Tuesday, June 27, 2006

Le mariage d'Arcelor et de Mittal Steel

Une fois de plus, les intérêts des puissances d'argent l'ont emporté sur l'idée européenne. La Russie a pourtant une vocation naturelle à renforcer ses alliances sur le vieux continent. Elle devra désormais ignorer la volonté toute particulière des actionnaires de l'un des principaux groupes sidérurgiques européens. Un signe supplémentaire, s'il en fallait un, que la loi du profit maximal règne désormais sans partage partout dans notre vieille Europe.

Wednesday, June 21, 2006

Plaisanteries sur les blondes

Mes filles sont blondes. Et elles se plaignent effectivement de ces plaisanteries ineptes dont les blondes sont actuellement les cibles, lancées par les médias, bêtement répétées par tous les débiles qu’elles peuvent croiser. Pour ma part, je ne me fais aucune illusion : j'y vois une entreprise délibérément lancée par les youtres, les nègres, les bougnoules, les métèques, et tous ces métis bruns aux yeux marrons, complexés par leur infériorité, leur petite taille et leur médiocrité, qui se permettent de plaisanter au sujet d'un prétendu manque d'intelligence (qui n'existe que dans leur imagination !) des blondes.

Heureusement, je les rassure : vous êtes bien de dignes représentantes de la race aryenne, supérieure à toutes les autres. Des millénaires d’histoire sont là pour en témoigner. Ne vous arrêtez pas aux railleries de ces inférieurs : ils vous jalousent.

Vous, vous avez déjà une métisse qui présente régulièrement le journal télévisé sur France 3. Dès le mois prochain, vous aurez un négro sur le 20 heures de TF1. Les youtres contrôlent depuis longtemps toute l’information et tout le divertissement en France. Que vous faut-il de plus ?

Sur les prétendus wagons à gaz, encore

Patoultan continue à insister lourdement et grossièrement ainsi :

"Dans un procès, l'acte d'accusation et le texte du jugement sont deux choses fort différentes, l'un apparaissant au début, l'autre à la fin. Si vous ne savez pas faire la différence entre les deux, tant pis pour vous."

Et lorsque le texte même de la loi Fabius-Gayssot s'énonce comme suit :

"Seront punis des peines prévues par le sixième alinéa de l’article 24 ceux qui auront contesté, par un des moyens énoncés à l’article 23, l’existence d’un ou [de] plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945 et qui ont été commis soit par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l’article 9 dudit statut, soit par une personne reconnue coupable de tels crimes par une juridiction française ou internationale".

vous, vous prétendriez ne vous référer qu'au seul accord de Londres du 8 août 1945 stricto sensu indépendamment du texte du jugement lui-même, le premier n'introduisant rien d'autre qu'une simple définition notamment des "crimes contre l'Humanité" ? Dans ce cas, si jamais on me convoque un jour devant un tribunal pour avoir transgressé cette loi scélérate, je vous chargerai d'y soutenir une telle argumentation : le texte de l'accord de Londres n'a rien à voir avec le jugement, de même que "l'acte d'accusation et le texte du jugement sont deux choses fort différentes, etc." Je doute sérieusement que les juges puissent vous suivre !

Si vous êtes trop con pour comprendre vous-même qu'à l'intérieur de ce qu'on appelle ordinairement le texte du jugement du procès de Nuremberg figurent à la fois l'acte d'accusation et le jugement stricto sensu, alors c'est moi qui ne peux plus rien pour vous !

"C'est vous qui affirmez que cette phrase a été traduite comme ça en français. Si c'est vrai, ce fut une grossière erreur de traduction."

Et :

"Une éventuelle erreur de traduction en français - qui reste à démontrer - est toujours possible, bien que peu probable à mon avis."

Mais je vous ai posté le lien qui vous permet de le vérifier, de vos yeux mêmes ! Alors maintenant des traducteurs de métier auraient selon vous toujours commis une "grossière erreur de traduction" ?

