Des prétendus wagons à gaz...
"Je doute qu'un rescapé juif eut été assez idiot que pour affirmer une chose pareille. Votre judéophobie vous égare !"
Voici ce qu'on lit pourtant dans le texte même du jugement du procès de Nuremberg : "Des milliers de Juifs étaient gazés chaque semaine dans des wagons à gaz qui se détériorèrent à la suite d'une utilisation trop intense." On lit bien textuellement "wagons à gaz", non ? Toute la difficulté, c’est bien qu’à Nuremberg les juges ont entériné toutes sortes d’âneries et de mensonges éhontés de la part d’individus, parmi lesquels certains pouvaient être sincères, d’autres certainement pas. En voici par exemple deux autres :
a) "(...) le 14 décembre 1945, le gouvernement polonais remit au Tribunal de Nuremberg un document dans lequel on pouvait lire : "Toutes les victimes devaient ôter leurs vêtements et leurs chaussures, qui étaient ensuite rassemblés, avant que les victimes, femmes et enfants d’abord, ne fussent poussées dans les chambres de la mort. (...) Une fois les chambres complètement remplies, elles étaient hermétiquement fermées, et on injectait alors la vapeur. (...) A partir des rapports qui nous sont parvenus, nous pouvons estimer que plusieurs centaines de milliers de Juifs ont été exterminés de la sorte à Treblinka."
Donc à Treblinka, on ne gazait pas au moyen de zyklon, mais probablement en utilisant une décolleuse à papiers peints...
b) En février 1946, Samuel Rajzmann, juif polonais, déclarait à Nuremberg qu’il y avait eu à Treblinka "au total treize chambres à gaz destinées à la mise à mort d’êtres humains."
Excusez-le pour le peu !
Nos camarades suisses de Vérité et Justice rappelaient à cet égard dans le bulletin de leur association la diversité des procédés d’exécution attestés dans les camps, par exemple pour ce même camp de Treblinka :
"Méthodes d’exécution :
- asphyxie par vide d’air provoqué dans des chambres ad hoc (Vassili Grossman) ;
- ébouillantement par la vapeur (Document PS-3311 du Tribunal de Nuremberg) ;
- balle dans la nuque sur un tapis roulant (Le Livre Noir du Congrès juif mondial) ;
- gaz d’échappement d’un moteur Diesel (Encyclopédie de l’Holocauste)."
ou pour Auschwitz :
"Méthodes d’exécution :
- des bains électriques, un marteau pneumatique, un canon pneumatique, des gaz de combat (communiqués du mouvement de la résistance polonaise 1942/1943) ;
- une poudre blanche (Kitty Hart) ;
- un tapis roulant électrique (la Pravda, 2 février 1945) ;
- des tampons d’ouate imbibés d’acide prussique (Kurt Gerstein) ;
- crémation de corps encore en vie dans des fosses (Elie Wiesel) ;
- crémation de corps encore en vie dans des fours, où des wagons déversaient les victimes (E. Aroneanu) ;
- du Zyklon B (la variante dominante à partir du printemps 1945)."
2) Pour ce qui est des chiffres maintenant, il s’agit d’une simple question de proportions. Si vous admettez que la seconde guerre mondiale (provoquée par qui au juste ?) a fait au total 72 millions de victimes, et qu’il n’y avait en tout et pour tout que neuf millions de juifs au plus dans toute l’Europe, onze millions d’après le Protocole de la Conférence de Wannsee, mais en incluant l’URSS et la Turquie, qu’en 1933 l’Allemagne comptait seulement 520.000 juifs, et que 170.000 d’entre eux avaient déjà émigré entre 1933 et 1938 (source : Hilberg), de même qu’un grand nombre de juifs autrichiens, polonais, hongrois, roumains, etc., où les trouvez-vous, vos six millions, ou même seulement cinq millions de juifs prétendument exterminés dans les camps ? Pour arriver à un tel chiffre, il vous faut bien additionner des victimes labellisées "juives" sans plus vous préoccuper des causes réelles de leur disparition, ou bien procéder à des reconstitutions de nature démographique pour le moins hasardeuses.
