Monday, April 28, 2008

Jean-Marie Le Pen et les chambres à gaz

Réjouissons-nous : les convictions les plus communes changent, comme on peut s’en assurer ici, et de la manière la plus rapide qui soit ! Il y a peu encore, le grand public admettait sans le moindre recul critique la version holocaustique et politiquement correcte de l’histoire récente : les méchants nazis auraient délibérément gazé plus de six millions de gentils juifs innocents, après les avoir déportés de l’Europe entière rien que pour les assassiner... Désormais et en dépit de l’une des législations de circonstance les plus répressives qui ait jamais été encore, certains osent exprimer publiquement leurs doutes. Mais n’y aurait-il pas eu aussi à l’époque des fusillades ? des massacres de masse, et avérés des deux côtés ? le typhus ? des conditions de promiscuité et d’hygiène héritées de la vie dans les ghettos ou bien perpétuellement nomade (dans le cas des tsiganes), et qu’on n’accepterait plus aujourd’hui ? surtout, les bombardements sans discontinuer des alliés, aboutissant à la désorganisation la plus totale des transports et au rationnement des derniers mois de la guerre, puis l’avance massive des hordes asiates menées au knout par des commissaires politiques juifs, contraignant à l’évacuation à marches forcées de la main-d’oeuvre encore valide de tous les camps qui n’avaient pas encore été absorbés plus à l’Est, et dans lesquels les détenus n’avaient pas préféré attendre plutôt la "glorieuse" Armée Rouge ? Et le doute le plus grand subsiste encore sur le nombre : six millions de juifs gazés ? Et puis quoi encore ?! C’est bien davantage que le total de tous les disparus juifs de la guerre, quelles qu’en aient pu être les causes ! C’est beaucoup plus que tous ceux qui aient jamais pu être déportés, immatriculés, ou dont on peut reconstituer les identités. C’est presque autant que tous ceux qui vivaient en Europe encore à la fin du XIXème siècle, comme je l’ai déjà expliqué. Et ce sont ces "vérités"-là qu’on nous demande d’admettre ?

Comment en est-on venu là ? Pour le coup, il faut bien prendre en considération deux dispositions caractéristiques de l’esprit des youtres : la persévérance dans la poursuite du but recherché, et la solidarité particulièrement étroite dont ils sont capables. Il faut probablement remonter aux années 1940. C’est à cette époque déjà lointaine qu’un youpin du nom de Jürgen Riegner, qui deviendra plus tard vice-Président du Congrès Juif Mondial, si je me souviens bien, décida depuis son confortable bureau de Genève, où il était réfugié alors, de tirer tout le profit en faveur de la promotion de la cause judaïque des rumeurs véhiculées alors à propos des camps. Rappelons le contexte : que la vaste tribu d’Israël avait depuis longtemps déclaré la guerre totale, et par tous les moyens, contre l’Allemagne et le peuple allemand, coupables selon elle d’avoir simplement voulu se défaire de ses exploiteurs juifs pour pouvoir suivre son propre chemin. Le résultat ne s’est pas fait attendre. On recycla rapidement pour la circonstance les pires des croyances urbaines au sujet des Allemands, qui coupaient prétendument les mains des petits enfants, qui précipitaient prétendument des bébés vivants dans les flammes, qui découpaient prétendument sur le vif les tatouages obscènes qui les émoustillaient dont se paraient alors les pédés, et pour en faire autant de trophées, etc. etc. Puis, après la guerre, les dirigeants juifs ont très vite compris, non seulement qu’ils pouvaient compter sur la complicité au moins tacite de la plupart des youpins du monde entier, mais aussi tout le profit qu’ils pouvaient tirer en exagérant à outrance le nombre de leurs propres morts et disparus de la guerre. Par la suite, et parce qu’il fallait bien une explication, c’est la thèse des gazages massifs qui a fini par prévaloir.