"Ce que je trouve ridicule, en tout cas, c'est de croire que cette hypothétique erreur suffirait à remettre en cause l'existence même de ces camions."

Ce sont deux réalités avérées strictement indépendantes l'une de l'autre : ce que vous qualifiez d' "hypothétique erreur" est malheureusement pour vous un fait aisément vérifiable. Quant à cette légende juive des prétendues "chambres à gaz" sur pneus, je vous ai renvoyé à toute la littérature qui vous permet de vous convaincre vous-même de l'impossibilité de l' "existence même de ces camions", comme vous dites.

Vous, vous répétez sans rire les explications embrouillées de Nizkor

"Pas du tout, le paragraphe sur la traduction de "wagon" est de moi, il ne figure nulle part sur ce site. J'ai simplement utilisé un dictionnaire allemand-français et américain-français. Ceci dit, si des familiers de ces deux langues veulent me contredire, qu'ils ne se gênent surtout pas pour le faire."

Vous êtes d'une rare mauvaise foi ! Vous n'auriez donc jamais posté ceci : "The gas-van is a special product of the Third Reich, it is a van with a gas-tight cabin/container-box/superstructure mounted on its chassis/understructure used to kill people by the motor-exhausts led into that cabin. The designation was coined only later:
"Gaswagen [Gas-van] - that was the common word only afterwards/later". [1]
In the contemporaneous documents the designation doesn't arise. There the words Sonder-Wagen[2], Sonderfahrzeug[3], Spezialwagen[4] and S-Wagen[5] [Special van, special vehicle] are used. In a letter dating from April 11th 1942 with hindsight to camouflage the word Entlausungswagen [delousing-van] is used.[6]" ? Cette prose inepte ne provient-elle pas du site (juif, est-il utile de le préciser ?) de Nizkor ?

"2) "cette querelle sur le mot "wagon", qui n'a pas la même signification en français, est parfaitement grotesque" !"

"Je le maintiens, et il suffit d'avoir un dico - ou de connaître suffisamment l'américain et l'allemand - pour constater que "wagon" en américain et "wagen" en allemand peuvent être traduits autrement que par "wagon" en français."

D'où tenez-vous que je l'aurais nié ? Ai-je jamais prétendu le contraire ? Alors, je vous précise que :

1) l'allemand Gaswagen peut être traduit par : a) "voitures à gaz", "fourgons à gaz" : termes plutôt neutres ; b) "camions à gaz", "automobiles à gaz" : termes non retenus ; c) "wagons à gaz" : traduction effectivement délibérément choisie à Nuremberg par des professionnels qui connaissaient leur métier, et qui étaient tous d'accord entre eux sur cette même traduction
2) les traducteurs à Nuremberg étaient certainement suffisamment compétents pour ne pas commettre ce genre de "grossières erreurs de traduction" que vous leur attribuez
3) ne connaissant pas suffisamment moi-même l' "américain", je m'abstiens de juger de l'exactitude de la traduction de l'allemand Wagen par l'amerloque "wagons" (et pourquoi pas : "trucks", "vans", ou "cars" ?) : je laisse effectivement plus compétent que moi répondre à cette question : l' "américain" "wagons" constitue-t-il effectivement la traduction la mieux adaptée dans ce contexte pour l'allemand Wagen ? Et si les Amerloques n'ont pas traduit Wagen par "trucks" ou "cars", n'est-ce pas parce qu'ils avaient leurs raisons, exactement les mêmes que les Français pour traduire par "wagons" ?

"Vous insistez lourdement, juste pour ne pas reconnaître que vous avez fait l'erreur de confondre acte d'accusation et texte du jugement - ce qui prouve que vous ne vous êtes même pas donné la peine de vérifier ce que vous recopiez bêtement."

