Monday, June 21, 2010

Réponse au juif Ayoub

Nous avions voulu laisser le commentaire qu’on lira ci après à la suite de cet article : http://fr.altermedia.info/general/la-nation-a-telle-un-avenir_30549.html . Celui-là fut censuré, tout comme s’il avait été posté sur n’importe quel autre média à la botte du pouvoir judaïque. Nous ne nous faisions de toute manière aucune illusion. Altermedia Info n’a jamais été rien d’autre qu’une vitrine pour le FN, ce parti de grands bourgeois et de retraités frileux actuellement engagé dans une tactique, à notre sens totalement erronée, de reconquête de respectabilité et d’alliance avec la droite conservatrice. Des fréquentations de notre point de vue tout à fait critiquables :
- car nous sommes pour notre part d’authentiques SOCIALISTES, et nous ne pouvons que dénoncer impitoyablement toutes ces basses attaques qui ne tendent qu’à abaisser toujours davantage les ouvriers et les peuples d’Europe, rognant toujours plus sur les avantages déjà acquis, imposant une concurrence exacerbée avec la lie de l’humanité issue de tous les recoins du tiers monde, tandis que les riches s’enrichissent toujours plus, en prétextant de la crise actuelle pour nous imposer d’artificielles réformes prétendument nécessaires ;
- car nous n’avons rien à faire avec toutes celles et tous ceux qui consciemment ou inconsciemment sont prêts, sans la moindre distance critique, à se livrer aux youpins, comme on pouvait s’y attendre dès 2006, surreprésentés dans l’actuel gouvernement ; car nous n’avons rien à faire avec tous ces profiteurs, tous ces fraudeurs nés dont l’unique horizon n’a jamais été que l’argent, et qui ignorent de toute manière toute espèce de transcendance ;
- car nous n’acceptons pas de toute manière l’actuelle langue de bois qui nous contraint au silence, du moins en public ; car nous revendiquons le droit légitime de désigner nommément l’ennemi éternel de tous les peuples, universellement honni depuis la plus haute Antiquité, de dénoncer tous les mensonges, toutes les fraudes et magouilles qui se commettent quotidiennement sans rien cacher de l’identité véritable de leurs auteurs.

Il resterait à dire quelques mots de l’auteur de l’article incriminé, un sale petit youtre dont chacun peut lire ici la biographie : http://trashpolitique.blogspot.com/2009/03/serge-ayoub.html . Petit con, évidemment protégé par sa mère magistrate, évidemment d’un matérialisme borné signant à cent mètres son youpin. Si jamais il arrivait à Juden Hasst de croiser son chemin, il lui conseille dès à présent de changer de trottoir, d’adopter, dans son intérêt, le profil bas jadis commun à tous les représentants de cette sinistre race mentale. Qu’il cesse en attendant de faire le jeu des juifs contre les arabes, ou sinon Juden Hasst lui rappellera qui sont les véritables ennemis des peuples européens...


Ce républicanisme et cet universalisme naïf ne sont pas admissibles. Nos camarades ne se laisseront pas abuser par toute cette phraséologie ne poursuivant qu’un seul but, semble-t-il : introduire la division parmi les derniers résistants à l’ordre mondialiste mortifère. Face à celui-ci, contre l’Europe des marchands, l’impérialisme étatsunien, la haute finance apatride, sans oublier Israël qui tire depuis trop longtemps toutes les ficelles, le salut des peuples enracinés ne peut être trouvé dans l’invocation abstraite de l’idée de nation. Rappelons une fois de plus ces trois principes sur lesquels nous demeurons pour notre part inflexibles :
1) l’Europe reste encore à faire, et elle est notre avenir, non sur la base des anciennes nations, à composantes des plus hétérogènes les condamnant à être traversées par toutes sortes de tensions et à terme, de conflits sur fond de revendications communautaristes, ethniques, religieuses, sociales, linguistiques, etc., mais sur celle, bien plus restreinte, des régions ou des anciennes provinces ;
2) la race constitue dans son évidence même un facteur positif, indépassable, et inséparable de la culture comme de la mentalité, et non pas ce facteur de négation et de haine que vous vous complaisez à décrire : la fidélité à ses propres racines implique le respect de l’altérité et de la diversité des peuples au moins autant que le refus de l’assimilation, de l’indifférenciation et du métissage imposé ; pourquoi serions-nous, nous autres authentiques Européens, les seuls à ne pas avoir droit à l’homogénéité ? Un nègre n’est-il pas d’abord un nègre, même s’il parle le français ou se sent de tout coeur Français ? Un juif français n’est-il pas juif d’abord, solidaire de la vaste tribu d’Israël, avant d’être Parisien ou Niçois ?
3) il faut désigner bien plus explicitement l’ennemi réel : non pas l’étranger inassimilable, l’individu déraciné, acculturé, ou bien le musulman refusant l’assimilation, mais le représentant typique de cette domination du monde imposée depuis 1945 aux peuples européens, à force de mensonges éhontés et de toutes sortes de basses manoeuvres, et qu’on retrouve ainsi logiquement au coeur de l’actuelle économie financiarisée, du commerce mondial, de la banque internationale, et, du moins en France comme aux USA, jusqu’aux plus hauts sommets de l’État, j’ai nommé le juif.

