Monday, November 19, 2007

Le symbole de la malbouffe

On n'y mange pas, on va y bouffer, avec ses doigts, comme pour inverser la direction de l’évolution de l’espèce humaine, et nier toutes les bonnes manières accessoirement, à l’américaine, ou, ce qui revient au même, à l’israélienne. La note est évidemment particulièrement salée, en comparaison des produits consommés, de leur qualité et quantité. L’exploitation des employés est maximale, tout comme le bénéfice commercial. Le modèle dit de la "restauration rapide" est partout généralisé, au mépris de toute notion de culture locale. Le métissage outrancier y est la règle, tout autant dans la salle que de l’autre côté du comptoir : on s’y sent réellement mal à l’aise, au milieu de toute cette faune majoritairement jeune et totalement désoeuvrée, devant ces employées majoritairement négroïdes, asiatiques, ou bien encore en provenance directe d’Afrique du Nord, manifestement, sous le regard du vigile, ou bien celui du directeur de l’établissement, bien nègre, aux dents bien blanches...

Les multinationales du secteur, elles, se prétendraient presque des établissements à but philanthropique. Leurs "restaurants" auto-proclamés ne seraient-ils pas ouverts tous les jours de l’année, jusque très tard le soir, implantés jusque dans les quartiers difficiles ? N’offrent-ils pas des emplois à la main-d’oeuvre localement disponible ? A les suivre, ce seraient presque des entreprises d’insertion sociale !

L’Europe devrait bien un jour accepter de nettoyer tout cela. Il en va de la préservation de la race aryenne, de nos vieilles cultures, de nos valeurs, de notre sang, de notre sol, peu importe la raison d’être au fond d’un tel combat.

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