JH, lui, parce qu’il a choisi de revendiquer ici [sur fr.soc.politique] la liberté d’expression la plus totale, n’hésite aucunement à soutenir encore que toute cette vermine judaïque doit bel et bien être exterminée, parce qu’elle n’est à sa place nulle part. C’est le seul moyen selon lui de réconcilier tous les peuples européens avec eux-mêmes, d’en finir définitivement avec la tyrannie de l’argent et la loi exclusive du profit, de tourner résolument le dos à cette société de merde, parce que bassement, vulgairement, pornographiquement, matérialiste et hédoniste. Sait-on au moins par exemple, que non seulement Sarkozy est incontestablement un juif ? Une société qui ne connaît plus d’autres valeurs que celles que vantent à outrance en France TF1, Canal + ou bien M6 : celles du métissage à outrance, de l’inculture, de la décadence des peuples et de leur dégénérescence biologique, mérite bien de disparaître. JH rappelle pour sa part que la révolution, rouge, noire, peu importe, peut très bien commencer dès la nuit du mercredi 30 au jeudi 1er. Il espère de tout coeur que le peuple de France saisira très bientôt cette occasion unique de reprendre le pouvoir qui lui a été désormais confisqué, et pour l’éternité sinon, par la juiverie mondialiste. Il lance le signal. Dans le cas contraire, chacun sait déjà ce qui l’attend pour l’avenir : plus de statut, plus de lois sociales, fin de la retraite pour les vieux travailleurs, délocalisations à outrance, chômage massif, puis famine, misère, prostitution généralisée, seul moyen de survie, etc. C’était déjà la situation de l’Allemagne dans les années 1920. La solution a bien été alors le socialisme national. Le travailleur allemand avait alors retrouvé toute sa dignité, et il lui avait été accordé bien plus d’avantages sociaux qu’il n’en avait jamais jusque là rêvés. Dans trois jours, tout peut recommencer. Tout dépendra alors de votre volonté, à chacun.

Sunday, April 27, 2008

Liberté d'expression, sur fr.soc.politique

Votre plaidoyer en faveur de la liberté d'expression me paraît si fin et intelligent, en dépit de votre qualité déclarée d’ "ami d’Israël", dont j’accepte de faire totalement abstraction, que j’estime avoir le devoir de vous répondre. Je suis en effet convaincu pour ma part que vous vous égarez totalement dans votre volonté de diaboliser l’adversaire : vous tendez à me présenter comme un monomaniaque avéré, animé d’un "antisémitisme" qui serait toujours par son essence même profondément irrationnel, adepte d’on ne sait quelle fumeuse "théorie du complot", pourfendeur de la conjuration internationale des juifs, lesquels, c’est bien connu, tirent toujours les ficelles, etc. Non. Une telle construction intellectuelle pour le moins incongrue et hasardeuse est simplement due à votre ami Pierre-André Taguieff, toujours en mal d’explications de l’ "antisémitisme" contemporain et de ses résurgences. Son postulat de base étant que les juifs eux-mêmes, prétendus essentiellement, et sans la moindre exception, victimes innocentes, artificiellement présentés comme d’éternels boucs émissaires, n’ont jamais rien fait pour mériter l’ "antisémitisme" dont ils ne seraient en rien responsables. Il faudrait toujours lire et relire plutôt Bernard Lazare, et, au-delà, au moins chercher à comprendre vraiment pourquoi, dès qu’il y a eu des juifs qui ont pu être identifiés en tant que tels, ceux-là se sont-ils trouvés immédiatement en bute à l’hostilité de tous les peuples chez qui ils s’étaient trouvés établis, et dont ils abusaient invariablement au plus haut point de l’hospitalité. Même en Palestine.

