La psychanalyse, "science" juive
Ce qui a un côté exaspérant, c'est de devoir constamment répéter les mêmes explications, mettre en avant toujours les mêmes faits, incontestables. Le youtre a décidément la mémoire bien sélective ! Ce n'est évidemment pas JH qui se discrédite lui-même en qualifiant la psychanalyse de "science juive", mais bien les fondateurs eux-mêmes de cette pseudo science qui la voulaient ainsi, allant même jusqu'à en faire un titre de gloire ! Vous en doutez ? Voici les preuves :
"Soyez tolérant et n’oubliez pas qu’à vrai dire il vous est plus facile qu’à Jung de suivre mes pensées car, premièrement, vous êtes entièrement indépendant et, ensuite, de par notre appartenance raciale, vous êtes plus proche de ma constitution intellectuelle, tandis que lui, comme chrétien et comme fils de pasteur, trouve son chemin vers moi seulement en luttant contre de grandes résistances intérieures.
Son ralliement a donc d’autant plus de valeur. Je dirais presque que c’est seulement à partir de son arrivée que la psychanalyse a été soustraite au danger de devenir une affaire nationale juive." (S. Freud, A Karl Abraham, 3 mai 1908.)
JH : Vous remarquerez ici au passage que Freud lui-même ne récusait en rien le racialisme (la race déterminant des dispositions intellectuelles particulières, l’éducation reçue, susceptible de les contrarier, etc.). Et qu’il ne soulignait le ralliement de Jung à la psychanalyse que du point de vue tactique uniquement : se rallier un seul goy, c’est pouvoir désormais mettre son nom en avant, en cas de besoin, dans la dénégation.
"Nous sortons de là [...] nos ancêtres ont habité là-bas un demi-millénaire, peut-être un millénaire entier [...] et il est impossible de dire ce que nous avons emmené en héritage, dans le sang et dans les nerfs [...] de notre séjour dans ce pays [= le désert oriental]." (S. Freud, A Arnold Zweig.)
JH : Freud lit sa Torah de manière strictement littérale, et ainsi se persuade lui-même que les Hébreux, après avoir été chassés d’Egypte, ont réellement séjourné un temps au désert pour regagner leur prétendue "Terre promise". Il se regarde lui-même comme l’héritier jusque dans sa chair de ces Hébreux bibliques. Aujourd’hui, l’archéologie démontre que la Torah n’est qu’un tissu de mensonges et d’exagérations, et l’anthropologie que la très grande majorité des youtres ashkénazes moldaves ou sub-carpathiques ne sont certainement pas descendants des anciens Hébreux, mais des sous-produits dégénérés de tous les métissages qui aient pu se produire sur toutes les routes commerciales d’Europe.
"Certes, il existe de grandes différences entre l’esprit juif et l’esprit aryen. Nous les observons tous les jours. D’où assurément par ci par là, de petits écarts dans la façon de concevoir la vie et l’art. Mais l’existence d’une science aryenne et d’une science juive est incontestable. Les résultats scientifiques devraient être identiques quelle que puisse être la façon de les présenter. Si ces différences se reflètent dans l’appréhension des paramètres scientifiques objectifs, c’est qu’il y a quelque chose qui ne va pas." (S. Freud, A Sandor Ferenczi.)
JH : Propos évidemment contradictoires, mais qui n’en témoignent pas moins que Freud lui-même tenait pour irréductible l’opposition de l’âme judaïque et de l’âme aryenne. On ne peut ici que lui donner raison, et suivre plutôt C.-G. Jung :
"L’inconscient aryen contient des forces explosives et la semence d’un avenir à naître... Cela a été une grande erreur de la psychologie médicale d’appliquer sans discrimination des catégories juives — qui ne sont même pas valables pour tous les juifs — à la chrétienté allemande et slave. Du coup, on est venu à qualifier le secret le plus précieux des peuples germaniques — leur profondeur d’âme créatrice et intuitive — de marécages banals et puérils... Freud ne comprenait pas la psyché allemande, pas plus d’ailleurs que ses épigones germaniques. Le grandiose phénomène du national-socialisme, que le monde entier contemple les yeux étonnés, les a-t-il éclairés ?" (C.-G. Jung, Sur la situation présente de la psychothérapie (1934).)
