Vengeance et justice, lorsqu'il s'agit d'Israël
La mise au point s’impose. Une mère par exemple pourra légitimement attendre que justice lui soit rendue dans le cas d’un préjudice dont sa fille aura été la victime. On pourrait encore l’admettre à la rigueur dans le cas du peuple palestinien, puisqu’il a été injustement dépossédé de la terre de ses ancêtres uniquement pour permettre l’établissement d’un foyer national juif en Palestine. Tout autre peuple dans la même situation se serait sans doute arrangé pour garantir son existence future dans une relative bonne entente avec ses voisins, acceptant progressivement leurs légitimes conditions en vue d’une paix future, de les dédommager en particulier pour la spoliation du sol. Tout autre peuple, mais certainement pas les juifs. Dès l’immédiate après-guerre, ils ont exigé comme toujours de se poser en maîtres absolus dans un pays sur lequel ils n’avaient aucuns droits. Aucuns droits autres que bibliques, c’est-à-dire mythiques. Les voilà ainsi, dès la fondation de l’Etat d’Israël, dépeuplant, volant, massacrant même à l’occasion les habitants de villages entiers, lançant toutes sortes d’opérations militaires au mépris souverain de toute idée de frontière avec les pays voisins, étendant leurs insoutenables prétentions à posséder tout le Proche-Orient. C’est l’éternelle psychologie spécifiquement judaïque qui l’exige : se posant en éternelles victimes prétendument innocentes de la haine de tous les autres, ne connaissant que la loi du talion, les droits du premier qui se sert, etc., ils ont le sentiment que le monde entier est ligué contre eux et ne travaille qu’à leur anéantissement, qu’ils parviendront à éviter tant qu’ils frapperont toujours les premiers, en attendant l’avènement de leur Messie, ce nouveau roi David qui leur donnera la domination sur la terre entière. C’est là pour eux la seule réelle justice. En comparaison, la justice terrestre n’est rien pour eux. Le Talmud enseigne d’ailleurs les multiples manières dont elle peut être instrumentalisée au service exclusif du peuple juif, ou bien même de tout juif contre un goy. La définition ici donnée du juif est bien racialiste, diriez-vous. On reprochera encore à JH d’être raciste, lui qui n’a décidément rien inventé ? Et qui rendra justice, et comment, au peuple palestinien ?
Considérez que toute l’organisation de la justice internationale fonctionne indiscutablement depuis toujours au service exclusif des prétendus "libérateurs" de la précédente guerre. Le TPI même, après les procès de Nuremberg, a-t-il jamais été autre chose que l’instrument de la vengeance de ceux qui ont été tantôt les vainqueurs, tantôt les vaincus à la guerre, mais toujours dans le prétendu "camp du bien" ? Dans ces conditions, un véritable procès pour "crimes de guerre" ou "crimes contre l’humanité" qui serait un jour intenté à l’encontre de représentants de la "race élue" relèverait de l’utopie pure et simple.
Passons maintenant au cas particulier du peuple allemand, auquel JH se regarde comme appartenant lui aussi, par ses ancêtres, quand bien même l’issue de la précédente guerre mondiale et les aléas géographiques l’ont fait naître français. Lui seul a osé, à un moment donné de son histoire, dénoncer la totalité des crimes et des malversations dont les juifs se sont partout, sans la moindre exception, rendus coupables depuis leur venue sur le territoire européen, en quelque sorte dans les bagages des légionnaires romains de l’Antiquité. Partout en Europe, ils n’ont jamais su que semer la haine à leur encontre. Et voilà qu’un peuple tout entier, au centre du vieux continent, se dresse résolument contre eux. Depuis lors, ce fut sa destruction programmée par toute la juiverie internationale unanimement liguée contre lui. Voyez le résultat aujourd’hui. La culture de la honte et de l’abaissement de soi triomphe partout en Allemagne. Tout Allemand, quand bien même il serait de la troisième, maintenant de la quatrième génération née après la guerre, est perpétuellement regardé comme coupable, même potentiel, de nazisme. Le socialisme national encore aujourd’hui considéré comme d’essence criminelle, les meilleurs des Allemands encore et toujours condamnés. En France même, plus personne n’apprend plus l’allemand désormais. On va bientôt devoir s’excuser auprès des représentants métissés de toutes les races du monde, par la volonté des juifs, de parler encore cette langue. Là, le mal fait est désormais trop grand pour pouvoir simplement encore réclamer justice.
Considérez que toute l’organisation de la justice internationale fonctionne indiscutablement depuis toujours au service exclusif des prétendus "libérateurs" de la précédente guerre. Le TPI même, après les procès de Nuremberg, a-t-il jamais été autre chose que l’instrument de la vengeance de ceux qui ont été tantôt les vainqueurs, tantôt les vaincus à la guerre, mais toujours dans le prétendu "camp du bien" ? Dans ces conditions, un véritable procès pour "crimes de guerre" ou "crimes contre l’humanité" qui serait un jour intenté à l’encontre de représentants de la "race élue" relèverait de l’utopie pure et simple.
Passons maintenant au cas particulier du peuple allemand, auquel JH se regarde comme appartenant lui aussi, par ses ancêtres, quand bien même l’issue de la précédente guerre mondiale et les aléas géographiques l’ont fait naître français. Lui seul a osé, à un moment donné de son histoire, dénoncer la totalité des crimes et des malversations dont les juifs se sont partout, sans la moindre exception, rendus coupables depuis leur venue sur le territoire européen, en quelque sorte dans les bagages des légionnaires romains de l’Antiquité. Partout en Europe, ils n’ont jamais su que semer la haine à leur encontre. Et voilà qu’un peuple tout entier, au centre du vieux continent, se dresse résolument contre eux. Depuis lors, ce fut sa destruction programmée par toute la juiverie internationale unanimement liguée contre lui. Voyez le résultat aujourd’hui. La culture de la honte et de l’abaissement de soi triomphe partout en Allemagne. Tout Allemand, quand bien même il serait de la troisième, maintenant de la quatrième génération née après la guerre, est perpétuellement regardé comme coupable, même potentiel, de nazisme. Le socialisme national encore aujourd’hui considéré comme d’essence criminelle, les meilleurs des Allemands encore et toujours condamnés. En France même, plus personne n’apprend plus l’allemand désormais. On va bientôt devoir s’excuser auprès des représentants métissés de toutes les races du monde, par la volonté des juifs, de parler encore cette langue. Là, le mal fait est désormais trop grand pour pouvoir simplement encore réclamer justice.
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