Comprenez bien que jamais personne encore n’a eu l’idée bien saugrenue de nier la réalité des camps établis à l’Est de l’Europe vers le milieu du siècle dernier. Personne n’a jamais nié que des trains roulaient vers ces destinations-là, qu’ils étaient chargés de déportés, que les conditions de vie, de transport, et de travail dans les camps étaient souvent fort déplorables, surtout dans les derniers mois de la guerre. Seulement, il faut bien dénoncer les mensonges des juifs, surtout en ce jour de souvenir de la déportation (et en avez-vous seulement entendu parler aujourd’hui au travers des médias ? pour ma part, je crains plutôt que le shoah-centrisme ait bien fini par éclipser tout le reste...) : le seul et unique objectif jamais poursuivi par le national-socialisme du siècle dernier était-il l’extermination massive des juifs dans des camps renommés pour la circonstance d’ "extermination" par le gaz surtout, et à une échelle industrielle ? Personnellement, et tout comme le vieillard milliardaire Le Pen, je ne crois pas du tout à cette histoire-là. Je crois même pouvoir refaire la genèse de cette légende urbaine proprement judaïque.

Dans les mois qui ont suivi immédiatement la libération des camps, il me semble bien qu’aucun Français ne s’interrogeait quant à la religion, l’appartenance ethnique ou les raisons ayant valu la déportation de tel ou tel individu au pyjama rayé qui revenait désormais librement humer l’air de Paris. Pourquoi celui-là avait-il été déporté ? Qui était-il au juste ? En était-il ou non, de telle ou telle tribu, peu importait alors. Et à cette même époque, des parents, eux, se trouvaient inquiétés, pourchassés, puisqu’ils se trouvaient, eux, désormais versés du mauvais côté, celui de l’ennemi vaincu. Et on ne dira jamais assez combien de civils totalement innocents, de femmes, d’enfants, de nourrissons même, ont été exterminés simplement parce qu’ils avaient eu la malchance d’être nés Allemands. Sait-on au moins que les Anglais avaient alors projeté de stériliser tout Allemand adulte, pour que le peuple allemand tout entier puisse être voué à l’extinction ? que les troupes soviétiques, majoritairement composées d’Asiates, tout comme les nègres américains, qui formaient alors des compagnies séparées, avaient reçu l’ordre de violer toute Allemande, et peu importe son âge ? Et puis, lentement, progressivement, l’histoire s’est-elle trouvée réécrite au profit exclusif des juifs. On a commencé par relativiser totalement et minimiser le rôle des résistants. Que de tous jeunes gens par exemple aient été totalement manipulés par Londres, à qui on faisait miroiter l’espoir d’échapper au STO (même Georges Marchais y est naguère parti), se soient trouvés tués sur le plateau des Glières, parce que en face de troupes allemandes plus aguerries, est bien un fait historique, il me semble ! Puis, on a laissé croire que le but unique du socialisme national n’a jamais été que l’extermination des juifs, l’histoire s’étant trouvée toujours plus shoah-centrée.

Je daterais le conformisme désormais établi dans les esprits de la diffusion sur les chaînes de télévision américaine, puis européennes, de la fiction américaine "Holocauste". C’est en effet à partir de la fin des années 1970 et du début des années 1980 que s’est généralisé dans l’opinion le conformisme le plus plat, dont les juifs ont si bien su tirer profit. C’est après que le terme "shoah" fut inventé, la loi Fabius-Gayssot, et l’idée désormais totalement impossible à discuter que le socialisme national du siècle dernier a voulu l’extermination des juifs. La loi française impose de l’admettre, et dans les pays de langue et de culture allemandes, c’est pire encore : chacun est tenu de se sentir coupable et de se taire, quand bien même il saurait...