Saturday, June 19, 2010

Texte authentique de l'appel du 18 juin

La juiverie internationale s'est rendue depuis plus de soixante ans maîtresse de la destinée des peuples européens. Le gouvernement fantoche en place, vendu aux puissances mondialistes, investi par tout ce que le monde peut compter comme rebuts de l’humanité, prétend aujourd’hui nous dicter ses lois : métissage exacerbé, soumission la plus totale à la finance internationale et aux lois du commerce, censure et défaite de la pensée libre au profit d’un matérialisme dépourvu du moindre avenir.

Allons-nous nous laisser faire sans réagir ? Non ! Nous sommes les derniers résistants. Nous continuons inlassablement à entretenir la flamme toujours vivante du fond des catacombes. Pour que cesse enfin la tyrannie judaïque qui n’a que trop longtemps pesé sur les peuples européens enracinés. L’avenir nous appartient. Demain leur show-ouah, et toutes les outrances et les mensonges éhontés l’accompagnant, ne seront plus que de très mauvais souvenirs. Les lois inéluctables de l’Histoire les condamnent déjà. Demain Israël sera fini, condamné, avec son éternel fantasme de domination du monde.

Certes, la voie ne sera pas facile. Nous avons à renverser une puissance aujourd’hui supérieure, car tenant ferme tous les pouvoirs, jusqu’au sommet de l’État, la justice, les médias. Mais cette puissance n’est jamais que temporelle. Elle ne pourra être que vaincue. Déjà s’annoncent le réveil de tous les peuples voisins de l’État des juifs, l’abolition prochaine de toutes ces lois mémorielles à l’avantage exclusif des juifs sous la concurrence de toutes les minorités déracinées, l’Europe des régions et des anciennes provinces de toujours, malgré cette crise, voulue et exigée par eux, dans le sens de la financiarisation des économies dont ces éternels profiteurs chercheront toujours à tirer parti.

Nous, derniers résistants d’Europe, appelons toutes celles et tous ceux qui se reconnaîtraient dans cet appel à nous rejoindre. Que débutent dès à présent les actions de la résistance. Brûlons, à défaut de disposer d’armes en quantité suffisante, les symboles de leur insolente puissance : les synagogues, les sièges de leurs associations communautaristes, tous les lieux de pouvoir judaïque partout en Europe. Forçons tous les juifs à se désigner eux-mêmes, et à fuir en masse notre terre sacrée. Dénonçons impitoyablement tous ces collaborateurs d’aujourd’hui et leurs soutiens.

Demain, bientôt, en France, sa tête, celle de sa gourgandine, de tous ces judéo-Hongrois ou autres Africains qui prétendent se rendre maîtres de notre destinée, se balanceront peut-être au bout d’une pique.

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Friday, October 09, 2009

Fredo Mitt'rand et ses turpitudes

Pitoyable prestation hier soir dans le journal télévisé de TF1. Personne n’a encore relevé à quel point cette vieille tarlouze restait enfermée dans ses contradictions. Commençant par sous-entendre que la présentatrice, Laurence Ferrari avait mal interprété son témoignage livresque d’il y a quatre ans (dans son livre titré : La mauvaise vie), faute de distinguer entre le romanesque et le réel, il en fit rapidement l’aveu lui-même pourtant : oui, je me suis bien livré à ce tourisme sexuel des plus condamnables tel qu’il se pratique aujourd’hui en Thaïlande, je suis coupable de m’être livré à ces sortes d’amours tarifées, et je n’en suis pas fier... Puis, se reprenant bientôt : je condamne avec la sévérité la plus grande la pédophilie. Mais de qui se moque-t-on ?! Les niaques qui se prostituent là-bas ne seraient, à le suivre, que des majeurs consentants ! et il n’aurait eu, prétendait-il, que des relations librement consenties avec des garçons de son âge ! Et puis quoi encore ?! La réalité ne cesse de démentir ses propos : de jeunes garçons de 14 ou 16 ans au plus, esclaves modernes ouvertement mis à la disposition des touristes occidentaux assouvissant sur ces corps étrangers leurs pires turpitudes. Et vas-y que je t’encule à sec, que j’éjacule partout ! que je t’élargisse le cul avec le poing, le bras, avec des cierges allumés, que sais-je encore ? sans oublier le ruban adhésif te liant les poignets et les chevilles, et les cordes encore pour te flageller ! Plus âgés, c’est ainsi souvent pour tous ces niaques la mort assurée, suite au SIDA déclaré, puisque la clientèle, c’est bien celle de ces malades fréquentant régulièrement les backrooms des bas-fonds de toutes les capitales occidentales. Alors, Mitt’rand n’avait-il que 14 ou 15 ans ? ou bien ne serait-il pas plutôt un fieffé menteur ?

