Ils seraient comme nous ?
Parmi les nombreuses énormités qui se profèrent ici [sur fr.soc.politique], on rencontre régulièrement l'affirmation selon laquelle le juif serait, à la différence de ses voisins, un Occidental et un être civilisé... Et puis quoi encore ?! Probablement est-il plus que temps de vous rappeler ces quelques évidences incontestables, pour que vous ne vous laissiez plus longtemps encore abuser par de très superficielles apparences extérieures et par leur propagande mensongère.
Les peuples actuellement établis en Europe, depuis des millénaires chez eux, sont majoritairement, à quelques rares exceptions près, indo-européens, et, pour leur fraction nordique exclusivement, des Aryens. De même que les Iraniens actuels par exemple sont eux aussi majoritairement des Aryens, la religion (ici l'islam) ne préjugeant en rien de la race. Les juifs sont quant à eux des sémites, c'est-à-dire des individus d'extraction et de culture orientales, chez qui la religion (le judaïsme) ne résulte en rien d'une adhésion ou d'un choix individuel, mais n'est jamais que l'alibi, hérité par une appartenance étroitement communautariste au "peuple élu", d'un sectarisme et d'un racisme agressif, ouvertement méprisants à l'égard de tous les non juifs, non seulement regardés comme des inférieurs, mais moins encore, comme du bétail. Sur le plan strictement anthropologique, les juifs sont bien plus proches des Arabes, soit en France des rares descendants des anciens Sarrasins, établis par delà les Pyrénées, ou de ceux des Maures, expulsés d’Espagne au XVIIe siècle, mais surtout apparentés à ces populations immigrées en masse à partir des années 1960 sur le territoire français, et surtout originaires d’Afrique du Nord, que peuvent l’être par exemple les Suédois des Finlandais, pourtant si ressemblants les uns aux autres en apparence...
Les juifs sont arrivés une première fois en Europe surtout à la suite des conquérants romains, qu’ils suivaient pour faire du commerce, s’établissant d’abord sur le pourtour du bassin méditerranéen, mais sans hésiter ensuite à remonter très loin toutes les routes commerciales qui leur étaient alors accessibles pour s’établir sur le Rhin, sur tout le cours du Danube, ou même jusqu’en Russie. Leurs pratiques malhonnêtes, leurs paroles ordinairement perfides, et leur mépris ouvertement affiché envers tous les goyim, leur valurent très tôt d’être régulièrement expulsés en masse de la plupart des nations d’Europe, et toujours davantage vers l’Est. Avant la conquête romaine, ils menaient dans les régions montagneuses du Proche-Orient l’existence d’un peuple nomade méprisé ou simplement ignoré de ses voisins civilisés, en dépit de tous ces contes bibliques vantant leur prétendu exode d’Egypte, leur déportation dans la riche Babylone, ou ces autres histoires juives à dormir debout.
La seconde grande vague d’immigration juive en France se produisit au début des années 1960, avec l’arrivée massive sur le territoire de ces riches pieds-noirs, trop longtemps bénéficiaires du décret Crémieux, contraints par la proclamation de l’indépendance de l’Algérie d’abandonner leurs vastes domaines agricoles et leurs lucratifs commerces d’Afrique du Nord, après avoir tout juste eu le temps de réaliser leurs avoirs...