Vous prenez effectivement vos désirs pour shekel comptant ! Non, je ne recopie rien "bêtement", contrairement à ce que vous affirmez, exceptés ces copier-coller à vos propres messages, et je suis tout à fait disposé à reconnaître que je confonds "acte d'accusation" et "texte du jugement", s'il n'y a que cela qui puisse vous faire plaisir ! En réalité, vous ne faites que pinailler sur des "points de détails", comme dirait l'autre vieillard, de pure forme, pour éviter d'avoir à douter sur le fond ! Libre à vous d'imaginer, après tout, que vous m'auriez pris en défaut ! Cela changerait-il quoi que ce soit au fond ?

Pour ma part, je maintiens effectivement que la légende des "six millions" de juifs prétendument exterminés dans les chambres à gaz a été imaginée par les juifs eux-mêmes, afin d'extorquer toujours davantage d'argent et de matériels de guerre aux goyim d'Europe pour le profit d'Israël. Et c'est en tant que simple citoyen que je l'affirme, en rien "spécialiste" de quoi que ce soit ! Cela ne signifie-t-il pas que quiconque peut parvenir à cette même conviction, avec un minimum d'esprit critique ?

["Est-il vraiment utile d'ennuyer fr.soc.histoire avec votre propagande négationniste ?"]

Ce n'est pas là de la "propagande négationniste", tout au plus la dénonciation de quelques-unes des nombreuses invraisemblances qui émaillent encore la propagande holocaustique... Et pourtant : nos ennemis juifs n'ont-ils pas eu plus de soixante ans d'exercice des différents pouvoirs pour gommer et réviser sans le moindre scrupule les multiples contradictions qui subsisteraient encore dans la version convenue de l'histoire ? Il en reste pourtant assez pour que quiconque puisse se convaincre lui-même : non, tout cela n'est que mensonges et escroquerie !

Sur les prétendus wagons à gaz (suite)

Les défenseurs de la légende exterminationniste, se recopiant souvent les uns les autres, ne se donnent même pas la peine de vérifier leur information, laquelle est invariablement puisée aux mêmes sources. C'est en anglais le site http://www.nizkor.org, censé réfuter "définitivement" les arguments des révisionnistes, mais qui se borne à répéter constamment les mêmes idées reçues et prétendues vérités d'évidence. En français, les sites communautaristes de Gilles Karmasyn (http://www.phdn.org/negation/index.html) ou de Michel Fingerhut (http://www.anti-rev.org). Ce dernier personnage étant, selon toute vraisemblance, appointé directement par le Mossad pour faire à grands frais ce qui s’appelle de la désinformation, le genre qu’Israël affectionne.

En allemand, on lit effectivement dans l’acte d’accusation qui fait partie intégrante du texte du jugement de Nuremberg :

“Tausende von Juden wurden wöchentlich in Gaswagen vergast, die durch Überarbeit zusammenbrachen."
[Der Nürnberger Prozeß: Anklage, S. 102 ff.Digitale Bibliothek Band 20: Der Nürnberger Prozeß, S. 380 (vgl. NP Bd. 1, S. 72 ff.)]

Ce que les traducteurs professionnels et autres interprètes de métier qui intervenaient alors ont naturellement traduit en anglais comme vous dites, et en français comme suit :

"Des milliers de Juifs étaient gazés chaque semaine dans des wagons à gaz qui se détériorèrent à la suite d'une utilisation trop intense."

Vous, vous répétez sans rire les explications embrouillées de Nizkor qui voudraient que ces prétendus "wagons à gaz" (Gaswagen en allemand, gas wagons en anglais) aient été en réalité de tout aussi prétendus "camions à gaz" (c’est-à-dire en allemand plutôt des "camions spéciaux" : Sonderwagen, Sonderfahrzeug, Spezialwagen, ou S-Wagen, special trucks ou special vans en anglais). Ainsi, selon vous, des traducteurs de métier, collaborant de surcroît en permanence les uns avec les autres, n’auraient même pas été fichus de traduire correctement les termes Gaswagen et gas wagons en français, par "camions" ou "fourgons" à gaz ? ou bien qu’en lisant l’équivalent du terme "camions spéciaux" ils aient pu commettre une énorme bourde en passant totalement à côté du terme depuis consacré par la légende de "fourgons à gaz" ?