Un autre témoignage "littéraire" viendrait plutôt confirmer le sien. C’est celui d’un pédophile notoire, dont les turpitudes sont non seulement avouées, mais revendiquées : Gabriel Matzneff. On se rappelle probablement comment cet écrivain non conformiste avait été artificiellement présenté dans les années 1980 comme pourfendant le vieil ordre moral bourgeois, parce que se vantant de son goût immodéré pour les très jeunes filles, sans se soucier le moins du monde du qu’en dira-t-on, ni de ses conflits récurrents avec les mères... Lui aussi éprouvait le besoin de faire régulièrement le voyage en Thaïlande, pour se "ressourcer", soutenait-il. Petites filles ou très jeunes garçons, peu lui importait, confiait-il. Depuis, l’animal a compris qu’il avait grandement intérêt à disparaître de la circulation. À l’époque, il y avait eu encore la sortie du film du juif Lucien Ginzburg, dit Serge Gainsbourg, "Stan the Flasher", et toutes ces sulfureuses chansons... Aujourd’hui, c’est l’affaire Polanski qui ressurgit. Et Frédo Mitt’rand qui s’empressait il y a peu de prendre presque aussitôt la défense du cinéaste juif pédophile.

Ainsi, les déclarations embrouillées de l’ami de Sarközy n’y changeront rien : un pédéraste est bien aussi un pédophile, au moins en puissance. Les anciens Grecs ne s’y trompaient pas, pour nous avoir légué cette commune étymologie qui justifie le rapprochement des deux mots. Dans les deux cas, il ne s’agit en rien de saine sexualité, celle que pratiquaient sans tabous les peuples européens, dans sa radicale différence avec celle commune aux peuples orientaux. Là où certains pères s’arrogent le droit d’abuser de leurs propres filles, à l’occasion, où la pratique fréquente de la sodomie présente l’intérêt de préserver la virginité, à laquelle on confère la plus grande valeur, où l’âge en deçà duquel le crime de pédophilie est avéré est fixé à six ou sept ans parfois... nous ne reconnaissons aucunement nos anciennes moeurs.

Que Mitt’rand reste dans ce gouvernement, s’il lui plaît d’y demeurer. Nous ne poussons pas à sa démission. À lui seul, il constitue incontestablement un symptôme de décadence avérée, un signe clinique particulièrement fort pour l’opinion.

Friday, September 18, 2009

Lettre ouverte à Manuel Valls

[Cette lettre a été initialement postée directement sur le blog de l’intéressé. Son destinataire n’ayant pas jugé opportun de la rendre publique, et encore moins d’y répondre, nous la publions ici]

Cher Manuel Valls,

c'est en tant que socialiste de cœur depuis toujours, quoique ne me reconnaissant aucunement dans cette fausse gauche de riches que tu représentes, que je réagis à tes récentes déclarations. Que le PS « traverse une crise profonde » ou « soit en danger de mort », qu’il soit porteur d’une « vision dépassée du monde », c’est l’évidence même, et personne ne le contestera. Mais là où tu évoques « la portée positive des évolutions en cours », la nécessité « d’affronter les conséquences de la mondialisation de l’économie et de l’individualisation de la société », ou celle d’en finir avec « l’anti-sarkozysme primaire » - et, significativement, ces mêmes mots viennent d’être repris par Jack Lang, cet autre représentant de la gauche caviar et allié objectif de nos actuels gouvernants -, là il me semble que tu t’égares totalement. Ou bien, ce qui serait plus préoccupant encore, que tu te sois à ton tour laissé séduire par une basse politique de collaboration avec les puissants de ce monde.

Le mot « socialisme » ne semble décidément « brouiller » que ton identité à toi. As-tu vraiment songé à tout ce que ce noble idéal peut encore aujourd’hui représenter pour les peuples d’Europe ? c’est, contre toute espèce de totalitarisme de type stalinien, l’espoir d’un réformisme modéré, seul respectueux des libertés réelles des hommes et des femmes de notre temps, et synonyme d’efficacité et d’indéniables avancées dans les domaines économique et social. C’est la possibilité de la promotion de l’Europe des nations et des régions, c’est-à-dire de la diversité, contre celle des marchands, ces éternels vecteurs de l’homogénéisation du monde, aujourd’hui sous prétexte de globalisation prétendument nécessaire. C’est encore l’espérance d’une plus grande justice sociale et d’une unité populaire retrouvée, pour ne mentionner que l’essentiel des valeurs qui y sont indissolublement attachées. Qu’avons-nous en face ? Rien d’autre que l’égoïsme et le matérialisme borné caractéristiques des bourgeois de toujours. L’esprit de jouissance érigé en principe, avec cette mentalité totalement déculpabilisée que donne aujourd’hui l’argent - la seule valeur que les privilégiés puissent connaître - à ceux qui en possèdent beaucoup, au motif qu’ils se sont contentés de naître... L’internationalisme le plus débridé, tel qu’issu de l’univers du commerce, ignorant toute différence culturelle, comme tout héritage ou toute volonté d’enracinement. Et il faudrait toujours davantage encourager le rapprochement, la confusion des genres et des valeurs, ruiner toujours plus l’espoir d’une réelle alternance politique au profit des peuples ?