Aujourd’hui, en raison de la présence sur notre sol de toutes sortes de populations immigrées d’une part, massivement originaires d’Afrique et d’Asie, et du métissage généralisé (et encouragé par eux) ayant désormais cours au sein de la population française d’autre part, les juifs passent souvent inaperçus par leurs caractères physiques. La petite taille, la peau sombre, ou bien la forme et la couleur des cheveux par exemple, ne constituent plus depuis longtemps déjà des caractères distinctifs permettant l’identification des juifs au sein des populations d’Europe aussi facilement que d’un nez au milieu d’un visage. Leur éternel cosmopolitisme, qui fait qu’ils s’estiment chez eux tout autant à Paris qu’à New York, à Nice qu’à Tel Aviv, leur mode de vie largement occidentalisé, à l’américaine, le fait que leurs femmes ne paraissent plus voilées ou la tête recouverte d’un boubou, qu’elles sont souvent émancipées, leur attachement viscéral aux fausses valeurs du confort, de la consommation à outrance et de la richesse ostentatoire, celles-là même qu’ils s’efforcent d’imposer à tous, ne permettent pas de les reconnaître. Mais il reste cette psychologie, tout à fait particulière, de ces éternels parasites en Occident : cet intenable complexe de supériorité, cette mentalité étroitement confinée à des valeurs bassement matérielles, les rendant incapables de toute transcendance, de tout esprit de sacrifice, d’abnégation, de détachement. Ils ne connaissent depuis toujours que la haine des goyim et l’esprit de vengeance. Ils tremblent eux-mêmes devant la force, mais écrasent les faibles sans éprouver le moindre scrupule. Ils sont incapables de pardon, comme de toute compassion. Deux facteurs rendent cette engeance particulièrement redoutable : la suprématie mondiale qu'ils exercent désormais sans partage ni la moindre retenue, et l'étroitesse des liens qui unit chaque juif à Israël, c'est-à-dire à toute sa communauté. Il ne faut pas non plus oublier l'esprit du Talmud, qui enseigne depuis toujours à mentir de manière éhontée, à tromper le goy, à mépriser ouvertement la parole donnée, etc., du moment que c'est dans l'intérêt d'Israël. Ni leur arme suprême, celle qui leur permet de réduire leurs adversaires au silence, de faire taire la moindre critique d’Israël, c’est bien évidemment l’accusation d’antisémitisme, qu’il leur appartient exclusivement et souverainement de proférer envers les autres.
Non, les juifs sont évidemment des Orientaux, et non des Occidentaux, animés de toute cette cruauté, alliée à l’incapacité d’éprouver de réels sentiments à l’égard d’autrui, qui est bien le propre de l’Oriental. Et ils sont aussi éloignés des Européens que peuvent l’être naturellement des parasites des organismes sains qu’ils infectent.
Les peuples actuellement établis en Europe, depuis des millénaires chez eux, sont majoritairement, à quelques rares exceptions près, indo-européens, et, pour leur fraction nordique exclusivement, des Aryens. De même que les Iraniens actuels par exemple sont eux aussi majoritairement des Aryens, la religion (ici l'islam) ne préjugeant en rien de la race. Les juifs sont quant à eux des sémites, c'est-à-dire des individus d'extraction et de culture orientales, chez qui la religion (le judaïsme) ne résulte en rien d'une adhésion ou d'un choix individuel, mais n'est jamais que l'alibi, hérité par une appartenance étroitement communautariste au "peuple élu", d'un sectarisme et d'un racisme agressif, ouvertement méprisants à l'égard de tous les non juifs, non seulement regardés comme des inférieurs, mais moins encore, comme du bétail. Sur le plan strictement anthropologique, les juifs sont bien plus proches des Arabes, soit en France des rares descendants des anciens Sarrasins, établis par delà les Pyrénées, ou de ceux des Maures, expulsés d’Espagne au XVIIe siècle, mais surtout apparentés à ces populations immigrées en masse à partir des années 1960 sur le territoire français, et surtout originaires d’Afrique du Nord, que peuvent l’être par exemple les Suédois des Finlandais, pourtant si ressemblants les uns aux autres en apparence...
