Sunday, November 18, 2007

Chrétiens

Réponse bien décevante, cher monsieur. Et votre Pie XII, n’était-ce pas plutôt Pie XI ? Je vous le demande, parce que je ne fréquente pas ces bondieuseries auxquelles vous me renvoyez, et connais mal la succession des papes. Il faut néanmoins se reporter plutôt à la littérature d’avant 1945 si on veut apprécier à la fois l’esprit et les réalisations positives du socialisme national allemand. Après la guerre, en revanche, certains se sont permis d’écrire à peu près n’importe quoi, donnant souvent libre cours aux pires élucubrations qui aient jamais pu être à propos du régime ou de la personnalité de ses dirigeants, et les études historiques mêmes, dont on attendrait a priori des garanties de sérieux, de neutralité et de pondération dans le jugement, sont devenues entre temps toujours plus show-ouah centrées, évidemment ! C’est toute l’époque qui l’exige désormais, avec l’éloignement progressif de la période considérée. Je ne connais qu’une seule exception : le témoignage publié dans l’immédiate avant-guerre, sous le titre "Hitler m’a dit" et le nom d’Hermann Rauschning, tel que confectionné par les services secrets anglais (ce qu’on a appris depuis), avec probablement l’accord au moins tacite de ce dernier. On y présente un Hitler illuminé, sorte de malade en proie à des états d’agitation violente, attiré par l’irrationnel sous toutes ses formes, entouré d’une cour d’astrologues, de médiums, de rebouteux et autres charlatans... Tout est réuni dans ce livre pour discréditer l’homme politique, et convaincre l’opinion mondiale qu’il ne peut pas se conclure de paix avec un tel illuminé en proie à des lubies, que la guerre est la seule issue. C’était déjà à l’époque la même tactique de discrédit total de la personne qu’aujourd’hui vis-à-vis du Président iranien Ahmadinejad, dans le cadre des préparatifs de la troisième guerre mondiale actuellement en cours, et une fois encore voulue par les youpins du monde entier.

Pour ma part, je ne raisonne évidemment pas du tout comme vous. Je regarde vos vingt siècles d’histoire judéo-chrétienne comme une simple parenthèse malheureuse dans le devenir des peuples aryens. Ce que vous appelez progrès, je le considère au contraire comme une régression, à la fois dans l’ordre des valeurs et dans celui des moeurs. Et si le socialisme national du siècle précédent n’a été au pouvoir que durant moins de dix ans, il a eu au moins le mérite, entre tant d’autres apports objectifs en si peu de temps, d’avoir pu éveiller, et pour l’éternité désormais, la conscience raciale de tous les peuples, quels qu’ils soient. Cela, vous ne pouvez pas l’oublier. Même vous autres catholiques, vous ne faites pas exception à la règle générale : vous ne cessez de redécouvrir vos racines judaïques, toutes orientales, de vous culpabiliser vous-mêmes pour de prétendues injustices du passé commises à l’égard des youtres, dites-vous, vous vous reconnaissez de mieux en mieux dans le visage d’une Eglise en bonne voie d’être très bientôt totalement négrifiée... Cela aurait-il été seulement possible si le social-nationalisme allemand d’il y a soixante ans n’avait pas mis la question raciale au tout premier plan, et contribué, par réaction, à réveiller en même temps toutes ces vieilles illusions universalisantes telles qu’issues des Lumières, d’une prétendue égalité en dignité de toutes les races, de leurs aptitudes abusivement affirmées comme identiques, d’une égalité absolue des droits, même au profit des individus les plus déracinés et méprisables qui puissent être ! Deux visions du monde radicalement opposées l’une à l’autre sont désormais condamnées à entrer inévitablement en conflit, ce n’est pas du manichéisme que de le constater, et vous ne pourrez plus éviter à l’avenir le développement des conflits raciaux, toujours plus exacerbés.

Là où vous vous trompez totalement sur mon compte, c’est lorsque vous m’attribuez une "attente d'une société aryenne supérieure, d'un ordre nouveau, (...) comparable sur bien des plans à l'utopie du messianisme de la race Elue." Non, nous n’attendons rien d’autre que la seule préservation de notre identité propre, de notre sang et de notre sol européen. Nous n’aspirons à aucune supériorité, nous sommes déjà supérieurs, au moins par la pureté de nos idéaux, notre sens du réel, et nos valeurs, les plus nobles qui aient été.

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