Je suis personnellement convaincu que les juifs ont manqué une occasion historique de se fondre parmi les peuples, avec les conséquences de la guerre. Seulement, ils ont voulu demeurer très majoritairement fidèles à leur intenable complexe de supériorité, proprement pathologique. Ils ont si bien su exploiter leur propre victimitude. Le juif Sarkozy n’est pour moi qu’un symptôme parmi tant d’autres, malgré tout ce qu’il fait subir aujourd’hui au peuple de France. Et c’est pour quand la révolution ? Je l’explique par la différence profonde de psychologie entre ashkénazes et sépharades. Les premiers seraient, il me semble, disposés à raser les murs, et à faire profil bas depuis la guerre. Je n’ignore pas pour ma part les agissements depuis la Suisse, alors pays neutre, d’un certain Riegner, personnellement à l’origine de la légende holocaustique. Les seconds ont plutôt la richesse ostentatoire, puisque n’étant en rien concernés par le dit holocauste. Quelques-uns des premiers se sont ralliés aux seconds. Le conformisme et l’ignorance ont indiscutablement fait le reste.

Saturday, April 26, 2008

La question des chambres à gaz, Jean-Marie Le Pen et tous les autres

La polémique sera désormais inévitablement et invariablement la même : d’un côté, quelques rares inconscients, esprits libres ou francs-tireurs, prêts ou non à assumer les risques de ces poursuites judiciaires aux conséquences devenues tout particulièrement lourdes et onéreuses que leurs propos ne manqueront plus jamais de leur attirer ; de l’autre, tant de si bien pensants, de convaincus d’avance, que ce soit par hérédité, par conformisme ou par irréflexion, et de plus en plus d’ignorants aussi, ou encore d’indifférents. Et il faut encore composer avec l’hypocrisie et la lâcheté de tous ceux qui savent, historiens de métier, derniers témoins non juifs et non liés à eux, ou seulement esprits informés et pourvus du minimum de sens critique, mais qui n’ont pas le courage de dire, qui préfèrent céder d’avance à la pression collective, éviter toute polémique, ou bien simplement laisser dire, par dépit. Il ne s’agit pas ici de prendre parti, mais d’inviter chacun à entreprendre cette démarche, si elle ne l’est déjà : qu’on commence seulement par douter, en s’efforçant de tenir à distance le moindre a priori ; et, dans le même temps, qu’on s’informe du détail en question, des questions d’ordre strictement technique, qu’on réfléchisse sérieusement quant aux conditions de la mise en œuvre effective du processus tout entier. Alors, il y a fort à parier que le doute, qui ne peut de toute manière porter que sur le total et/ou le moyen, fasse bientôt place à la conviction solide, étayée par de multiples arguments critiques. Le reste ne sera jamais que confrontation stérile entre sceptiques ou convaincus des deux bords, que tout ou presque oppose, sur fond de malentendu profond.

Quel malentendu ? Celui-là même que les récentes déclarations de Jean-Marie Le Pen viennent encore d’illustrer. Le vieux tribun nie en effet tout à la fois le moyen (la chambre à gaz), l’ampleur (le nombre désormais sacralisé des six millions de gazés) et l’intention exterminationniste depuis lors généralement imputée au socialisme national, désormais présenté à tous comme criminel par essence, et que chacun aurait le devoir de reconnaître ainsi. Cela devrait être objectivement le droit de quiconque, dans un régime qui se targue de respecter les libertés individuelles. Les réactions ne se font cependant pas attendre, parce que se tient derrière une certaine communauté tout particulièrement attentive au moindre dérapage public de cette sorte, et qu’il y a toujours des individus et des groupes désireux de faire plaisir aux puissants de ce monde, et qui se savent que se ranger à leurs côtés. Et c’est ainsi qu’on entend dire partout : Le Pen récidive ! Le Pen en rajoute encore à son négationnisme ! Le Pen a récemment franchi un degré supplémentaire en niant désormais jusqu’à l’existence des camps de concentration ! et autres imbécillités du même genre, qu’elles soient énoncées en toute sincérité, ou bien inspirées par la mauvaise foi la plus totale. Non ! De notre point de vue, tout cela doit désormais cesser. À l’attention des naïfs qui demeureraient encore, on se doute bien qu’il ne pourra jamais se concevoir un dialogue sincère, académique ou public, entre exterminationnistes, tenants de la thèse officielle en la matière, et révisionnistes ou négationnistes. Trop d’intérêts sont ici en jeu, que défendent Israël et les autres, installés dans un trop bien commode confort intellectuel, et les seconds sont à ce point discrédités par l’opinion, reconnus d’avance comme pénalement coupables, désignés à la vindicte populaire comme des criminels, qu’on les empêche invariablement de s’exprimer par tous les moyens.