Les brèches avaient déjà été très largement ouvertes depuis quelques décennies par la fausse gauche elle-même : c’était hier le cryto-trotskyste Jospin, formé à l’entrisme par la CIA - avec tant d’autres : Gordon Brown, Abdullah Gül, ou encore un certain Nicolas Sarközy... –, qui approuvait la refonte du régime général des retraites dans les modalités mêmes qui étaient alors exigées par la droite ; l’immobilisme en matière de social, sous couvert de social-réformisme ; la célébration quasi permanente de l’entreprise et du libéralisme le plus sauvage ; les égards pour le capitalisme financier le plus cosmopolite qui n’ait jamais été ; la prétendue nécessité des « réformes » ; les lois de décentralisation ou la « politique de la ville », sources de nouvelles prébendes pour les élus locaux et leurs proches ; etc. etc. Et depuis, sous couvert d’« ouverture », que de transfuges issus de la fausse gauche qui n’ont probablement jamais songé à se réclamer de l’« anti-sarkozyme primaire » ! Bernard Kouchner, Dominique Strauss-Kahn, Eric Besson, sont-ils de gauche ? ou bien les réflexes de classe hérités, ou le goût pour l’exercice du pouvoir, pour ne pas dire davantage encore, ne l’ont-ils pas chez eux définitivement emporté sur cette vague sensibilité progressiste qu’ils pouvaient bien afficher à telle ou telle étape de leur plan de carrière ? Claude Allègre mérite-t-il le noble nom de socialiste ? Des individualités telles que celles de Martine Aubry ou Bertrand Delanoë peuvent-elles susciter un quelconque espoir de renouveau ? Et vois-tu encore une quelconque différence entre Julien Dray et Nicolas Sarközy ? Ségolène Royal et Xavier Bertrand ? Dominique Strauss-Kahn et Eric Woerth ?

Non, la mondialisation et l’individualisme grandissant ne sont certainement pas constitutifs d’une sorte de fatalité à laquelle les peuples d’Europe devraient accepter de se plier, à ce que tu sembles décrire. Ce sont là plutôt les effets d’une politique délibérée d’abaissement du vieux continent, de ses valeurs les plus dignes et respectables, et de négation pure et simple de sa longue histoire. Les ouvriers français, ou allemands, ou grecs, devront-ils, sous prétexte de mondialisation, accepter dès demain de produire dans les mêmes conditions qui leur seraient dictées internationalement que leurs homologues chinois ou indiens ? d’être mis en concurrence avec des travailleurs turcs ou maliens, très bientôt haïtiens ou originaires d’Afrique du Sud ? les commerçants et artisans locaux subir la concurrence de ces multinationales de l’import-export dont le siège est à Abu-Dhabi, Hong Kong, ou ailleurs ? les consommateurs finaux se laisser imposer toutes sortes de produits de qualité de plus en plus médiocre, mais synonymes de marges bénéficiaires toujours plus élevées pour les distributeurs ?

Resterait encore à évoquer le sarkozysme : avec un tel système, les plus cyniques des profiteurs installés sur les plus hautes marches du pouvoir ; les lobbies tenant le haut du pavé ; la confusion permanente entretenue entre les sphères publique et privée ; le pays tout entier vassalisé à des intérêts étrangers ; les graves menaces qui pèsent désormais tout autant sur les libertés individuelles que sur la souveraineté et l’indépendance de l’État ; ou de la justice ; etc. Contre celui-là, qui pourra bien encore incarner l’indispensable esprit de résistance ? une extrême droite absorbée ? une extrême gauche instrumentalisée ? une fausse gauche, pour une part ralliée, et pour l’autre part laminée ? un parti communiste devenu groupusculaire ? Comme tu le vois, la voie de l’avenir est à trouver plutôt du côté d’une opposition résolue, se moquant bien de l’arrivisme des uns ou des autres, des querelles mesquines entre personnes, mais résolument socialiste, c’est-à-dire à la fois sociale et populaire, et nationale-européenne. Mais je doute sérieusement que tu puisses seulement te reconnaître dans celle-là.