Il est amusant de faire remarquer que vous adoptez exactement vous-même ce procédé que vos petits camarades imputent aux révisionnistes : "... si on leur prouve [par exemple] que Himmler a utilisé le mot "ausrotten" (exterminer) à propos des juifs, ils répondent que "ausrotten" ne signifie pas réellement exterminer. Si on leur prouve que "ausrotten" est défini dans tous les dictionnaires allemands par le mot "exterminer" et que tous les germanophones le confirment, ils ignorent ces réponses et changent de sujet." Vous, vous dites très exactement : 1) Gaswagen ne signifie pas réellement "wagons à gaz" mais plutôt "camions spéciaux" ; 2) "cette querelle sur le mot "wagon", qui n'a pas la même signification en français, est parfaitement grotesque" ! Heureusement que le texte officiel de l’acte d’accusation faisant partie du jugement du procès de Nuremberg est bien là pour témoigner du contraire ! Voyez http://www.vho.org/aaargh/fran/nuremberg/tmiI/tmiI.html

Et aussi 3) "Pour le reste de votre post, on retrouve les arguments habituels des négationnistes, auxquels il a été maintes fois répondu." Ce que vous affirmez arbitrairement vous-même !

Sur la réalité de ces "camions spéciaux" devenus avec la légende exterminationniste de prétendues "chambres à gaz mobiles", vous pouvez toujours vous documenter sur ce site : http://www.vho.org/i/s/index.html. Suivez donc ce lien : http://vho.org/cgi-bin/perlfect/search/search.pl?p=1&lang=en&include=&exclude=&penalty=0&mode=all&q=Gaswagen. Vous aurez là bien de quoi vous documenter !

Et, tant que vous y êtes, à Treblinka, le prétendu moteur (diesel !) de sous-marin allégué pour servir au gazage des juifs, d’après la légende exterminationniste, qui se serait miraculeusement retrouvé en pleine campagne polonaise, ne serait plus un moteur de sous-marin, mais un moteur de camion, parce que les mots U-Boot et S-Wagen auraient sans doute été pris l’un pour l’autre ? Songeriez-vous à prendre la relève de Raymond Devos ?

Ces prétendues objections de la part de notre contradicteur seraient ainsi parfaitement risibles s’il n’y avait pas en France cette loi Fabius-Gayssot, laquelle muselle tout exercice de la liberté d’expression et du droit élémentaire de regard critique sur ces questions, tout en entérinant définitivement toutes ces âneries proférées à Nuremberg au bénéfice des bourreaux du peuple allemand. Voir le petit livre de l’avocat Eric Delcroix : http://www.vho.org/aaargh/fran/livres/EDpolpen.pdf. Il faut bien évidemment passer par un proxy étranger pour contourner la censure !

Tuesday, June 20, 2006

Auschwitz pour l'éternité

Le débat en cours aujourd’hui, je l’avais déjà lancé par le passé, notamment sur un forum communautariste juif, celui de col.fr. Je souhaitais vérifier que les réactions étaient bien telles que je les prévoyais. Je ne m’étais pas trompé. Voici un extrait de ce que j’écrivais alors :

"Pour une fois que nous sommes de votre avis, nous n'allons pas nous priver de vous le dire : elle est effectivement très bien, ta petite histoire juive, sellier43. Probablement parce que tout à fait caractéristique de l'esprit juif : les faits sont irrécusables, on ne peut les nier ("et tellement vrai...", précise romananas), alors on s'efforce de les neutraliser en recourant à toutes les ressources de l'art du conteur. On exagère à tel point que ça en devient grotesque. On porte sur eux un tout autre regard que celui de l'homme informé et qui s'efforce de raisonner : un regard enfantin, des plus naïfs, spontanés. On s'efforce de désamorcer par le moyen du légendaire humour juif, fondé surtout sur l'auto-dérision. On cherche à retourner et à détourner les faits à son propre avantage (voyez par exemple la référence que vous n'hésitez pas à introduire vous-même ici au thème antisémite du "meurtre rituel"). On noie le vrai sous un tel déluge de mensonges que les mensonges eux-mêmes finissent par passer pour de la poésie...