Certaines vérités seraient cependant toujours bonnes à être rappelées. Il n’est évidemment pas vrai qu’on ait pu faire un usage systématique de la chambre à gaz et à une échelle industrielle dans les camps, au point que certains d’entre eux mériteraient d’être désignés sous cette expression devenue depuis très populaire de "camps de la mort". Parce que, non seulement la plupart des camps en étaient effectivement dépourvus, et contrairement aux allégations passées de certains "témoins", mais il existait encore à l’époque des chambres à gaz utilisées évidemment et exclusivement à des fins d’épouillage ; il faut aussi préciser que, comme l’a récemment rappelé Jean-Marie Le Pen, les déportés se trouvaient dans les camps pour y travailler surtout, même dans les plus grands d’entre eux, dont Auschwitz est devenu tout le symbole, qu’un certain nombre en sont revenus, que d’autres rescapés des camps y ont même été considérés comme disparus par erreur ! Il faut encore inlassablement répéter que d’autres camps ont été créés, toujours plus à l’Est, puis totalement absorbés ou bien anéantis lors de l’avance de l’Armée Rouge, que l’incertitude la plus grande subsiste encore aujourd’hui quant aux effectifs qui y étaient rassemblés, et jusqu’à l’orthographe exacte de leurs noms ! Il faut inlassablement expliquer encore et toujours que des femmes, même juives, accouchaient à Auschwitz, que les nouveaux-nés y disposaient d’un numéro matricule, et que la plupart ont même survécu à la guerre, au point qu’ils se réunissent régulièrement encore aujourd’hui en Israël ! Ceux-là n’auraient-ils pas dû en toute logique être tous exterminés ? Tout cela ne plaide décidément pas en faveur de la thèse conventionnellement admise de la chambre à gaz exterminatrice, il faut objectivement savoir le reconnaître. Quant au total habituellement admis des six millions de gazés, il conviendrait, non seulement de s’interroger quant à sa vraisemblance, mais aussi le mettre en rapport avec les nombres des victimes de la guerre qui relevaient de toutes autres catégories. Six millions, c’est presque le total des juifs de toute l’Europe à la fin du XIXème siècle : auraient-ils été soudainement si prolifiques en moins d’une cinquantaine d’années ? l’émigration juive vers la Palestine, vers les Amériques, l’URSS, l’Australie et la Nouvelle-Zélande même, aurait-elle été presque totalement inexistante avant 1945 ? Évidemment non ! Et quand bien même cinq à six millions de juifs seraient-ils disparus des circonstances de la guerre, comment sont-ils morts au juste ? Presque plus parmi eux tous de victimes de fusillades, d’exécutions sommaires ? de condamnés pour faits de résistance, d’insurrection armée, d’autres crimes ou délits encore ? Le nombre des victimes de maladies et d’épidémies diverses, des conséquences du travail forcé, de la sous-alimentation consécutive à la désorganisation des transports ferroviaires par suite des incessants bombardements alliés, serait-il devenu tout à fait négligeable ? Osons encore la question qui fâcherait invariablement : que sont objectivement cinq à six millions en comparaison de plus de 21 millions de Russes, plus de cinq millions de Polonais, et plus de sept millions de citoyens allemands ? Certaines victimes auraient-elles davantage d’importance que d’autres, au point que l’histoire de la seconde guerre mondiale devrait toujours être davantage réécrite à leur profit exclusif ?

