Monday, June 19, 2006

Le mythe des six millions de gazés juifs

[fr.soc.politique, fr.soc.complots]

Je vais lancer probablement pour vous une fois encore le même pavé dans la mare. Depuis des années en effet, j’ai pu lire ou consulter à peu près toute la littérature disponible sur la question, sans compter quelques-uns des ouvrages non encore traduits en français, mais disponibles en anglais et en allemand, visionner un grand nombre de documentaires disponibles, écouter un certain nombre de témoignages audio. Chacun pourra se former la même conviction : avec cette double invocation constamment ressassée des six millions de juifs prétendument disparus dans les camps d’extermination et de chambres à gaz prétendument exterminatrices, on se trouve selon toute vraisemblance en présence de l’escroquerie juive la plus gigantesque de tous les temps. D’abord, parce qu’il est strictement impossible que six millions de juifs aient pu disparaître dans ces conditions :
1) en raison de l’impossibilité de déterminer rétrospectivement un tel nombre avec suffisamment de précision
2) parce que le chiffre sacré des six millions ne peut être obtenu a) qu’en mélangeant les causes de décès les plus diverses, tout autant accidentelles que prétendument criminelles, dues autant aux circonstances de la guerre qu’au statut particulier des juifs durant la période b) ou bien qu’à partir de projections démographiques particulièrement contestables, supposant des taux de natalité et de fécondité par juive, non seulement demeurés constants, mais excessivement élevés pour la période
3) parce qu’il faudrait, pour parvenir à un tel chiffre, supposer que l’émigration juive en provenance de l’Europe et à destination des USA, de l’ex-URSS, jusqu’à la Nouvelle Zélande ou la Chine, ait été à peu près nulle durant les douze ans seulement d’exercice du pouvoir par le national-socialisme, et même durant toute la décennie précédente, alors que nous avons quantité de preuves du contraire
4) parce qu’un grand nombre de prétendus exterminés juifs ont été vraisemblablement comptabilisées DEUX fois, comme prétendument citoyens du pays à partir duquel ils ont été déportés ET ressortissants de leur pays d’origine ou dont ils détenaient alors la nationalité ; le cas des prétendus juifs "français" déportés de France, et très majoritairement de nationalité étrangère, est là pour en témoigner
5) parce que toutes ces listes de noms confectionnées après coup ne sont basées pour beaucoup que sur des témoignages parfois fort douteux, sont souvent redondantes, voire comportent des noms manifestement inventés, de personnes dont l’ascendance alléguée comporte des contradictions évidentes, ou est impossible, et qu’elles donnent toutes de surcroît un total de victimes bien inférieur au chiffre prétendument sacré des six millions
6) parce qu’aucune preuve n’a jamais été apportée d’une intention exterminatrice d’une telle ampleur, et qu’on dispose tout au contraire de multiples déclarations émanant des dirigeants nationaux-socialistes eux-mêmes, lesquelles témoignent sans contestation possible que la volonté de l’Allemagne d’alors était d’organiser une émigration des juifs hors d’Europe.

Ensuite, parce que la réalité ordinairement alléguée des prétendues chambres à gaz exterminatrices ne repose que sur les seuls témoignages des déportés, lesquels ont très bien pu avoir été abusés, ou bien mentir par intérêt, sur injonction d’Israël, ou par solidarité avec leur communauté d’appartenance, ou encore avec d’autres prétendues victimes. Ceux produits à Nuremberg durant les diverses audiences sont souvent parfaitement contestables : peut-on par exemple établir actuellement la réalité d’un seul de ces wagons de chemin de fer prétendument transformés en chambre à gaz, dont l’existence a pourtant été affirmée par le texte final du jugement ? De prétendus disparus dans les camps sont finalement revenus de déportation. Il y a trop de survivants, d’enfants mêmes nés dans les camps, pour que cette vieille légende juive soit vraisemblable. Les témoignages afférents aux prétendues chambres à gaz se heurtent souvent à quantité d’invraisemblances ou d’impossibilités sur un plan strictement technique. Les chambres à gaz d’Auschwitz encore aujourd’hui présentées aux visiteurs non informés ne sont que des reconstitutions largement postérieures, le camp ayant été laissé désaffecté durant une longue période, avant qu’on ait songé à son exploitation à des fins touristiques. Quantité de témoins juifs ont manifestement exagéré, ont voulu surenchérir dans l’horreur les uns sur les autres, jusqu’à l’invraisemblance la plus complète, lorsque les témoignages n’ont pas été artificiellement reconstitués bien postérieurement aux faits allégués.

Aussi, je vous lance à tous ce double défi :
1) établir sans contestation possible que la recherche historique est libre en France sur la période en question, en dépit de la loi Fabius-Gayssot, laquelle ne fait qu’entériner ces pseudo vérités prétendument incontestables établies il y a maintenant plus de soixante ans à Nuremberg, ignorant les progrès des recherches accomplis depuis lors, portant tout autant sur les chiffres que sur les moyens ordinairement allégués
2) apporter ici une seule preuve réellement incontestable que six millions de juifs sont bien morts exterminés dans les camps, et non pas cinq millions, ou encore beaucoup moins, ou qu’ils l’ont été majoritairement dans des chambres à gaz exterminatrices, et non pas simplement du typhus ou d’autres causes encore, ou tout aussi bien que des chambres à gaz réellement exterminatrices, et non pas servant simplement par exemple à des fins d’épouillage, ont pu réellement être opérationnelles quelque part durant la période.

Je suis par avance persuadé que vous refuserez d’engager toute espèce de dialogue avec l’ "antisémite" que je serais, ou que vous n’aurez aucune argumentation tant soit peu rationnelle à m’opposer. Maintenant, c’est à vous de me démontrer le contraire...

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