Un fin politique
Le Président iranien Ahmadinejad s'est récemment imposé à la tribune de l'ONU comme l'incontournable interlocuteur du moment, alors même que tous les juifs du monde s'excitaient mutuellement contre lui. Soulignant que la mise en oeuvre du programme de nucléaire civil iranien se fait de manière "totalement transparente", invitant l'AIEA à venir sur place s'en rendre compte, il a récemment dénoncé comme étant parfaitement illégales ces menaces militaires et de sanctions agitées par les USA et Israël. Il a su répondre point par point, et sans se départir de son calme, à toutes ces basses attaques lancées contre l’Iran par ces pitoyables "démocrates" que sont George Bush ou ce représentant de l’Université Columbia de New York. Avec le Président vénézuélien Hugo Chavez et d’autres représentants encore de puissances soumises, il a initié une réelle avancée dans l’organisation des pays résistant encore à la volonté d’hégémonie américaine. C’est ainsi que, de retour en Iran, il a pu logiquement être acclamé en véritable héros du peuple, alors même que toute la propagande judaïque et ploutocratique déchaînée contre lui s’efforce désespérément de nous le présenter comme un dangereux agitateur démagogue, en proie à une obsession unique : rayer Israël de la carte au moyen de l’arme atomique...
Ces quelques épisodes-clés de son séjour américain laisseront sans doute un souvenir inoubliable à tous ceux qui auront su les saisir. Tous ces youtres totalement déchaînés à l’extérieur, dans la rue, lors de son fameux discours à l’Université Columbia, la plupart portant kippa, qui soutenaient leur hystérie collective au moyen de pancartes en anglais, mais aussi en langue hébraïque... Comme pour signifier à l’opinion mondiale que ce sont bien ses maîtres qui lui commandent de se mobiliser contre l’Iran. Les questions les plus pertinentes qui soient : pourquoi, dès qu’on touche au dogme extermina-sioniste, la recherche historique n’est-elle plus libre ? En effet, il y a tant de points qui mériteraient encore d’être précisés, à destination d’un large public qui ne demanderait qu’à en être instruit : le rôle exact joué par les dirigeants et responsables économiques allemands dans la généralisation du dogme, complicité réelle ou simple démission ? la diffusion progressive, et dans toutes les sphères de la culture, après 1945 de ces complexes injustifiés de honte et de culpabilité spécifiquement allemands ; la manière dont fut imposé aux consciences occidentales le nombre magique, désormais et contre toute réalité fixé pour l’éternité, des 6 millions de gazés judaïques ; celle dont furent abusés tant de survivants, juifs et non juifs, des camps, a priori sincères, pour pouvoir témoigner, parfois des décennies plus tard, de la réalité de ce qu’ils n’ont pas pu voir, ou de ce qu’ils ont mal interprété (par exemple les installations servant à la désinfection des vêtements dans les camps) ; la mise en place par les dirigeants communautaires juifs, depuis Genève ou New York, et ce dès les toutes premières années de la guerre, soit AVANT la conférence de Wansee, de tous les détails pratiques déjà de la future légende holocaustique ; etc. etc.
Il y a eu encore ces mises au point on ne peut plus explicites, tant sur la question du nucléaire iranien ("Bien sûr, l'Iran a toujours été et sera prêt à avoir des discussions constructives avec toutes les parties"), que sur la situation du peuple palestinien ou à propos de la troisième guerre mondiale en cours ("Les occupants n'ont même pas le courage de reconnaître leur défaite et de quitter l'Irak"). Répondant à ces accusations émises par George Bush et dépourvues du moindre fondement quant à de prétendues violations des droits de l’homme en Iran, le Président Ahmadinejad a dénoncé ces puissances coupables d’avoir "mis sur pied des prisons secrètes, d'avoir enlevé des personnes, d'avoir organisé des procès et infligé en secret des châtiments, au mépris des procédures en vigueur", faisant au passage remarquer à toutes ces chochottes qui prétendent s’indigner au nom de leur droit-de-l’hommisme, qui n’est rien d’autre en réalité que l’alibi de leurs propres exactions, qu’ "il n’y a pas d’homosexuels en Iran". Et prends ça dans les dents, fils à papa de Bush dégénéré !
Poussés dans leurs derniers retranchements, les autres orateurs, en faibles valets qu’ils sont de leurs maîtres judaïques, ne pouvaient que lui concéder du terrain, sinon à apparaître comme motivés uniquement par cette éternelle et implacable haine des youpins envers tous les goyim, et plus encore obsessionnellement tournée contre ceux qui dans le monde prétendraient leur résister. C’est ainsi que même Alberich-Sarkojuif a dû reconnaître à la tribune que "l'Iran a droit à l'énergie nucléaire à des fins civiles". Et le même d’en appeler à un nouveau "New Deal planétaire", pour ne plus craindre cette révolte à vrai dire inévitable des nations les plus pauvres contre ces intérêts de la haute finance apatride, judaïque et enjuivée. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, n’a pu pour sa part qu’en appeler à une "paix durable" au Proche-Orient, une paix qui ne viendra certainement pas, tant que durera ce chancre d’Etat judaïque illégitimement établi sur la terre de Palestine. Un futur Etat palestinien sous la forme d’un double bantoustan, une bande de Gaza totalement asphyxiée et en permanence par l’armée youpine, et une Cisjordanie quadrillée de colonies d’implantation illégale, qui se multiplient toujours plus ces dernières semaines, avec toutes ces voies de communication nouvelles qui permettent aux youtres de se déplacer à leur guise de l’une à l’autre, avec ce gigantesque mur destiné à enfermer les Palestiniens comme dans un ghetto ? Des frappes aériennes sur la Syrie (voir http://www.lefigaro.fr/international/20070927.FIG000000241_le_raid_israelien_en_syrie_est_une_mise_en_garde_a_l_iran.html ) ? Des opérations militaires israéliennes qui se multiplient ces jours-ci, tant dans la bande de Gaza qu’au Liban, pendant que les médias occidentaux sont sommés, pour faire diversion, de se concentrer sur la crise birmane, après celle du Darfour ? C’est là sans doute la manière proprement judaïque de faire la paix ?