Cela étant dit, se demander en toute objectivité et neutralité comment sont morts ces juifs exige qu’on s’efforce inlassablement de faire la part des choses : lesquels sont-ils morts, lesquels ont-ils survécu, et comment ? Les disparus sont-ils morts surtout par suite des circonstances de la guerre, des épidémies de typhus des derniers mois de la guerre, puis de l’évacuation à marches forcées des camps, ou bien autrement ? Les témoins de l’époque sont-ils tous totalement sincères, ou bien ne peut-il pas s’être glissé parmi eux toutes sortes de menteurs, d’exagérateurs, d’individus qui sont évidemment de parti-pris ? Peut-on produire une seule preuve incontestable d’une volonté exterminatrice qui concernerait de manière privilégiée les juifs, et qui serait encore aujourd’hui imputable au peuple allemand tout entier, ou bien une telle preuve est-elle impossible ? et pourquoi donc ? Le socialisme national du siècle dernier a-t-il voulu l’extermination massive des juifs, ou bien seulement leur émigration forcée, leur expulsion toujours plus à l’Est du continent européen à mesure que la glorieuse armée allemande s’enfonçait plus avant en territoire soviétique ? Telles sont les questions par lesquelles on doit bien passer, et d’autres encore.

En somme, de quoi Jean-Marie Le Pen s’est-il rendu coupable ? Bien entendu de ne pas se résoudre à admettre la thèse officielle, celle qui s’est trouvée progressivement élaborée au cours de la soixantaine écoulée à l’avantage toujours plus exclusif d’Israël. Celle qui conduit à la culpabilisation du peuple allemand tout entier, et pour l’éternité désormais. Osons dire quant à nous que l’Allemagne n’est pas née comme de rien en 1945, que le peuple allemand n’a pas non plus cessé d’exister en 1945. Ce sera sans doute déjà beaucoup trop pour les éternels ennemis de l’Allemagne éternelle. Osons encore présenter Adolf Hitler comme le plus grand homme d’État qu’ait engendré le XXème siècle, celui qui a bien su promouvoir en matière économique et sociale tant de solutions si bénéfiques au peuple allemand, et dont beaucoup mériteraient encore aujourd’hui d’être reprises dans la lutte indispensable contre le mondialisme, la paupérisation croissante et programmée des peuples, le mépris désormais ouvert des cultures, celui qui a su éveiller, et pour l’éternité désormais, la conscience raciale de tous les peuples de la terre, sans exception, et nous voilà à notre tour devenu criminel !

Friday, April 18, 2008

Le négro est mort

Eh bien ? Il faudrait maintenant l’enterrer au Panthéon ? Et en grandes pompes par-dessus le marché ? Avec Alberich présent en personne, alors même que la loi juive elle-même interdit depuis toujours l’entrée d’un juif dans une église ? Peut-être même avec sa nouvelle pute, la juive Carla Sarközy-Bruni ? Et puis quoi encore ??? JH quant à lui préconiserait plutôt la cheminée…

J’ai bien lu ici et ailleurs que ce nègre-là était un grand écrivain de langue française, et un authentique humaniste. Soit. Personnellement, moi qui n’ai encore jamais lu une seule ligne du négro en question – et pourtant, j’en ai lu, des livres ! par métier, par intérêt, par curiosité, et encore ! – , qui ai récemment appris que ce serait presque grâce à lui que tous les siens ne se seraient pas lancés en masse dans la guerre raciale – malheureusement encore à venir ! – contre les Aryens, je n’ai évidemment rien contre lui, par défaut d’information avant tout. Seulement, ce qui me gêne profondément, et j’espère avec moi tous les vrais Européens, c’est à quel point les youtres peuvent aujourd’hui l’idolâtrer. Ils en font désormais tout un symbole, le Sarkojuif en tête. Après le mulâtre Alexandre Dumas, le franc-mac gaulliste Félix Eboué, il faudrait maintenant l’ "hommage unanime de la nation" pour l’obscur poète "chantre de la négritude". Pourquoi ?

