "communauté" par la naissance (est juif(-ve) celui ou celle qui est né(e) de mère juive exclusivement : un converti ne sera jamais regardé par eux comme étant tout à fait un juif ; seuls les rabbins libéraux prononcent des conversions, que les orthodoxes ne reconnaissent pas ; la conversion au judaïsme est très longue et difficile, et tout est fait pour décourager les postulants et les maintenir dans leur premier état de goyim). L’endogamie est chez eux un impératif absolu (entre eux, les juifs regardent les mariages mixtes comme une abomination). Les prières des juifs s’énoncent à la première personne du pluriel : "nous", c’est-à-dire nous tous, qui formons ensemble la race élue...
Par ailleurs, les juifs ne savent que poursuivre des buts étroitement et bassement matériels : dans les synagogues, où on se retrouve entre soi, il n’est pas du tout inconvenant de parler d’affaires ou d’argent, ou bien de continuer à faire du commerce ; le plus grand désir de tout juif est souvent uniquement de s’enrichir au plus vite ; les bénédictions du rabbin et le rachat des fautes s’obtiennent contre de l’argent ; chaque juif, pour pouvoir faire son aliya, le plus souvent vers l’âge de la retraite, ne se préoccupera que d’accumuler le maximum d’argent, par des moyens d’ailleurs plus souvent malhonnêtes qu’honnêtes (la morale juive ne condamne aucunement, dans la plupart des cas, les moyens, même parfaitement illégaux, de "faire de l’argent", mais se contente le plus souvent d’entériner le résultat, ou bien de stigmatiser la bêtise du juif qui se ferait rattraper par le fisc ou par la justice !), afin de vivre le plus confortablement possible en Israël, sur la terre de Palestine, où il se trouve à l’abri de toute poursuite (l’Etat d’Israël, qui se veut lui-même un refuge commode où tout juif du monde devrait prétendument être en sécurité, n’extrade jamais aucun de ses ressortissants juifs, quelle que puisse être la gravité des crimes qu’il ait commis ailleurs, ne donne jamais suite à aucune plainte contre un juif, etc.)
Par le passé, les juifs usaient de tout un langage gestuel et à base de mimiques et d’expressions du visage, qui leur permettait de se reconnaître immédiatement comme juifs, et même de communiquer entre eux à l’insu des goyim ! J’ai pu cependant constater moi-même, sur la base de patientes observations (où il faut être particulièrement attentif, les gestes sont échangés très vite pour être quasiment imperceptibles) qu’il en allait de ce langage comme du yiddish : seuls les plus vieux le connaissent encore, peut-être pour l’avoir appris dans les ghettos d’Europe de l’Est, je ne le sais ; les jeunes juifs, eux, l’ignorent totalement.
En somme, n’avez-vous pas ci-dessus tous les éléments susceptibles de nourrir effectivement cette vieille idée d’un complot juif en vue de la domination matérielle du monde ?
Mais essayez donc de rappeler à un juif les faits précédents. Il aura alors beau jeu de vous répondre : mais c’est la thèse du complot que vous énoncez là ! insupportable antisémitisme ! collectivement, les juifs ne poursuivent aucun but, et certainement pas la maîtrise du monde ! (ils se contentent seulement de convenir des mêmes nécessités, notamment celle de lutter ensemble contre toute menace qui pourrait se faire jour sur leur statut et leurs privilèges individuels, d’où cette dénonciation inlassable du prétendu "antisémitisme", ou de la haine des juifs par les goyim, sur laquelle ils sont tous d’accord, de défendre vigoureusement leur communauté, de revendiquer sans cesse des droits spécifiques, ET tous poursuivent souvent les mêmes buts, non pas tant la puissance ou le pouvoir, que l’enrichissement, l’argent, la richesse facile, et la jouissance qui l’accompagne...)
Deuxième exemple : tous des nazis !