Les faits sont bel et bien là, et ils sont têtus : dans les médias regardés comme les plus dignes de confiance, on excelle à ressasser continuellement les prétendus malheurs des juifs, à commencer par le plus grand de tous, LE crime, imprescriptible pour l'éternité, celui qui restera à jamais inégalé, et dont la seule invocation du nom serait censée faire trembler d'effroi toutes les générations à venir, jusqu'à la fin des temps : Auschwitz. Du moins, c'est ce que vous voudriez. Et ainsi, il ne se passe pas de semaine sans qu'on lise au moins une fois dans le Monde, dans le Nouvel Observateur, ou bien dans le Figaro : Auschwitz. On y parle continuellement aussi d’une prétendue montée de l’antisémitisme. C'est "la nouvelle judéophobie planétaire", "le nouvel antijudaïsme" ou "le nouvel antisionisme" (c'est au choix !). On ouvre largement ses colonnes (avec la plus grande complaisance, et sans la moindre pudeur) aux Taguieff, Finkielkraut, Lanzmann, à leurs continuelles jérémiades (mot dérivé du nom du prophète biblique) et à leurs thèses délirantes. Par ailleurs, vous ne cessez jamais de vous apitoyer sur votre propre sort. Vous imputez continuellement aux autres les causes de vos propres malheurs : vous êtes méprisés, haïs, on use de violence contre vous, on tente de vous exterminer,... c'est toujours la faute des autres, qui seraient profondément racistes, intolérants, ou seulement insuffisamment ouverts à l'universalité de l'humain, valeur dont vous seriez les seuls et uniques dépositaires... Ce n'est jamais votre faute. Vous refusez obstinément de vous regarder vous-mêmes comme coupables, par vos propres agissements et votre mentalité propre, de la situation qu'on vous a faite.

C'est ici qu'interviennent vos conteurs : les juifs sont aussi innocents que les tout petits enfants de Yahvé, ils sont faibles, chétifs, alors ce ne peut être qu'à tort que leurs ennemis les voient puissants, rusés... Ils étaient hier persécutés, alors demain ils seront vengés. La terre d'Israël n'était plus (à ce qu'ils prétendent !) qu'un désert caillouteux, elle serait redevenue (prétendument) une contrée radieuse, et la Terre promise par Yahvé à ses (tout petits) enfants... L'actuel conteur en chef juif, c'est probablement Elie Wiesel, celui qui prétend qu'après le massacre de Babbi Yar, la terre aurait continué à trembler durant des semaines, ne pouvant digérer le sang de toutes les victimes innocentes, qu'on voyait encore longtemps après le massacre des geysers de sang s'ouvrir... Ou bien qu'à Auschwitz, on précipitait des bébés vivants dans les flammes... ("oui, je l'ai vu, de mes propres yeux, vu, aussi vrai que je vous parle..." : tous les artifices du conteur sont ici réunis, remarquez bien). D'autres s'essayent eux aussi au même genre : "j'ai passé trois ans dans une chambre à gaz", soutient l'un, "pas trois mois, trois ans dans l'horreur, sans jamais voir la lumière", "il n'y a plus rien pour prouver mes dires, les nazis ont détruit tous les preuves", affirme une autre...