Ces quelques épisodes-clés de son séjour américain laisseront sans doute un souvenir inoubliable à tous ceux qui auront su les saisir. Tous ces youtres totalement déchaînés à l’extérieur, dans la rue, lors de son fameux discours à l’Université Columbia, la plupart portant kippa, qui soutenaient leur hystérie collective au moyen de pancartes en anglais, mais aussi en langue hébraïque... Comme pour signifier à l’opinion mondiale que ce sont bien ses maîtres qui lui commandent de se mobiliser contre l’Iran. Les questions les plus pertinentes qui soient : pourquoi, dès qu’on touche au dogme extermina-sioniste, la recherche historique n’est-elle plus libre ? En effet, il y a tant de points qui mériteraient encore d’être précisés, à destination d’un large public qui ne demanderait qu’à en être instruit : le rôle exact joué par les dirigeants et responsables économiques allemands dans la généralisation du dogme, complicité réelle ou simple démission ? la diffusion progressive, et dans toutes les sphères de la culture, après 1945 de ces complexes injustifiés de honte et de culpabilité spécifiquement allemands ; la manière dont fut imposé aux consciences occidentales le nombre magique, désormais et contre toute réalité fixé pour l’éternité, des 6 millions de gazés judaïques ; celle dont furent abusés tant de survivants, juifs et non juifs, des camps, a priori sincères, pour pouvoir témoigner, parfois des décennies plus tard, de la réalité de ce qu’ils n’ont pas pu voir, ou de ce qu’ils ont mal interprété (par exemple les installations servant à la désinfection des vêtements dans les camps) ; la mise en place par les dirigeants communautaires juifs, depuis Genève ou New York, et ce dès les toutes premières années de la guerre, soit AVANT la conférence de Wansee, de tous les détails pratiques déjà de la future légende holocaustique ; etc. etc.
Il y a eu encore ces mises au point on ne peut plus explicites, tant sur la question du nucléaire iranien ("Bien sûr, l'Iran a toujours été et sera prêt à avoir des discussions constructives avec toutes les parties"), que sur la situation du peuple palestinien ou à propos de la troisième guerre mondiale en cours ("Les occupants n'ont même pas le courage de reconnaître leur défaite et de quitter l'Irak"). Répondant à ces accusations émises par George Bush et dépourvues du moindre fondement quant à de prétendues violations des droits de l’homme en Iran, le Président Ahmadinejad a dénoncé ces puissances coupables d’avoir "mis sur pied des prisons secrètes, d'avoir enlevé des personnes, d'avoir organisé des procès et infligé en secret des châtiments, au mépris des procédures en vigueur", faisant au passage remarquer à toutes ces chochottes qui prétendent s’indigner au nom de leur droit-de-l’hommisme, qui n’est rien d’autre en réalité que l’alibi de leurs propres exactions, qu’ "il n’y a pas d’homosexuels en Iran". Et prends ça dans les dents, fils à papa de Bush dégénéré !
Poussés dans leurs derniers retranchements, les autres orateurs, en faibles valets qu’ils sont de leurs maîtres judaïques, ne pouvaient que lui concéder du terrain, sinon à apparaître comme motivés uniquement par cette éternelle et implacable haine des youpins envers tous les goyim, et plus encore obsessionnellement tournée contre ceux qui dans le monde prétendraient leur résister. C’est ainsi que même Alberich-Sarkojuif a dû reconnaître à la tribune que "l'Iran a droit à l'énergie nucléaire à des fins civiles". Et le même d’en appeler à un nouveau "New Deal planétaire", pour ne plus craindre cette révolte à vrai dire inévitable des nations les plus pauvres contre ces intérêts de la haute finance apatride, judaïque et enjuivée. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, n’a pu pour sa part qu’en appeler à une "paix durable" au Proche-Orient, une paix qui ne viendra certainement pas, tant que durera ce chancre d’Etat judaïque illégitimement établi sur la terre de Palestine. Un futur Etat palestinien sous la forme d’un double bantoustan, une bande de Gaza totalement asphyxiée et en permanence par l’armée youpine, et une Cisjordanie quadrillée de colonies d’implantation illégale, qui se multiplient toujours plus ces dernières semaines, avec toutes ces voies de communication nouvelles qui permettent aux youtres de se déplacer à leur guise de l’une à l’autre, avec ce gigantesque mur destiné à enfermer les Palestiniens comme dans un ghetto ? Des frappes aériennes sur la Syrie (voir http://www.lefigaro.fr/international/20070927.FIG000000241_le_raid_israelien_en_syrie_est_une_mise_en_garde_a_l_iran.html ) ? Des opérations militaires israéliennes qui se multiplient ces jours-ci, tant dans la bande de Gaza qu’au Liban, pendant que les médias occidentaux sont sommés, pour faire diversion, de se concentrer sur la crise birmane, après celle du Darfour ? C’est là sans doute la manière proprement judaïque de faire la paix ?
posted by Combat européen at 8:24 AM
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