En résumé :
"Au cours de son existence, la psychanalyse [s’est vu reprocher] d’avoir des méthodes imprécises, d’aboutir à des conclusions ne se prêtant pas à des vérifications expérimentales, de ne pas être scientifique, et même d’être une "science juive". Quelle que soit la valeur que l’on accordera à ces dénigrements, c’est, je crois, ce dernier qualificatif qui, en la circonstance présente, peut faire office de titre de gloire." (Anna Freud, in Congrès de l’Association internationale de psychanalyse, Jérusalem, 1977.)
JH rappellera encore que le socialisme national allemand du siècle dernier avait bien tenté pour sa part, par réaction, d'expurger la psychothérapie de toute influence judaïque. Ce furent la fondation, avec l'accord de C.-G. Jung, d'un Institut allemand pour la recherche psychologique et la psychothérapie (Deutsches Institut für Psychologische Forschung und Psychotherapie e.V.), dirigé par Matthias Heinrich Göring, à l'époque directeur de la Société générale allemande de médecine psychothérapeutique, et dont les financements provenaient directement des différentes organisations du parti national-socialiste, en accord avec le Ministère de l’Intérieur allemand, et bien d’autres initiatives encore, pour soigner les malades, ou dans le domaine de la recherche pure, en vue d’une meilleure compréhension de la maladie. Aujourd’hui, il est exigé que cette réalité-là soit totalement occultée. La thèse officielle, celle que tous les goyim doivent admettre, étant que les méchants nazis ont exterminé la plupart des aliénés de l’époque, et que les moyens techniques utilisés alors ne faisaient prétendument que préparer ce gazage allégué de six millions de youtres. On en revient toujours, comme avec les récits bibliques, au domaine de la légende pure, accréditée par les pires mensonges, et le travestissement permanent de l’histoire par et au profit d’une "race élue" cultivant en permanence son propre complexe de victimitude.
"Soyez tolérant et n’oubliez pas qu’à vrai dire il vous est plus facile qu’à Jung de suivre mes pensées car, premièrement, vous êtes entièrement indépendant et, ensuite, de par notre appartenance raciale, vous êtes plus proche de ma constitution intellectuelle, tandis que lui, comme chrétien et comme fils de pasteur, trouve son chemin vers moi seulement en luttant contre de grandes résistances intérieures.
Son ralliement a donc d’autant plus de valeur. Je dirais presque que c’est seulement à partir de son arrivée que la psychanalyse a été soustraite au danger de devenir une affaire nationale juive." (S. Freud, A Karl Abraham, 3 mai 1908.)
JH : Vous remarquerez ici au passage que Freud lui-même ne récusait en rien le racialisme (la race déterminant des dispositions intellectuelles particulières, l’éducation reçue, susceptible de les contrarier, etc.). Et qu’il ne soulignait le ralliement de Jung à la psychanalyse que du point de vue tactique uniquement : se rallier un seul goy, c’est pouvoir désormais mettre son nom en avant, en cas de besoin, dans la dénégation.
"Nous sortons de là [...] nos ancêtres ont habité là-bas un demi-millénaire, peut-être un millénaire entier [...] et il est impossible de dire ce que nous avons emmené en héritage, dans le sang et dans les nerfs [...] de notre séjour dans ce pays [= le désert oriental]." (S. Freud, A Arnold Zweig.)