Les juifs sont arrivés une première fois en Europe surtout à la suite des conquérants romains, qu’ils suivaient pour faire du commerce, s’établissant d’abord sur le pourtour du bassin méditerranéen, mais sans hésiter ensuite à remonter très loin toutes les routes commerciales qui leur étaient alors accessibles pour s’établir sur le Rhin, sur tout le cours du Danube, ou même jusqu’en Russie. Leurs pratiques malhonnêtes, leurs paroles ordinairement perfides, et leur mépris ouvertement affiché envers tous les goyim, leur valurent très tôt d’être régulièrement expulsés en masse de la plupart des nations d’Europe, et toujours davantage vers l’Est. Avant la conquête romaine, ils menaient dans les régions montagneuses du Proche-Orient l’existence d’un peuple nomade méprisé ou simplement ignoré de ses voisins civilisés, en dépit de tous ces contes bibliques vantant leur prétendu exode d’Egypte, leur déportation dans la riche Babylone, ou ces autres histoires juives à dormir debout.
La seconde grande vague d’immigration juive en France se produisit au début des années 1960, avec l’arrivée massive sur le territoire de ces riches pieds-noirs, trop longtemps bénéficiaires du décret Crémieux, contraints par la proclamation de l’indépendance de l’Algérie d’abandonner leurs vastes domaines agricoles et leurs lucratifs commerces d’Afrique du Nord, après avoir tout juste eu le temps de réaliser leurs avoirs...
Aujourd’hui, en raison de la présence sur notre sol de toutes sortes de populations immigrées d’une part, massivement originaires d’Afrique et d’Asie, et du métissage généralisé (et encouragé par eux) ayant désormais cours au sein de la population française d’autre part, les juifs passent souvent inaperçus par leurs caractères physiques. La petite taille, la peau sombre, ou bien la forme et la couleur des cheveux par exemple, ne constituent plus depuis longtemps déjà des caractères distinctifs permettant l’identification des juifs au sein des populations d’Europe aussi facilement que d’un nez au milieu d’un visage. Leur éternel cosmopolitisme, qui fait qu’ils s’estiment chez eux tout autant à Paris qu’à New York, à Nice qu’à Tel Aviv, leur mode de vie largement occidentalisé, à l’américaine, le fait que leurs femmes ne paraissent plus voilées ou la tête recouverte d’un boubou, qu’elles sont souvent émancipées, leur attachement viscéral aux fausses valeurs du confort, de la consommation à outrance et de la richesse ostentatoire, celles-là même qu’ils s’efforcent d’imposer à tous, ne permettent pas de les reconnaître. Mais il reste cette psychologie, tout à fait particulière, de ces éternels parasites en Occident : cet intenable complexe de supériorité, cette mentalité étroitement confinée à des valeurs bassement matérielles, les rendant incapables de toute transcendance, de tout esprit de sacrifice, d’abnégation, de détachement. Ils ne connaissent depuis toujours que la haine des goyim et l’esprit de vengeance. Ils tremblent eux-mêmes devant la force, mais écrasent les faibles sans éprouver le moindre scrupule. Ils sont incapables de pardon, comme de toute compassion. Deux facteurs rendent cette engeance particulièrement redoutable : la suprématie mondiale qu'ils exercent désormais sans partage ni la moindre retenue, et l'étroitesse des liens qui unit chaque juif à Israël, c'est-à-dire à toute sa communauté. Il ne faut pas non plus oublier l'esprit du Talmud, qui enseigne depuis toujours à mentir de manière éhontée, à tromper le goy, à mépriser ouvertement la parole donnée, etc., du moment que c'est dans l'intérêt d'Israël. Ni leur arme suprême, celle qui leur permet de réduire leurs adversaires au silence, de faire taire la moindre critique d’Israël, c’est bien évidemment l’accusation d’antisémitisme, qu’il leur appartient exclusivement et souverainement de proférer envers les autres.
Non, les juifs sont évidemment des Orientaux, et non des Occidentaux, animés de toute cette cruauté, alliée à l’incapacité d’éprouver de réels sentiments à l’égard d’autrui, qui est bien le propre de l’Oriental. Et ils sont aussi éloignés des Européens que peuvent l’être naturellement des parasites des organismes sains qu’ils infectent.
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