Monday, July 13, 2009

L’enjuivée Alliot-Marie fait appel de la condamnation du négro Fofana et de ses acolytes

À l’adresse de tous ceux qui douteraient encore de la réalité du pouvoir juif en France : depuis l’élection d’Alberich, le nabot juif, à la magistrature suprême, avec le soutien de la CIA – les barbouzes US n’ont-ils pas été jusqu’à provoquer la candidature de la moins capable, la conne du Poitou, aux Présidentielles en face de leur poulain, pour éviter de compromettre l’avenir de leurs autres youtres, Strauss-Kahn surtout, et Fabius ? –, il ne fait plus le moindre doute que les youpins tirent bien toutes les ficelles. Leur pouvoir de nuisance, de tout temps incontestable, affecte gravement et durablement désormais l’indépendance de la justice. Après l’enterrement en première classe de toutes les "affaires" risquant de mettre en cause de près ou de loin Alberich soi-même, les époux Balkany, Jean Sarkojuif et tant d’autres si bien nés à Neuilly, la remise en cause de l’indépendance du parquet, voilà maintenant que l’exécutif, aux ordres de toutes les associations judaïques réunies, donne ses ordres, et sans la moindre honte, jusqu’à des jurés populaires ! Il ne leur suffit pas de mettre le pays au pillage : l’actuelle crise financière comme prétexte, incontestablement provoquée par la juiverie internationale, cet emprunt d’État dont personne ne contrôlera les tenants et aboutissants, la taxe carbone pour pressurer encore davantage les ménages les plus modestes, en attendant les hausses d’impôts à venir et l’élargissement de l’assiette fiscale, les dépenses de l’État en croissance exponentielle, pour, entre autres, les petits sacs à main et autres tenues d’été de la youpine Bruni, les déplacements en avion de toute la famille de l’enjuivé Fillon, et tout le reste encore. Les voilà désormais tentant de réduire le pays entier à une masse d’esclaves à leurs ordres !

JH, probablement le dernier résistant au pouvoir juif, revient ici [sur fr.soc.politique], pour alerter l’opinion, s’il en reste encore une en France. Peuple d’Europe, aux armes ! Pour la nation Europa ! Pour le vrai socialisme, contre la fausse gauche de riches et tous ces agitateurs gauchistes à la solde d’Alberich et de tous les siens !

Friday, January 30, 2009

Lu sur le site de "La Vie"

sur cette page http://www.lavie.fr/l-hebdo/une/article/0938-pas-de-negationnistes-dans-leglise/retour/11/hash/e9e3398696.html vous avez récemment écrit ceci :

"Enseignante d'histoire géo, je suis scandalisée que l'Eglise puisse accepter dans ses rangs ce négationniste alors que le père Dubois est entrain de révéler par ses travaux l'horreur de la Shoa par balle qui eut lieu sur le front de l'Est. jean Paul II doit se retourner dans sa tombe."

Comme enseignant moi-même, mais dont les convictions profondes sont probablement à l’opposé des vôtres (national-socialiste convaincu, païen résolu, mais partageant depuis longtemps déjà les mêmes doutes que Mgr Williamson quant à la réalité de ces prétendues chambres à gaz exterminatrices d’il y a maintenant plus de soixante ans, comme sur le chiffrage des victimes juives), je me permets de vous interpeller pour vous poser ces quelques questions auxquelles vous pourriez peut-être me répondre, si vous n’êtes pas d’avance fermée à tout dialogue :

Vous vous dites "scandalisée" : votre indignation est-elle sincère, auquel cas vous me paraissez bien candide, ou bien n’est-elle que feinte ? Dans la première éventualité, alors de quel droit recyclez-vous cette expression de "shoah par balles" ? Forgée exprès dans l’intérêt des juifs, elle ne fait jamais qu’entretenir auprès du grand public la confusion entre les exactions autrefois commises sur le front de l’Est par les Einsatzgruppen, inévitables dans le contexte de l’époque, et le dogme judaïque des six millions de gazés. Dans la seconde éventualité, pourquoi alors avoir posté cette réaction ? Ne s’agirait-il pas par hasard, en rendant publics vos nom et email, de manifester votre pleine et entière allégeance aux puissants de ce monde ? auriez-vous personnellement sinon des liens particuliers avec les juifs ?

Comprenez bien que je ne cherche aucunement à vous convaincre, mais seulement à trouver des réponses à mes propres interrogations : comment se peut-il faire que tant de confusions et de mensonges puissent être aussi facilement admis, et sans jamais susciter le moindre doute, que tant d’esprits puissent avaliser les pires amalgames holocaustiques sans jamais prendre ne serait-ce que le moindre recul critique ? En tant qu’enseignante, n’avez-vous pas le devoir de développer d’abord l’esprit critique chez vos élèves ? Ou bien êtes-vous si jeune que n’ayant jamais encore eu jusqu’ici l’occasion de lire et de vous informer un peu plus sérieusement sur cette période ?

