Thursday, May 10, 2007

Hier soir dans "Envoyé spécial"

Hier soir dans "Envoyé spécial", un reportage tendancieux sur la situation actuelle dans la bande de Gaza. La réalité des affrontements fratricides que se livrent les Palestiniens du Hamas et du Fatah, sur fond de fanatisme religieux, d’ignorance, et d’imbécillité pure et simple. La caméra filme complaisamment cette séquence d’entraînement de la milice du Hamas, où l’on voit un véhicule de police censé en arrêter un autre l’emboutir, parce que ces demeurés de bougnoules ne seraient même pas fichus de distinguer les pédales de frein et d’accélérateur. Tous ces visages hébétés de profonds abrutis qu’on nous montre très largement à l’écran. Ces profils d’êtres manifestement dégénérés par les pires métissages qu’on n’ait encore jamais pu voir. Et ce voile intégral qu’on va chercher à filmer partout, dans la rue, sur la plage, jusque dans la mer, comme pour faire réagir dans les chaumières sur le thème constamment rebattu de l’infériorisation de la femme en terre d’islam...

Pas un mot en revanche sur le devenir programmé par les youpins de cette étroite bande de terre totalement surpeuplée. Pas un mot sur la précipitation conjointe d’Olmert et de Bush à en faire le territoire du futur Etat palestinien, prochainement abandonné à tous ces fanatiques religieux, très certainement, ce qui justifiera encore et toujours la fermeture des frontières, les incursions de l’armée des youtres au mépris de toute souveraineté, les éternelles opérations de représailles, etc. C’est là le "processus de paix" en marche ? Pax judaica, évidemment !

En forme de fil conducteur de tout le reportage, le désespoir de ce père dont la fille de 9 ans venait d’être abattue, avec deux autres enfants, par un tir judaïque d’obus à fragmentation. Je confiai alors à ma femme, la mère de mes enfants, combien j’étais frappé par le fatalisme propre aux arabes, que moi, à la place de ce père, je n’aurais plus qu’une seule idée en tête : massacrer de mes propres mains le plus grand nombre possible de youpins, au minimum cent pour un seul cheveu de l’une de mes filles. Elle me répondit alors simplement : "tu n’as pas besoin qu’on fasse quoi que ce soit à tes filles, tu le ferais de toute façon !" Eh bien, elle se trompait pourtant. L’époque n’est plus aux têtes coupées et aux cadavres empalés jusqu’à l’horizon dans les champs, mais plutôt à l’inlassable dénonciation du péril juif. Tant qu’il est encore possible de convaincre, et d’être encore entendu à l’occasion.

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