Ensuite, et dès l’immédiate après-guerre, sont venus les révisionnistes. Eux entendent dénoncer les trop belles histoires des conteurs juifs. Trop belles, parce que, à force d'être ressassées, elles ont fini par conforter le juif dans le rôle tant désiré, celui de la (pure) victime innocente, du bouc émissaire, éternellement persécuté parmi les nations. Eux examinent les faits, froidement, rationnellement. Ils posent des questions pertinentes : par exemple est-il techniquement possible de tuer au moyen des gaz d'échappement d'un moteur diesel ? ou bien : de quelle manière évacuait-on le zyklon qui persistait dans une chambre de gazage après chaque "action spéciale" ? Ou encore : pourquoi ne pas avoir éliminé directement dans les chambres de gazage tous les nouveaux-nés dont les juives pouvaient accoucher, mais les avoir tout au contraire inscrits au nombre des détenus, avec la mention : "né(e) à Auschwitz" (Az. geboren) ? Alors, vous voulez les censurer, leur interdire de parler. Vous les persécutez, les criminalisez. Ils ne respecteraient même pas la mémoire des morts... Tout dialogue avec eux serait impossible, ce serait (de votre point de vue) comme si on prétendait dialoguer avec des illuminés qui croiraient encore que la terre est plate, affirmez-vous. Seulement, les révisionnistes, eux, ne racontent pas des histoires. Ils décomptent les victimes, calculent des capacités, mesurent, estiment...

Vous, alors, par réaction, vous faites feu de tout bois : "ce n'est pas ce que je disais !" ; "j'exagérais moi-même, mais c'était précisément pour caricaturer leurs propos à eux, pour en faire ressortir tout le ridicule". Et vient le temps de la chasse aux sorcières, des procès faits à tout le monde, aux éditeurs, aux traducteurs, aux journalistes même... Tous ceux qui pourraient prendre leurs distances par rapport à votre version de l'histoire du XXe siècle : le chiffre des six millions de victimes est un chiffre sacré, qu'on ne saurait réviser à la baisse (ben évidemment ! c'est celui qui fonde le niveau des indemnités versées après-guerre aux juifs !), les Allemands sont tous coupables, suprêmement coupables, et pour l'éternité, le crime est trop grand, exceptionnel : c'est le surgissement monstrueux, incompréhensible, dites-vous, de la pire barbarie, en plein XXe siècle...

Non. C'est bien alors la raison qui triomphe, sur la non logique des conteurs. Soit cette engeance, les juifs, partout indésirables, voulant partout cependant faire prévaloir leurs seuls intérêts, leurs propres valeurs, et la seule loi du profit matériel. Vivant partout en parasites. Incapables de produire, de créer. Détournant partout et toujours à leur profit les faiblesses des individus et des peuples... Les confiner en certains lieux, ça ne marche pas : la misère, la maladie finissent par déborder des ghettos, et entraînent même de la compassion en leur faveur. Leur rendre leur "terre promise" ? C'est la terre de Palestine, laquelle n'appartient désormais qu'aux Arabes. Envisager leur réimplantation dans une contrée lointaine (par exemple le Birobidizhan de Staline ? voir http://www.swarthmore.edu/Home/News/biro/index2.html ) ? Trop loin, impossible à mettre en oeuvre. Alors, que reste-t-il, sinon la cheminée ?

"Sie müssen hart sein", sagte der Reichführer S.S. Himmler seinen Untergebenen (ich nenne das des Gedächtnisses). Nicht sie dem Mitleid zu überlassen. Sonst jüdische wird in der Zukunft ihre Revanche nehmen. Und das wird dann das Ende von Deutschland sein.

Seulement, qu'on se félicite d'une solution aussi rationnelle à la question juive ou bien qu'on s'en attriste, on oublie souvent au passage combien le peuple allemand a lui aussi souffert. Combien de victimes civiles, des bombardements anglo-américains durant la guerre, des massacres perpétrés à l'est après la guerre ? Et que si on voulait bien seulement tenir compte des registres allemands des morts d'Auschwitz, où ceux-là sont aussi méticuleusement consignés que les naissances, on s'apercevrait que les seuls bombardements de Dresde ont été bien plus criminels que tous les crématoires en service alors. Et ne parlons pas des bombardements qui ont suivi encore, qui se déroulaient encore il y a peu sur l'Irak...