Maintenant, il vous reste simplement à admettre que :
a) six millions sur neuf millions, c’est effectivement un génocide ; en revanche, quelques centaines de milliers, ou même un million ou un million et demi sur 72 millions, ce sont des victimes de la guerre, au même titre que les dizaines de millions d’Allemands ou de Russes disparus alors, et qui n’ont droit à aucun statut d’exception plus de soixante ans après : pourquoi cette guerre, à la différence de toutes les autres, devrait-elle demeurer et pour l’éternité "shoah-centrée" ? C’est bien là la question essentielle !
b) il y a une importante différence à faire entre des juifs morts en raison des circonstances de la guerre (par exemple arrêtés et fusillés pour des actes de résistance, ou, plus massivement, morts de maladies et de privations dans les ghettos ou des camps de détention), et des juifs prétendument exterminés en masse dans des mythiques chambres à gaz
c) il y a une autre différence importante entre des victimes juives nominativement recensées (par exemple les registres des morts juifs à Auschwitz existent bien, et sont devenus accessibles depuis la guerre) et des totaux allégués parce que reconstitués avec un plus ou moins grand souci de l’exactitude, et des précautions critiques plus ou moins importantes.
Le reste, cela s’appelle procéder à des amalgames, de même que celui qui est trop souvent fait entre fours crématoires et chambres à gaz...
3) Les témoins ? Il y a bien entendu des témoins, juifs et non juifs, des conditions de détention dans les camps ; il y a eu des témoins aussi pour attester de la réalité des chambres à gaz : il fallait bien de telles installations par exemple à Auschwitz pour désinfecter les masses de vêtements et d’effets personnels alors en provenance de toute l’Europe ; il y a encore des témoins pour attester de la réalité des installations de crémation aussi (mais quel rapport avec les chambres à gaz ?), puisqu’il fallait bien faire disparaître les cadavres... mais curieusement, les témoins des "actions spéciales" (c’est-à-dire des prétendues opérations de gazage) sont beaucoup plus rares... Pourquoi ? Parce que "les nazis" auraient prétendument "détruit toutes les preuves et éliminé tous les témoins" ? ou bien plutôt parce que ce sont des menteurs ? Pourquoi ces témoins-là ayant eux-mêmes survécu sont-ils tous juifs, "comme par hasard" ? Pourquoi aucun survivant Polonais ou Russe, comme à Nuremberg, en tant que témoin direct d’une "action spéciale" ? Et pourquoi surtout ces témoins-là se sont-ils tus durant toutes les années d’après-guerre pour ne se déclarer qu’à une date relativement tardive ? De tels témoins vous paraissent-ils suffisamment dignes de confiance ? Ou bien ne s’agirait-il pas plutôt pour vous d’admettre par avance leur bonne foi, sans la moindre distance critique, parce que ce qu’ils prétendent serait si conforme à l’imagerie de l’holocauste des juifs ?!
On écartera bien entendu les témoins de l’autre camp. Quel crédit accorder en effet aux confessions de Hoess ou de Gerstein, dès lors qu’on n’ignore pas dans quelles circonstances elles ont été rédigées ? Pour ne rien dire de ces autres prétendus témoins directs, qui ne se seraient déclarés eux aussi que très tardivement, seulement durant ces quinze ou vingt dernières années, et dont les témoignages ne peuvent être authentifiés par personne ! N’était-ce pas plutôt parce que la controverse sur les chambres à gaz était déjà lancée, et que certains n’hésitent pas même à produire de faux témoignages au soutien de leur croyance ?
Pour le moment, je n’ai relevé que trois catégories d’intervenants :
a) des personnes manifestement non informées, parfois même de leur propre aveu, qui se bornent à répéter ce qu’elles ont entendu dire, sans la moindre distance critique
b) des frileux ou des timorés, qui se refuseraient par avance à admettre qu’il puisse subsister le moindre doute en la matière, ou qui se la jouent ainsi
c) des malhonnêtes, avec probablement parmi eux des juifs, qui sont disposés à accepter n’importe quel mensonge du moment qu’il sert la cause d’Israël, de manière tout à fait abusive identifiée à celle du prétendu Bien !