La réponse ne fait aucun doute, je crois. J’étais encore récemment à Paris. La différence entre la capitale de la France et n’importe quelle grande ville du Nord de l’Europe, Londres exceptée, peut-être encore, saute immédiatement aux yeux : des nègres, des nègres, des bougnoules, des crouilles, et toutes sortes de métis, en veux-tu, en voilà ! L’Aryen ne se sent même plus chez lui ! On rendrait à nouveau obligatoire le port de l’étoile jaune, et on n’aurait plus que ça autour de soi ! Et grâce à qui ???

Pendant ce temps, Sarkozy, lui, poursuit son programme de réformes, avec tous les siens. Après les enseignants (premier poste de dépenses de l’Etat), les juges, les flics, il s’attaque maintenant à l’armée et aux hôpitaux. Il veut même mettre un terme définitif au statut de fonctionnaire d’Etat, auquel aucun gouvernement jusqu’ici n’avait encore osé s’attaquer ! Il ne faudrait reculer devant aucun sacrifice, nous explique-t-on, et cela uniquement pour faire main basse sur tous les fonds de la nation au profit exclusif des youtres, et de tous leurs ralliés opportunistes, les commerçants enjuivés, les banquiers, les députés UMP, les riches retraités de la Côte d’Azur, et tous les autres bénéficiaires du si fameux bouclier fiscal ! Et il faudrait les laisser faire ?

Non, la France et l’Europe ne sont pas encore à vous ! Cessez donc de prendre vos désirs pour shekel comptant, et retirez vos griffes du pays ! Dehors, tous, avant qu’il ne soit trop tard pour vous ! Ne vous entêtez pas, votre règne est désormais fini !

Sunday, April 13, 2008

Réactions à propos de l'article "nazisme" de l'encyclopédie en ligne Wikipédia

Attention : au travers d’un article tel que celui-ci, c’est toute la crédibilité de l’entreprise Wikipédia qui risque d’être mise en cause. L’article est probablement l’un des plus consultés du web ; or, il n’est pas du tout neutre, comprend des erreurs matérielles, et même des fautes d’orthographe.

Dans l’ordre de la lecture :

- Dès les premières lignes : "et conduisant notamment à la
Shoah." On peut se demander quel besoin compulsionnel on peut avoir à lier ainsi, pour la postérité, une doctrine avec un événement historique, d’autant plus que "shoah" est un mot hébreu, que la majuscule ne se justifie pas, qu’on peut à bon droit lui préférer les termes "judéocide", "éradication des juifs d’Europe", ou autres équivalents. Faudrait-il dénoncer d’emblée la doctrine comme étant d’essence criminelle, et n’ayant jamais voulu dès l’origine que l’extermination par le gaz de 6 millions de juifs ? Cf. la querelle des historiens en Allemagne. Ce serait indiscutablement réviser l’histoire à l’avantage unique d’une certaine minorité tout particulièrement influente, pour vouloir à tout prix toujours mieux replacer au centre un événement qui ne s’est jamais déroulé qu’à la périphérie du système, et pour en accabler pour l’éternité le peuple allemand tout entier.

- "Pour Hitler, la
diplomatie ou la négociation ne sont que des leurres". Cette affirmation est totalement infondée, et les citations qui sont censées la corroborer sont peu probantes. Qu’on relise ou écoute la totalité de ses discours d’avant-guerre : Hitler n’a jamais voulu que la paix, et la coexistence pacifique de l’Allemagne avec les grandes nations d’Europe, pourvu qu’on la laisse libre de suivre son propre chemin. Jusqu’au bout, il a cru en une paix possible avec l’Angleterre. C’est là une réalité historique que personne ne peut nier. Et ce sont bien les démocraties occidentales, agitées de l’intérieur par le lobby juif, qui ont poussé à la guerre, en se refusant au moindre compromis avec l’Allemagne nazie.