Si ce mail pouvait seulement vous faire un tout petit peu réfléchir, ce serait déjà là un minimum ! Nous autres nationaux-socialistes ne pouvons pour le moment encore que nous taire. Les lois mémorielles, et la répression accrue dont nous sommes les victimes, depuis que nous sommes entrés, après 1945, dans notre longue et silencieuse nuit, nous empêchent de témoigner de notre foi toujours vivante. Par la suite, vous entendrez peut-être nos convictions profondes : et si la vieille Allemagne avait naguère montré au monde le chemin ? celui du redressement des peuples d’Europe, de l’héritage plus que millénaire et de la fierté aryenne retrouvés, la dénonciation du facteur racial toujours plus déterminant à l’heure actuelle, du métissage imposé, de la mise au pillage de toute l’économie (car la crise actuelle n’est jamais pour nous que le symptôme de sa financiarisation à des fins prédatrices exclusivement), du déclin des cultures. En attendant, demandez-vous seulement qui sont réellement tous ces individus si étroitement solidaires les uns des autres et qui concentrent tant de pouvoirs en leurs mains, au point de pouvoir imposer à tous les autres d’admettre pour l’éternité tant de prétendues vérités révélées, telles qu’hâtivement forgées à Nuremberg ou ailleurs, et une histoire toujours plus shoah-centrée...

Saturday, January 03, 2009

La situation politique aujourd’hui en France. Les perspectives

La situation ne paraît pas receler de réelles perspectives d’avenir encore, en dépit d’un contexte économique et social particulièrement critique, en raison surtout de l’état de division des forces vives du pays tel que savamment entretenu par la majorité actuelle, et de leur inaction.

La force de l’actuelle majorité réside incontestablement dans la politique volontariste actuellement menée, s’entendant à limiter dans l’immédiat les conséquences de la crise financière mondiale sans renoncer pour autant à vouloir réformer en profondeur la société française. Il est cependant à craindre que cette volonté de réformes soit perçue dans l’opinion comme une fuite en avant irréfléchie, faisant fi de toute contrainte issue du réel, vers toujours plus d’ultralibéralisme, tel que dicté à l’actuel gouvernement par ces puissances dont il n’est que l’instrument. Le risque pourrait être alors d’une crise sociale et politique majeure éclatant au printemps 2009, laquelle affecterait gravement et durablement l’image des élus et des responsables politiques et économiques. Indifférents aux difficultés de la majorité, ne poursuivant que leurs intérêts propres, ne s’attachant qu’au maintien de leurs privilèges exclusifs et de leurs positions de pouvoir, avec l’argent comme préoccupation exclusive, affichant un penchant immodéré pour le luxe et la vie facile sans le moindre souci pour le lendemain, etc. Tels en seraient les traits distinctifs. Le départ d’une telle crise sociale et de représentations serait probablement donné au travers de la convergence des forces de contestation émanant 1) des lycéens, avec la poursuite de la réforme des lycées engagée par le gouvernement, 2) des jeunes les plus fragilisés, dépourvus de toute perspective de réelle insertion sociale, et 3) d’une partie au moins des populations marginalisées des quartiers. Les modalités de gestion prévisionnelle de crise actuellement adoptées risqueraient même d’en constituer les éléments déclencheurs. En effet, il n’est pas du tout certain que les solutions adoptées, du quadrillage répressif systématique des ghettos de la République, du contrôle renforcé des opinions via la surveillance de l’Internet, des communications téléphoniques par le moyen des opérateurs de réseaux, ou encore de la loi sur l’audiovisuel public, puissent réellement aboutir aux effets désirés. Et la dénonciation quasi permanente, de la part de certains acteurs politiques de tout premier plan, des prétendus « manipulateurs » de la jeunesse ne fait jamais que raviver en son sein l’esprit de révolte, qu’on peut penser au contraire être largement spontané.

La composition socio-ethnique des populations ci-dessus mentionnées, on ne l’a pas encore assez souligné, est désormais fort similaire. La plupart des lycées actuels, conséquence de la massification de l’enseignement et de l’absence de toute véritable sélection avant l’entrée dans le supérieur, juxtaposent des groupes d’élèves ethniquement homogènes et d’origines majoritairement africaines, par suite du facteur démographique, ce que la nationalité française ne doit pas masquer. On assiste déjà dans beaucoup d’établissements au remplacement du public traditionnel des lycées par des populations aux caractéristiques très différentes. Les mêmes groupes d’individus très jeunes, inintégrés, et acculturés, au tempérament souvent violent, fréquemment en révolte, en raison du conflit souvent prégnant entre une religiosité musulmane et des traditions familiales particulièrement vivaces d’une part, toutes les séductions consuméristes et matérialistes caractéristiques du mode de vie occidental d’autre part, constituent tout autant le vivier des pseudo autonomes et activistes, débordant les manifestations lycéennes les mieux organisées, que celui des bandes ethniques qui sévissent dans les quartiers les plus défavorisés.