Il paraît qu'il vous est incompréhensible qu'une nation aussi éclairée que l'Allemagne ait pu engendrer Auschwitz. Il n'y a pour moi aucune rupture entre l'Allemagne éternelle et Auschwitz.

JH.

Voici la petite histoire juive en question, récupérée après coup :

"Selbsthaastelé, [il me prend pour un juif ou quoi ?]

je vais te raconter une vieille histoire juive, disons des années 80, mais tu ne devais pas être né. [il se trompe, bien sûr, et je suis probablement bien plus âgé que lui]

C'est Moïchelé qui est assis sur un banc aux Buttes-Chaumont par un beau dimanche matin d'été, et il lit des journaux, des magazines, des bouquins en écoutant les oiseaux chanter, et sous l'ombre des arbres.

Et qu'est-ce qu'il lit Moïchelé? Il lit "Présent", il lit "National-Hebdo", il a récupéré les ouvrages négationnistes de la Vieille Taupe, les oeuvres de Faurisson, de Thion, et les publications de tous les conventicules antisémites.

Arrive son vieil ami Yankelé, qui s'assied à côté de lui ; mais quand il voit ce que lit Moïchelé, il pousse un cri d'horreur:

- Moïchelé! Moïchelé! Comment peux-tu lire de pareils torchons! Toi, un bon juif! Pourquoi ne lis-tu pas comme tout le monde "Le Monde", "Le Figaro", "L'Express", "Le Point" ou "Le Nouvel Observateur"?

- Mais Yankelé, qu'est-ce qu'il y a dans tes journaux? Il y a que les Juifs d'Union Soviétique ne peuvent pas sortir, il y a la deuxième guerre mondiale, l'occupation nazie, la destruction de nos familles et de nos communautés, il y a les spoliations, il y a les persécutions des Juifs dans les pays arabes... c'est triste, tout ça, Yankelé! Alors que tu vois, dans mes journaux, je lis que nos familles n'ont pas été décimées, je lis que nous contrôlons la banque, le commerce international et les media, je lis que c'est nous qui faisons la politique de tous les pays occidentaux. Alors, tu vois tes journaux ils me dépriment, et les miens, ils me remontent le moral.

Chabbat chalom, Selbsthaastelé!" [et en plus il me souhaite un bon Shabbat, tout comme s'il s'adressait à un autre juif !]

Toutes ces discussions ont depuis été censurées par les juifs. C’est la raison pour laquelle je les évoque à nouveau ici...

Des prétendus wagons à gaz...

"Je doute qu'un rescapé juif eut été assez idiot que pour affirmer une chose pareille. Votre judéophobie vous égare !"

Voici ce qu'on lit pourtant dans le texte même du jugement du procès de Nuremberg : "Des milliers de Juifs étaient gazés chaque semaine dans des wagons à gaz qui se détériorèrent à la suite d'une utilisation trop intense." On lit bien textuellement "wagons à gaz", non ? Toute la difficulté, c’est bien qu’à Nuremberg les juges ont entériné toutes sortes d’âneries et de mensonges éhontés de la part d’individus, parmi lesquels certains pouvaient être sincères, d’autres certainement pas. En voici par exemple deux autres :

a) "(...) le 14 décembre 1945, le gouvernement polonais remit au Tribunal de Nuremberg un document dans lequel on pouvait lire : "Toutes les victimes devaient ôter leurs vêtements et leurs chaussures, qui étaient ensuite rassemblés, avant que les victimes, femmes et enfants d’abord, ne fussent poussées dans les chambres de la mort. (...) Une fois les chambres complètement remplies, elles étaient hermétiquement fermées, et on injectait alors la vapeur. (...) A partir des rapports qui nous sont parvenus, nous pouvons estimer que plusieurs centaines de milliers de Juifs ont été exterminés de la sorte à Treblinka."