Tous les antisémites ne sont certainement pas des nostalgiques du IIIe Reich ou des néo-nazis. Tous les révisionnistes ne se situent pas tous politiquement, sans la moindre exception, à l’extrême-droite. Tous les antisionistes ne se reconnaissent pas nécessairement eux-mêmes comme des antisémites. Et pourtant, les juifs tiennent au plus haut point à ce genre d’amalgames, lesquels, avec la criminalisation du national-socialisme et la réécriture constante de l’histoire du XXème siècle dans une perspective judéo-centrée, sont propres à déconsidérer totalement la moindre critique à leur égard. Et la situation s’aggrave chaque jour davantage, avec l’ignorance de l’histoire qui devient abyssale chez les plus jeunes, lesquels forment alors un public de choix pour tous ces mensonges et exagérations au profit exclusif des juifs.
Les réalisations matérielles du régime national-socialiste sont indéniables, notamment en matière de lutte contre le chômage, d’amélioration du bien-être des travailleurs allemands, d’accroissement des salaires réels, de politique de santé publique, etc. etc. On célèbre en ce moment en France le 70ème anniversaire des premiers congés payés par exemple. Mais qui sait encore que le Front populaire, à l’époque, n’avait fait que concéder à l’ouvrier français une misérable semaine de vacances, et encore uniquement pour désamorcer les revendications sociales d’alors dans l’industrie, alors que dans le même temps tout ouvrier allemand bénéficiait déjà, lui, de 22 jours de repos rémunérés !? Toutes les avancées sociales du régime, tous ses aspects positifs, doivent impitoyablement être gommés au profit de la seule version de l’histoire de la période qui puisse convenir aux juifs : celle qui ne retient que leur "shoah", pour l’éternité et pour la culpabilisation à jamais de tous les goyim ! Avec cette légende juive des chambres à gaz exterminatrices, le national-socialisme est simplement devenu le régime prétendument le plus criminel de tous les temps (combien de morts en face, du côté de l’URSS stalinienne ?) et cette sorte d’éternel symbole du mal absolu ! Mais qui sait encore que les camps de rétention où se trouvaient rassemblés les juifs apatrides en France, tels que celui de Gurs par exemple, ont été ouverts, non pas par le gouvernement de Vichy, mais par le précédent, celui du Front populaire ? Qui sait encore que le camp de Dachau n’a jamais été autre chose qu’un camp de détention, qu’on a prétendu projeter à Nuremberg les images d’une chambre à gaz qui aurait été prétendument en service dans ce camp, que ces images ont été retenues comme des éléments à charge au cours du procès, alors qu’on a pu par la suite démontrer qu’aucune chambre à gaz criminelle n’avait jamais été existé à Dachau, et que ce petit film qui se diffuse encore sans ces précisions sur le web n’était qu’une fiction cinématographique ! Qui est encore assez âgé pour se souvenir des crimes de l’épuration, à partir de l’été 1944 ? de ceux des "résistants", dont la plupart n’étaient que de la toute dernière heure ? de ceux commis en toute impunité sur les prisonniers allemands ?
Bientôt, on fera croire au grand public que c’est Hitler qui aurait déclaré la guerre aux démocraties, qu’elles, elles ne faisaient prétendument que défendre les valeurs de l’Occident contre la "barbarie" nazie, et n’auraient jamais commis quant à elles le moindre crime, que tous les Allemands n’étaient à l’époque que des criminels assoiffés de sang juif, ou bien encore que dès 1933 toute la politique allemande n’avait pour seul et unique but que l’extermination des juifs !
Et c’est alors qu’on vous répètera de plus en plus souvent, de manière incantatoire : vous vous permettez de critiquer les juifs, ou bien la politique d’Israël au Proche-Orient ? alors, auriez-vous déjà oublié Auschwitz ? les chambres à gaz ? "les urnes pleines des cendres des juifs déportés" ? voudriez-vous vraiment que tout recommence ? seriez-vous donc incapable de tirer les leçons du passé ?