Division de l’opposition

En face de l’actuelle majorité, les puissances de contestation se trouvent désormais singulièrement divisées. Le coup de maître de Nicolas Sarkozy a incontestablement été de favoriser la solidarité ethnique et clanique, sous le couvert d’une pseudo politique d’« ouverture », plutôt que la proximité politique. De sorte que chacun peut d’autant plus efficacement remplir le rôle qui lui est imparti au profit de sa communauté d’appartenance : Dominique Strauss-Kahn promu à la tête du FMI, Jack Lang, Laurent Fabius ou Jean-Luc Mélenchon se maintenant dans une opposition factice, aux côtés de Jean-François Copé ou de Roger Karoutchi, avec tant d’autres encore au gouvernement, qui seront probablement très bientôt rejoints par Julien Dray, lequel ne manquera certainement pas l’occasion qui lui serait ainsi offerte de différer les poursuites judiciaires dont il fait actuellement l’objet ; contre les Chiraquiens et les centristes « historiques ». La gauche apparaît désormais totalement laminée et en voie d’éclatement groupusculaire : entre une extrême-gauche enfermée dans la contestation la plus stérile, et comme telle instrumentalisée par le pouvoir, deux partis trotskystes, au minimum, un ex-parti communiste réduit à l’insignifiance, et l’actuelle majorité, ne subsistent plus qu’un parti socialiste légitimiste rivé sur une ligne politique intransigeante, devenue avec les années parfaitement inaudible des Français, et un pseudo courant social-réformiste, « Désirs d’avenir », simple coquille vide au service d’ambitions personnelles démesurées. Les actuels syndicats, à l’exception peut-être à l’extrême-gauche politique du syndicat Sud, apparaissent eux aussi comme profondément divisés, entre une base désorientée et des dirigeants achetés, et ainsi disposés par avance à ratifier même les accords les plus préjudiciables à tous les salariés. Ces derniers, éprouvant leur situation en termes d’insécurité accrue et de précarisation croissante, ne peuvent que se résigner à subir le contexte économique particulièrement incertain auquel ils se trouvent exposés. L’actuelle crise financière mondiale, dont les conséquences sur l’économie réelle ne sont cependant pas niables, constitue, pour le moment encore, un prétexte fort bien venu pour accroître toujours davantage les marges des entreprises et des établissements bancaires et financiers, au prix de licenciements massifs et de délocalisations destinées à se poursuivre. Ses réelles implications sociales sont encore à venir. Tout dépendra probablement de l’évolution des prix de détail des produits de consommation courante. Personne ne peut encore savoir de manière suffisamment certaine, en effet, si les économies européennes entreront bientôt dans une phase de stag-déflation, avec une baisse généralisée des prix entraînée par une chute de la consommation des ménages, ou bien si, tout au contraire, la préoccupation première des commerçants et autres intermédiaires de maintenir leurs marges bénéficiaires à un niveau élevé en dépit de la relative restriction des marchés n’entraînera pas à l’opposé un mouvement de hausse des prix. Quant aux fonctionnaires et salariés des entreprises publiques, leur situation toujours plus exposée, avec les suppressions massives de postes déjà annoncées et les réelles menaces de réforme des statuts, les amène à renoncer désormais à ces vastes mouvements de contestation de la politique gouvernementale, le dernier en date ayant certainement été celui de 2005, relatif à la réforme programmée des régimes de retraite par répartition. Il peut être établi en outre que les appels à manifester, uniquement en ordre dispersé et sur des revendications strictement catégorielles, tels que lancés par les syndicats, ne peuvent que servir les intérêts de la majorité actuelle, en accentuant l’esprit de démobilisation des salariés tout en renforçant le contrôle de la base exigé des appareils syndicaux par l’actuel gouvernement. Les fonctions publiques et l’ensemble des emplois dérivés pourraient même se trouver menacés au cours du premier semestre 2009, en raison, d’une part, de la dérive des dépenses publiques et de l’accroissement considérable de la dette, entraînant la faillite de l’État, qui ne pourrait plus ainsi rémunérer ses fonctionnaires, et d’autre part de l’état des finances des collectivités locales, celles-là s’étant fortement endettées ces dernières années, par la souscription d’emprunts toxiques et à des conditions prohibitives, et sans désormais pouvoir se refinancer au moyen de nouvelles hausses d’impôts.

Une issue politique pouvait certainement être trouvée dans un débordement de l’actuelle majorité politique sur sa droite. Seulement, alors que son électorat traditionnel s’est trouvé presque totalement absorbé au sein de l’UMP, les dirigeants de l’actuel Front national, le seul parti politique qu’on pouvait penser à même de constituer un nouveau pôle d’unification des mécontentements, se déconsidèrent eux-mêmes en s’enfermant dans de stériles rivalités intestines, incapables qu’ils sont de tirer les conséquences de leurs lamentables échecs dans leur constante stratégie de conquête de respectabilité. Le grand âge de Jean-Marie Le Pen, le passé de Bruno Gollnisch, ou bien encore le manque de charisme de Marine Le Pen, cette dernière figée dans sa position d’héritière toute désignée, outre les options libérales et catho-intégristes prises par ce parti, apparaissent comme les obstacles les plus sérieux, en l’absence de toute autre personnalité politique d’envergure au sein de cette mouvance.

Les aspects négatifs de la politique que mène l’actuelle majorité ne sont pas niables.