Voici ce qu'on lit pourtant dans le texte même du jugement du procès de Nuremberg : "Des milliers de Juifs étaient gazés chaque semaine dans des wagons à gaz qui se détériorèrent à la suite d'une utilisation trop intense." On lit bien textuellement "wagons à gaz", non ? Toute la difficulté, c’est bien qu’à Nuremberg les juges ont entériné toutes sortes d’âneries et de mensonges éhontés de la part d’individus, parmi lesquels certains pouvaient être sincères, d’autres certainement pas. En voici par exemple deux autres :
a) "(...) le 14 décembre 1945, le gouvernement polonais remit au Tribunal de Nuremberg un document dans lequel on pouvait lire : "Toutes les victimes devaient ôter leurs vêtements et leurs chaussures, qui étaient ensuite rassemblés, avant que les victimes, femmes et enfants d’abord, ne fussent poussées dans les chambres de la mort. (...) Une fois les chambres complètement remplies, elles étaient hermétiquement fermées, et on injectait alors la vapeur. (...) A partir des rapports qui nous sont parvenus, nous pouvons estimer que plusieurs centaines de milliers de Juifs ont été exterminés de la sorte à Treblinka."
Donc à Treblinka, on ne gazait pas au moyen de zyklon, mais probablement en utilisant une décolleuse à papiers peints...
b) En février 1946, Samuel Rajzmann, juif polonais, déclarait à Nuremberg qu’il y avait eu à Treblinka "au total treize chambres à gaz destinées à la mise à mort d’êtres humains."
Excusez-le pour le peu !
Nos camarades suisses de Vérité et Justice rappelaient à cet égard dans le bulletin de leur association la diversité des procédés d’exécution attestés dans les camps, par exemple pour ce même camp de Treblinka :
"Méthodes d’exécution :
- asphyxie par vide d’air provoqué dans des chambres ad hoc (Vassili Grossman) ;
- ébouillantement par la vapeur (Document PS-3311 du Tribunal de Nuremberg) ;
- balle dans la nuque sur un tapis roulant (Le Livre Noir du Congrès juif mondial) ;
- gaz d’échappement d’un moteur Diesel (Encyclopédie de l’Holocauste)."
ou pour Auschwitz :
"Méthodes d’exécution :
- des bains électriques, un marteau pneumatique, un canon pneumatique, des gaz de combat (communiqués du mouvement de la résistance polonaise 1942/1943) ;
- une poudre blanche (Kitty Hart) ;
- un tapis roulant électrique (la Pravda, 2 février 1945) ;
- des tampons d’ouate imbibés d’acide prussique (Kurt Gerstein) ;
- crémation de corps encore en vie dans des fosses (Elie Wiesel) ;
- crémation de corps encore en vie dans des fours, où des wagons déversaient les victimes (E. Aroneanu) ;
- du Zyklon B (la variante dominante à partir du printemps 1945)."
2) Pour ce qui est des chiffres maintenant, il s’agit d’une simple question de proportions. Si vous admettez que la seconde guerre mondiale (provoquée par qui au juste ?) a fait au total 72 millions de victimes, et qu’il n’y avait en tout et pour tout que neuf millions de juifs au plus dans toute l’Europe, onze millions d’après le Protocole de la Conférence de Wannsee, mais en incluant l’URSS et la Turquie, qu’en 1933 l’Allemagne comptait seulement 520.000 juifs, et que 170.000 d’entre eux avaient déjà émigré entre 1933 et 1938 (source : Hilberg), de même qu’un grand nombre de juifs autrichiens, polonais, hongrois, roumains, etc., où les trouvez-vous, vos six millions, ou même seulement cinq millions de juifs prétendument exterminés dans les camps ? Pour arriver à un tel chiffre, il vous faut bien additionner des victimes labellisées "juives" sans plus vous préoccuper des causes réelles de leur disparition, ou bien procéder à des reconstitutions de nature démographique pour le moins hasardeuses.
