JH serait-il fou ?

Le sens de l’autodérision serait certainement le signe d’une bonne santé mentale, mais JH n’ira pas jusque là aujourd’hui. C’est dans l’URSS stalinienne, ce que personne ne niera plus aujourd’hui, que des places pouvaient être réservées dans les établissements psychiatriques à ces personnalités qui n’étaient pas pleinement convaincues des bienfaits du régime des soviets. Ce n’est heureusement pas le cas dans nos "démocraties" pourries, où on se contente simplement encore des procès, et JH n’est même pas une personnalité.

Non, JH n’est pas fou, rassurez-vous tous. Il a simplement le sentiment d’être un peu plus lucide que la grande masse, et que c’est plutôt le monde qui est devenu fou. Comparez simplement l’époque présente avec les temps héroïques où la race blanche donnait au monde tant de conquérants, de guerriers, de navigateurs intrépides, ou bien simplement de modestes fermiers enracinés sur leur sol natal quelque part, dans la vieille Europe. Regardez ce que notre monde est devenu, depuis que le poison judaïque s’est lentement instillé partout sur le vieux continent, via le christianisme, lui ayant longtemps servi de vecteur, et désormais en dehors de lui. Tant de purs Aryens condamnés au chômage, à la pauvreté, parfois même à la mendicité, tandis que tant de sémites, dont les ancêtres se concentraient, il n’y a pas si longtemps encore, dans tous les ghettos pouilleux d’Arménie ou d’Afrique du Nord, tiennent désormais le haut du pavé, grâce aux positions occupées dans la banque, la haute finance, le commerce, les médias, l’industrie du sexe, et d’autres secteurs, toujours les plus lucratifs. Les inégalités sociales qui s’accroissent d’une manière devenue quasiment exponentielle. Nos sociétés qui ne mesurent plus toute chose qu’à la valeur de l’argent, méprisant ouvertement tout autre valeur, et dans lesquelles ce matérialisme d’essence judaïque, étroit et borné au possible, semble avoir partout triomphé. La tyrannie du FMI, de la Banque mondiale, de l’économie. L’ultra-libéralisme arrogant qui triomphe, en osant se présenter lui-même comme seule voie de développement autorisée pour les peuples. Partout, les pires rebuts d’un métissage exacerbé, apatrides, cosmopolites au possible, qui prétendent dicter à tous les autres leur loi. La situation paraît même à ce point désespérée que JH conçoit mal la perspective d’un renouveau en faveur des peuples européens. Peut-être encore dans la fondation de toutes petites communautés, à même de préparer l’avenir de la race aryenne, en transmettant à ses enfants, à chaque génération nouvelle, la lumière, au travers des âges obscurs qui ne font encore que s’annoncer. Cela passe par l’éducation dispensée aux plus jeunes, en vue de l’acquisition par eux d’une authentique conscience raciale. Et, tant que la possibilité nous en est donnée, la dénonciation inlassable, et par tous les moyens, de la juiverie mondialiste et de ses valeurs.

Ce n’est pas là, semble-t-il, un discours inspiré par la folie. JH se rend bien compte qu’il n’est plus possible aujourd’hui de faire devenir réalité ce rêve, que tous les youpins disparaissent, avec même leurs valises emplies de billets s’ils le souhaitent, par la cheminée, tous sans exception jusqu’au dernier. Mais il reste encore possible de leur faire sentir qu’ils sont indésirables chez nous, que leur place naturelle est plutôt dans ces nouveaux ghettos de New York ou d’ailleurs, où ils auront encore la liberté de vomir toute leur haine éternelle, si ça leur chante, que nous, nous ne voulons plus rien avoir à faire avec eux, que nous refuserons toujours leur tyrannie, leur prétendu ordre mondial et leurs valeurs.