En matière d’immigration d’abord, la création d’un ministère dédié n’a rien permis d’autre qu’un simple effet d’annonce. Les vagues migratoires n’ont jamais été aussi importantes, d’où un accroissement sans précédent, non seulement de ces inutiles mesures, purement symboliques et largement médiatisées, de reconduite à la frontière, mais surtout des titres de séjour octroyés, des unions mixtes, des regroupements familiaux finalement autorisés, des droits d’asile, et des régularisations administratives prononcées. Le résultat en est que dans les villes, aux sorties des écoles, dans chaque lieu public, toutes les administrations publiques, les hôpitaux, etc., il est devenu impossible de ne croiser que des Européens exclusivement. Les origines africaines, moyen-orientales ou asiatiques sont partout surreprésentées, avec les produits de tous les métissages envisageables entre les populations humaines. La vague actuelle d’« obamania » conduit même à vouloir toujours plus renforcer l’importance des « minorités visibles » dans certains secteurs, sans la moindre considération pour l’avenir du pays : le gouvernement d’abord, mais aussi les médias, les grandes écoles et les filières d’excellence ; à l’exclusion toutefois des conseils d’administration et des équipes dirigeantes des grands groupes et des établissements bancaires ou financiers les plus prestigieux. On observera ce même type de contradiction au travers des caractéristiques ethniques visibles des salariés des services et des commerces de proximité : beaucoup de magrébines, métisses, noires ou bien asiatiques employées comme vendeuses en boutique de vêtements ou serveuses en restauration, salariées en cuisine ou bien des entreprises de nettoyage, mais beaucoup moins dans les secteurs de la boulangerie ou de l’ameublement par exemple. On ne peut douter qu’une telle politique a été délibérément voulue : en cherchant à accroître par tous les moyens le nombre d’étrangers extra-européens présents sur le territoire, en encourageant tous les métissages, en faisant partout la promotion « de la diversité » et de la différence visible, de préférence africaine ou orientale, on parvient d’autant mieux à dissimuler sa propre différence avec les populations hôtes. Quant à l’avenir des populations européennes elles-mêmes, qui peuvent quant à elles justifier de millénaires d’enracinement sur un vaste territoire, au risque à venir de conflits ethniques toujours plus exacerbés, au véritable chaos racial qui serait bientôt engendré, on n’en a cure. Seuls importent les intérêts immédiats, à court terme, et la jouissance, dans le luxe, des positions de pouvoir désormais conquises. C’est sur cette seule base que l’alliance s’est depuis longtemps réalisée, jusqu’au sommet de l’État, entre une minorité allogène particulièrement unie et influente et une classe politique très largement corrompue ne visant qu’à s’octroyer toujours plus de prébendes, sans le moindre égard pour l’avenir du pays et les difficultés croissantes que connaissent les classes moyennes et populaires.

Sur le plan social, le décalage se fait toujours plus grand entre les conditions d’existence au quotidien de la minorité de privilégiés ralliés au soutien inconditionnel du pouvoir, et celles de la majorité des Français. Alors que la crise financière, à la différence de ce qui s’est produit outre-Atlantique, ne paraît pas avoir éprouvé le niveau de vie et de consommation des premiers, les seconds se trouvent confrontés à des difficultés matérielles toujours plus importantes : niveau artificiellement élevé des prix des produits alimentaires et des biens matériels de première nécessité, importance croissante des dépenses contraintes dans le budget des ménages, endettement des particuliers, chute de leurs revenus réels, en l’absence de la moindre mesure de revalorisation salariale ces dernières années, risque grandissant de chômage pour soi-même, ses proches ou ses enfants, diminution du niveau des prestations sociales, déremboursement des médicaments, etc. etc., dans un contexte de vieillissement des populations blanches accroissant le risque de dépendance et les coûts induits. Ces derniers se trouvent tout autant, sinon davantage supportés par les particuliers que par la collectivité. Les conséquences de cette situation globale ne sont pas niables : le luxe ostentatoire dans lequel se complaisent les uns, et avec eux trop d’élus de la République et leurs proches, est de plus en plus mal accepté par la majorité, en attendant la révolte imminente des autres, de tous les exclus et précaires, dont le nombre ne peut qu’aller croissant. L’actuel gouvernement, sur lequel se focalisent tous les mécontentements, ne pourra que payer le prix de l’absence de toute réelle politique sociale en faveur des nationaux durant ces dernières années.

Sur les plans européen et international enfin, il est à craindre un alignement encore accru de la France sur les politiques d’Israël et des USA, au détriment de l’établissement de la relation forte entre Paris et Moscou exigée par la conjoncture présente, et, qui plus est, justifiée par toute la géopolitique et l’histoire. Ainsi le pays tout entier risquerait de se trouver très bientôt ravalé au rang d’un allié docile et servile des puissances du monde les plus influentes, se contentant de décliner au mieux ses spécificités touristiques et culinaires au profit exclusif d’une caste de milliardaires cosmopolites originaires de tous les ghettos du tiers-monde.