- "Elle aboutit à pousser les applications de l'
eugénisme dans ses conséquences extrêmes, en particulier l'expérience des lebensborns, et surtout la Shoah." Les Lebensborn [rétablir ici la majuscule d’usage en allemand, et corriger la traduction du mot] n’avaient rien à voir avec de quelconques haras humains, contrairement à la légende répandue par les Hillel, Bernadac et autres amateurs de sensationnel, mais étaient simplement des orphelinats destinés aux sujets de bonne race. Il faut supprimer le lien sur le mot, et réécrire complètement l’article correspondant, ou le faire disparaître. Une œuvre de secours n’est pas une "expérience". C’est honteux de continuer à écrire des âneries comme celles-là, malgré tous les démentis apportés depuis, à la fois par les témoins et par les historiens. Quant à mettre sur le même plan une œuvre sociale et le judéocide, c’est la démarche même qui en devient très suspecte.

- "La plupart des scientifiques actuels dénoncent cette théorie raciste" : phrase à supprimer. Ils ne la dénoncent pas en tant que telle, ce qui serait d’un point de vue strictement scientifique impossible. Ils dénoncent simplement l’amalgame fait alors, en raison des connaissances insuffisantes de l’époque, notamment dans le domaine de la génétique des populations, entre les plans anthropologique, linguistique et historique. Ce n’est pas du tout la même chose !

- "En réalité, les critères, bien que restreints, étaient sensiblement plus larges (notamment au niveau des couleurs des yeux et des cheveux)." Source d’une telle affirmation ? Les nazis n’ont jamais nié l’existence d’une pluralité de races présentes sur le continent européen (et la réalité actuelle, par suite des métissages opérés depuis, n’a déjà plus rien à voir avec celle de l’époque). Hitler lui-même était bien un métis de race alpine, Goebbels un méditerranéen à peu près pur ! Ni l’un ni l’autre ne l’ont jamais nié. Dans la logique de la doctrine, l’individu n’importe pas, et seul le devenir de la race elle-même présente une quelconque importance.

- "entre 5 et 6 millions de Juifs (notamment, mais pas uniquement, à l'aide de
chambres à gaz)" : le total ici allégué est supérieur au nombre total des juifs disparus durant la seconde guerre mondiale. Il resterait encore à démontrer que la totalité des juifs disparus durant la guerre est à porter au compte d’une volonté d’extermination usant de "procédés systématiques", etc. Et la section "Négationnisme" de l’article "Chambre à gaz" est totalement biaisé, se faisant uniquement l’écho des légendes urbaines véhiculées par les juifs pour discréditer par avance la moindre objection critique.

- "… mais le fait que la politique nazie soit d'abord et essentiellement raciste et antisémite, et la décision en vue de l'élimination des Juifs et le recours, organisé de manière systématique, à un plan d'extermination" : quel rapport avec la doctrine elle-même ?

- "La planification et l'organisation systématiques, techniques sont une spécificité nazie, etc." : la phrase tout entière est à réécrire dans un français correct, si on tient absolument à la conserver.

- "… ayant tenté de fondé une nation arienne au Paraguay" : c’est du français correct ? J’écrirais à la rigueur "fonder" et "aryenne" !

Pour la section : "Les idées racistes développées antérieurement en Allemagne" : la plupart des auteurs mentionnés ne sont pas des Allemands.

Pour la section : "Voir aussi" : la plupart des textes mentionnés sont disponibles en ligne, et il faudrait créer des liens, et en ajouter bien d’autres encore. Je peux très bien les créer, à moins que vous ne les considériez tous comme "politiquement incorrects", comme on dit désormais chez les dominants et les si bien-pensants…