Saturday, November 17, 2007

La juiverie et le social

La situation actuelle en France est on ne peut plus intéressante à analyser. D’un côté, des salariés, de condition très modeste pour la plupart, en grève pour la défense des régimes spéciaux. De l’autre côté, un gouvernement de rupins et de youpins, dirigé, à défaut de véritable premier ministre, par Alberich en personne, ce valet en France des ploutocrates cosmopolites, et soutenu par tout ce que la France peut compter de réels privilégiés, de profiteurs et de voyous, tous attentistes pour le moment. Les seconds achetant maladroitement et à prix d’or les apparatchiks syndicaux des premiers, pour les pousser à reprendre le travail, ou bien espérant que le besoin d’argent des grévistes puisse bientôt mettre fin à l’unité de la base. L’opinion prise en otage, tant par le parti des riches au pouvoir que par les médias : sommée d’admettre que la réforme des retraites telle qu’exigée par le MEDEF est de toute nécessité, qu’on peut bien conserver les régimes spéciaux des députés et sénateurs par exemple, de tous les privilégiés de la démocrachie, mais certainement pas des salariés de base des entreprises publiques, de ceux dont le métier est réellement pénible, de la France qui souffre... qu’il faudra bien que tous acceptent de passer à terme à 42 ou 43 annuités, compte-tenu du vieillissement *prévisible* de la population ; et ces médias enjuivés qui en ajoutent encore, en mettant systématiquement en images l’exaspération des usagers des transports, comme si soudainement la France ne comprenait plus que Paris et sa banlieue, comme si elle n’était plus constituée désormais que de chefs d’entreprise et de commerçants, inquiets pour leur chiffre d’affaire, rejoints pour l’occasion par tout ce que la région parisienne peut compter de négros et autres prétendus Français décidément bien bronzés...

N’oublions pas aussi les étudiants mobilisés contre la réforme Pecresse des universités, puis, mardi prochain, les fonctionnaires, pour la défense du pouvoir d’achat, qui rejoindront à leur tour, au moins pour un jour, les grévistes des entreprises publiques. Décidément, le pays va bien mal. Les uns rêvent toujours à une sorte de Grand Soir ou au retour de mai 68, d’un front uni contre cette politique gouvernementale faite d’exploitation outrancière et de mépris ouvert à l’égard des salariés et des pauvres. Les autres jouent la carte du pourrissement, bientôt celle, toute commerciale, de l’entrée dans la période des achats de Noël. Et, comme coincée au milieu, cette fausse gauche de riches, faussement socialiste, approuvant par avance toute réforme des retraites visant à l’allongement de la durée de cotisation pour les plus démunis, en attendant leur suppression pure et simple pour tous les travailleurs, pour tous ceux que leurs faibles moyens ne leur permettent pas de cotiser volontairement à tous ces régimes complémentaires imaginés pour leur soutirer aujourd’hui toujours plus d’argent. Quand bien même toute l’Europe devrait-elle inéluctablement vieillir, cela justifierait-il pour autant toujours plus de sacrifices exigés de ceux qui ont le moins, au nom d’une égalité de traitement totalement factice pour tous, et dont s’exonèrent par avance tous les privilégiés et profiteurs du système, à commencer par tous ceux qui ont le culot d’exiger une telle réforme ?

JH, lui, propose une réelle perspective d’avenir (et si je m’exprime ici à la troisième personne, c’est bien seulement parce que le "moi, je" m’est insupportable, qu’il est au contraire, surtout accompagné du sans gène le plus grand, incontestablement caractéristique de la psychologie ordinaire des youtres, sépharades surtout) : désignons tous au moins sous son nom véritable, et résolument, l’ennemi réel des classes laborieuses, l’éternel profiteur, le marchand cosmopolite, depuis toujours, celui qui entend avec une singulière persévérance depuis des siècles imposer à tous les autres sa loi unique... j’ai nommé le juif ! et alors, leur réaction à tous sera probablement impitoyable, mais ce ne sera jamais là que le dernier soubresaut du serpent tout droit sorti du désert, dont l’Européen bien né écrasera la tête de sa botte... Par la suite, la lucidité dont tous nos camarades sont encore capables finira bien par produire ses effets : chacun se rendra bien compte, finalement, de l’injustice faite au peuple allemand tout entier, aux Palestiniens aussi, comme à tous les Européens les plus authentiques du siècle dernier, tous victimes de leur tyrannie, qu’ils ne cessent de légitimer par leur prétendue show-ouah. Tous se rendront bien compte que le social-nationalisme d’il y a soixante ans avait bien réussi à abolir jusqu’au chômage de masse au coeur même de la crise la plus profonde qui soit, en donnant tout simplement la priorité au peuple contre les puissants, en faisant tout bonnement la démonstration que, comme le disent nos camarades allemands du NPD, le social passe par le national, et européen, contre cette Europe des marchands.

J’entendais tout à l’heure sur RTL s’exprimer le youpin Drucker. Il confiait être bien un gosse de riches (le youpin fabriquant des casquettes à Belleville, c’est de la pure hagiographie à l’usage des enjuivés). Il n’a pu s’empêcher de mentionner lui aussi son père (le mien est mort depuis longtemps, rassurez-vous ! et pauvre, évidemment !), mais pour l’évoquer en partance pour Auschwitz, dans le même baraquement où lui-même faisait son service militaire. N’en auront-ils donc jamais fini avec leur pornographie mémorielle ? Mais non ! mais non ! C’est bien là le crime imprescriptible, que tous les goyim doivent expier, et pour l’éternité ! Et il confiait tout à l’heure avoir toujours ressenti une certaine appréhension (pour ne pas dire de la haine !) lorsqu’il ... survolait depuis lors toute la zone... en hélicoptère ! On imagine déjà leur morgue habituelle, à tous ces "élus" auto-proclamés.

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