Monday, July 31, 2006

Quelques préceptes de morale judaïque

Comment Israël peut-il se donner impunément le droit, comme tout récemment à Cana, de massacrer impitoyablement des non juifs, en particulier des femmes et des enfants ? La réponse à cette question est évidente, dès qu’on accepte de reconnaître la véritable nature d’Israël. Israël, c’est, collectivement, les juifs, et rien d’autre. Certainement pas un Etat comme un autre.

C’est ainsi qu’il est non seulement permis, mais même recommandé, dans l’esprit du judaïsme, de tuer tous les goyim quand on en a la possibilité, du moment que c’est dans l’intérêt d’un juif ou d’Israël. Puisque le juif se regarde seul comme humain, le goy n’étant qu’un animal, il a tout naturellement le droit de vie et de mort sur tous ceux qu’il regarde comme du bétail ! Et qu’on ne prétende pas que ces appels au meurtre ne sont que des préceptes d’une morale désormais révolue, à laquelle plus aucun juif n’adhèrerait aujourd’hui. Ce sont bien les plus grands philosophes des juifs, les plus grands moralistes juifs, ceux qui sont toujours hautement considérés aujourd’hui, qui s’expriment ainsi, ce qui révèle bien que cette "morale" est tout à fait encore aujourd’hui d’actualité. Ainsi Maïmonide : "La défense : vous ne tuerez point ! signifie qu’il ne faut pas tuer un fils d’Israël ; or, les goyim et les hérétiques ne sont pas des fils d’Israël" (Jag Chag, Hilch Rozeach, Hilch Melachim). "Il faut tuer le plus honnête parmi les idolâtres" (Talmud, Aboda Zara). "Celui qui fait couler le sang des goyim offre un sacrifice à D***" (Jalkût Simeoni) Quel dieu ? Evidemment Moloch-Mammon, la seule divinité qui subsiste encore aujourd’hui de toutes les divinités orientales, à laquelle les sacrifices sanglants, comme les dons d’argents, sont tout particulièrement agréables, mais à condition que ce soient les non juifs qui en fassent les frais, évidemment ! Ainsi, "celui qui veut tuer un animal … ou celui qui veut tuer un goy, et qui, par erreur, tue un juif, n’est pas coupable et ne mérite pas d’être puni" (Traité Sanhédrin, folio 78b), mais, en revanche, le goy qui tue volontairement un juif "est aussi coupable que s’il avait tué le monde entier" (Traité Sanhédrin, folio 37a) et doit être impitoyablement mis à mort (Traité Sanhédrin, folio 71b). On comprend comment on a pu ainsi en arriver progressivement, sous la pression constante des juifs, et dans la continuité d’une guerre mondiale voulue par eux, à la définition juridique de crimes "contre l’humanité" devenus imprescriptibles, avant la constitution d’un "tribunal pénal international" au service exclusif des juifs et de leur allié américain ! Et qu’on ne prétende pas que seuls les musulmans seraient ainsi visés, pour la prétendue "défense de l’Occident" (par des Orientaux et des sémites ?!) : un juif est toujours en droit de s’élancer contre des chrétiens (par exemple libanais…) pour les tuer à main armée (Traité Aboda Zara). Et si des juifs en avaient le pouvoir, alors ils ont le devoir impérieux de mettre à mort tous les chrétiens, "sous un prétexte quelconque" (Jore Deâ 158, Choschen Mischpat 425) !

Ainsi, cette race universellement honnie demeure toujours identique à elle-même, et à ce qu’elle est depuis des millénaires. Qu’on ne s’étonne pas de ce qui arrive aujourd’hui au Liban ! C’était parfaitement prévisible.

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