JH : Freud lit sa Torah de manière strictement littérale, et ainsi se persuade lui-même que les Hébreux, après avoir été chassés d’Egypte, ont réellement séjourné un temps au désert pour regagner leur prétendue "Terre promise". Il se regarde lui-même comme l’héritier jusque dans sa chair de ces Hébreux bibliques. Aujourd’hui, l’archéologie démontre que la Torah n’est qu’un tissu de mensonges et d’exagérations, et l’anthropologie que la très grande majorité des youtres ashkénazes moldaves ou sub-carpathiques ne sont certainement pas descendants des anciens Hébreux, mais des sous-produits dégénérés de tous les métissages qui aient pu se produire sur toutes les routes commerciales d’Europe.
"Certes, il existe de grandes différences entre l’esprit juif et l’esprit aryen. Nous les observons tous les jours. D’où assurément par ci par là, de petits écarts dans la façon de concevoir la vie et l’art. Mais l’existence d’une science aryenne et d’une science juive est incontestable. Les résultats scientifiques devraient être identiques quelle que puisse être la façon de les présenter. Si ces différences se reflètent dans l’appréhension des paramètres scientifiques objectifs, c’est qu’il y a quelque chose qui ne va pas." (S. Freud, A Sandor Ferenczi.)
JH : Propos évidemment contradictoires, mais qui n’en témoignent pas moins que Freud lui-même tenait pour irréductible l’opposition de l’âme judaïque et de l’âme aryenne. On ne peut ici que lui donner raison, et suivre plutôt C.-G. Jung :
"L’inconscient aryen contient des forces explosives et la semence d’un avenir à naître... Cela a été une grande erreur de la psychologie médicale d’appliquer sans discrimination des catégories juives — qui ne sont même pas valables pour tous les juifs — à la chrétienté allemande et slave. Du coup, on est venu à qualifier le secret le plus précieux des peuples germaniques — leur profondeur d’âme créatrice et intuitive — de marécages banals et puérils... Freud ne comprenait pas la psyché allemande, pas plus d’ailleurs que ses épigones germaniques. Le grandiose phénomène du national-socialisme, que le monde entier contemple les yeux étonnés, les a-t-il éclairés ?" (C.-G. Jung, Sur la situation présente de la psychothérapie (1934).)
En résumé :
"Au cours de son existence, la psychanalyse [s’est vu reprocher] d’avoir des méthodes imprécises, d’aboutir à des conclusions ne se prêtant pas à des vérifications expérimentales, de ne pas être scientifique, et même d’être une "science juive". Quelle que soit la valeur que l’on accordera à ces dénigrements, c’est, je crois, ce dernier qualificatif qui, en la circonstance présente, peut faire office de titre de gloire." (Anna Freud, in Congrès de l’Association internationale de psychanalyse, Jérusalem, 1977.)
JH rappellera encore que le socialisme national allemand du siècle dernier avait bien tenté pour sa part, par réaction, d'expurger la psychothérapie de toute influence judaïque. Ce furent la fondation, avec l'accord de C.-G. Jung, d'un Institut allemand pour la recherche psychologique et la psychothérapie (Deutsches Institut für Psychologische Forschung und Psychotherapie e.V.), dirigé par Matthias Heinrich Göring, à l'époque directeur de la Société générale allemande de médecine psychothérapeutique, et dont les financements provenaient directement des différentes organisations du parti national-socialiste, en accord avec le Ministère de l’Intérieur allemand, et bien d’autres initiatives encore, pour soigner les malades, ou dans le domaine de la recherche pure, en vue d’une meilleure compréhension de la maladie. Aujourd’hui, il est exigé que cette réalité-là soit totalement occultée. La thèse officielle, celle que tous les goyim doivent admettre, étant que les méchants nazis ont exterminé la plupart des aliénés de l’époque, et que les moyens techniques utilisés alors ne faisaient prétendument que préparer ce gazage allégué de six millions de youtres. On en revient toujours, comme avec les récits bibliques, au domaine de la légende pure, accréditée par les pires mensonges, et le travestissement permanent de l’histoire par et au profit d’une "race élue" cultivant en permanence son propre complexe de victimitude.
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