Maintenant, il vous reste simplement à admettre que :
a) six millions sur neuf millions, c’est effectivement un génocide ; en revanche, quelques centaines de milliers, ou même un million ou un million et demi sur 72 millions, ce sont des victimes de la guerre, au même titre que les dizaines de millions d’Allemands ou de Russes disparus alors, et qui n’ont droit à aucun statut d’exception plus de soixante ans après : pourquoi cette guerre, à la différence de toutes les autres, devrait-elle demeurer et pour l’éternité "shoah-centrée" ? C’est bien là la question essentielle !
b) il y a une importante différence à faire entre des juifs morts en raison des circonstances de la guerre (par exemple arrêtés et fusillés pour des actes de résistance, ou, plus massivement, morts de maladies et de privations dans les ghettos ou des camps de détention), et des juifs prétendument exterminés en masse dans des mythiques chambres à gaz
c) il y a une autre différence importante entre des victimes juives nominativement recensées (par exemple les registres des morts juifs à Auschwitz existent bien, et sont devenus accessibles depuis la guerre) et des totaux allégués parce que reconstitués avec un plus ou moins grand souci de l’exactitude, et des précautions critiques plus ou moins importantes.
Le reste, cela s’appelle procéder à des amalgames, de même que celui qui est trop souvent fait entre fours crématoires et chambres à gaz...
3) Les témoins ? Il y a bien entendu des témoins, juifs et non juifs, des conditions de détention dans les camps ; il y a eu des témoins aussi pour attester de la réalité des chambres à gaz : il fallait bien de telles installations par exemple à Auschwitz pour désinfecter les masses de vêtements et d’effets personnels alors en provenance de toute l’Europe ; il y a encore des témoins pour attester de la réalité des installations de crémation aussi (mais quel rapport avec les chambres à gaz ?), puisqu’il fallait bien faire disparaître les cadavres... mais curieusement, les témoins des "actions spéciales" (c’est-à-dire des prétendues opérations de gazage) sont beaucoup plus rares... Pourquoi ? Parce que "les nazis" auraient prétendument "détruit toutes les preuves et éliminé tous les témoins" ? ou bien plutôt parce que ce sont des menteurs ? Pourquoi ces témoins-là ayant eux-mêmes survécu sont-ils tous juifs, "comme par hasard" ? Pourquoi aucun survivant Polonais ou Russe, comme à Nuremberg, en tant que témoin direct d’une "action spéciale" ? Et pourquoi surtout ces témoins-là se sont-ils tus durant toutes les années d’après-guerre pour ne se déclarer qu’à une date relativement tardive ? De tels témoins vous paraissent-ils suffisamment dignes de confiance ? Ou bien ne s’agirait-il pas plutôt pour vous d’admettre par avance leur bonne foi, sans la moindre distance critique, parce que ce qu’ils prétendent serait si conforme à l’imagerie de l’holocauste des juifs ?!
On écartera bien entendu les témoins de l’autre camp. Quel crédit accorder en effet aux confessions de Hoess ou de Gerstein, dès lors qu’on n’ignore pas dans quelles circonstances elles ont été rédigées ? Pour ne rien dire de ces autres prétendus témoins directs, qui ne se seraient déclarés eux aussi que très tardivement, seulement durant ces quinze ou vingt dernières années, et dont les témoignages ne peuvent être authentifiés par personne ! N’était-ce pas plutôt parce que la controverse sur les chambres à gaz était déjà lancée, et que certains n’hésitent pas même à produire de faux témoignages au soutien de leur croyance ?
Pour le moment, je n’ai relevé que trois catégories d’intervenants :
a) des personnes manifestement non informées, parfois même de leur propre aveu, qui se bornent à répéter ce qu’elles ont entendu dire, sans la moindre distance critique
b) des frileux ou des timorés, qui se refuseraient par avance à admettre qu’il puisse subsister le moindre doute en la matière, ou qui se la jouent ainsi
c) des malhonnêtes, avec probablement parmi eux des juifs, qui sont disposés à accepter n’importe quel mensonge du moment qu’il sert la cause d’Israël, de manière tout à fait abusive identifiée à celle du prétendu Bien !
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