Mais il y a pire encore. Si on étudie de près les faits allégués censés établir de manière définitive et sans appel la suprême culpabilité des nazis, alors on va de surprise en surprise ! Quoi ? Eichmann, présenté comme le maître d’œuvre de la "solution finale", le plus grand des criminels de guerre, auquel Israël a fait un célèbre procès, est demeuré durant toute la guerre un officier subalterne ? Il n’a donc jamais été promu à un grade plus élevé ? Cela ne cadre pas avec les responsabilités considérables qu’il était censé avoir ! Quoi ? Le docteur Mengele, le type même du médecin nazi sadique, célèbre pour ses prétendues expériences sur les jumeaux, que tant de faux témoins décrivent comme le tortionnaire qu’il est censé avoir été, est inconnu à l’état-civil de son village ? et on ne retrouve pas trace de son doctorat en médecine non plus ? A-t-il seulement existé, celui-là ? Quoi ? La Russie a restitué depuis longtemps déjà les registres allemands des morts d’Auschwitz ? Et les listes des victimes ainsi que les totaux n’ont toujours pas été communiqués au public ? On ne peut pas comparer avec les listes de noms des convois de déportés ? Avec les noms qui figurent sur le site de Yad Vashem ? Nein ! Verboten ! Sie beleidigen die Erinnerung an die Opfer! ... Warum ? Alors, la conclusion s’impose d’elle-même : les juifs n’ont reculé devant aucun mensonge ni mise en scène pour entretenir la légende. Ils espèrent sans doute que la plupart ne seront pas suffisamment attentifs, ou n’auront pas l’esprit suffisamment critique pour s’en apercevoir, ou encore s’interdiront, par scrupule moral, que sais-je ? de regarder de plus près les fondements de la légende... Quant aux autres, il suffirait certainement d’en faire de dangereux négateurs passibles de poursuites pénales pour les faire taire !
Troisième exemple : l’accusation de meurtre rituel
Je me suis déjà montré bien trop long en développant les exemples précédents. Aussi serai-je ici plus bref.
Chacun n’ignore pas en quoi consistait cette accusation, que les juifs ont parfaitement su retourner à leur profit comme l’exemple-type de l’affirmation absurde et dépourvue du moindre fondement, révélatrice de l’antisémitisme chrétien, et sur laquelle on rabattra en dernier recours toute affirmation critique à l’égard des juifs, comme si toutes étaient de même, caractéristiques d’un antisémitisme qui ne serait jamais que sans fondement, "obsessionnel" et "délirant" : quoi ? pourquoi ne ressortez-vous pas contre nous l’accusation de meurtre rituel, tant que vous y êtes ? mais vous délirez totalement ! etc.
Ce n’est qu’à la condition de s’interroger vraiment qu’on pourra commencer à comprendre. Mais d’où a bien pu provenir au cours des siècles chrétiens un thème en soi aussi absurde que celui du "meurtre rituel" ? Et c’est alors là que tout s’éclaire ! Mais, bon sang ! c’est bien sûr ! L’agneau du Seder, de la Pâque juive, rituellement consommé, les coupes rituelles, etc., tout cela est bien lourd de symboles ! Voilà pourquoi les juifs interdisent depuis toujours à tout chrétien d’assister à leur repas de Seder ! Ils savent très bien qu’un chrétien convaincu ne manquerait pas d’être profondément choqué par toute cette mise en scène débilement superstitieuse : les minutieux préparatifs du Seder, accomplis dans le secret des maisons juives, l’os du petit agneau, le symbole même de l’innocence mise à mort, l’agneau divin, c’est-à-dire l’enfant-Jésus pour le chrétien, qu’on ronge jusqu’à la dernière miette, la barbe sanguinolente et toute dégoûtante de vin, l’exhortation finale : "l’an prochain, tous à Jérusalem !", ces paroles proférées en hébreu, c’est-à-dire dans une langue gutturale, particulièrement lourde, inconnue de la plupart des chrétiens, dont beaucoup ignorent encore à peu près tout des simagrées rituelles des youpins.
Les juifs savent bien cela, évidemment, mais comme ils regardent ordinairement les chrétiens comme des "envieux" et des "usurpateurs" (à ce qu’on m’a précisé), ils prennent bien garde de ne pas les choquer. Ils font mine de ne pas savoir, ou de ne pas comprendre, dans l’intérêt de la communauté ! En tout cas, on comprend pourquoi les antisémites les plus convaincus se recrutent parmi les peuples les plus croyants, les Pollaks cathos ou les orthodoxes russes par exemple !
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