Donc à Treblinka, on ne gazait pas au moyen de zyklon, mais probablement en utilisant une décolleuse à papiers peints...

b) En février 1946, Samuel Rajzmann, juif polonais, déclarait à Nuremberg qu’il y avait eu à Treblinka "au total treize chambres à gaz destinées à la mise à mort d’êtres humains."

Excusez-le pour le peu !

Nos camarades suisses de Vérité et Justice rappelaient à cet égard dans le bulletin de leur association la diversité des procédés d’exécution attestés dans les camps, par exemple pour ce même camp de Treblinka :

"Méthodes d’exécution :

- asphyxie par vide d’air provoqué dans des chambres ad hoc (Vassili Grossman) ;
- ébouillantement par la vapeur (Document PS-3311 du Tribunal de Nuremberg) ;
- balle dans la nuque sur un tapis roulant (Le Livre Noir du Congrès juif mondial) ;
- gaz d’échappement d’un moteur Diesel (Encyclopédie de l’Holocauste)."

ou pour Auschwitz :

"Méthodes d’exécution :
- des bains électriques, un marteau pneumatique, un canon pneumatique, des gaz de combat (communiqués du mouvement de la résistance polonaise 1942/1943) ;
- une poudre blanche (Kitty Hart) ;
- un tapis roulant électrique (la Pravda, 2 février 1945) ;
- des tampons d’ouate imbibés d’acide prussique (Kurt Gerstein) ;
- crémation de corps encore en vie dans des fosses (Elie Wiesel) ;
- crémation de corps encore en vie dans des fours, où des wagons déversaient les victimes (E. Aroneanu) ;
- du Zyklon B (la variante dominante à partir du printemps 1945)."

2) Pour ce qui est des chiffres maintenant, il s’agit d’une simple question de proportions. Si vous admettez que la seconde guerre mondiale (provoquée par qui au juste ?) a fait au total 72 millions de victimes, et qu’il n’y avait en tout et pour tout que neuf millions de juifs au plus dans toute l’Europe, onze millions d’après le Protocole de la Conférence de Wannsee, mais en incluant l’URSS et la Turquie, qu’en 1933 l’Allemagne comptait seulement 520.000 juifs, et que 170.000 d’entre eux avaient déjà émigré entre 1933 et 1938 (source : Hilberg), de même qu’un grand nombre de juifs autrichiens, polonais, hongrois, roumains, etc., où les trouvez-vous, vos six millions, ou même seulement cinq millions de juifs prétendument exterminés dans les camps ? Pour arriver à un tel chiffre, il vous faut bien additionner des victimes labellisées "juives" sans plus vous préoccuper des causes réelles de leur disparition, ou bien procéder à des reconstitutions de nature démographique pour le moins hasardeuses.

Maintenant, il vous reste simplement à admettre que :
a) six millions sur neuf millions, c’est effectivement un génocide ; en revanche, quelques centaines de milliers, ou même un million ou un million et demi sur 72 millions, ce sont des victimes de la guerre, au même titre que les dizaines de millions d’Allemands ou de Russes disparus alors, et qui n’ont droit à aucun statut d’exception plus de soixante ans après : pourquoi cette guerre, à la différence de toutes les autres, devrait-elle demeurer et pour l’éternité "shoah-centrée" ? C’est bien là la question essentielle !
b) il y a une importante différence à faire entre des juifs morts en raison des circonstances de la guerre (par exemple arrêtés et fusillés pour des actes de résistance, ou, plus massivement, morts de maladies et de privations dans les ghettos ou des camps de détention), et des juifs prétendument exterminés en masse dans des mythiques chambres à gaz
c) il y a une autre différence importante entre des victimes juives nominativement recensées (par exemple les registres des morts juifs à Auschwitz existent bien, et sont devenus accessibles depuis la guerre) et des totaux allégués parce que reconstitués avec un plus ou moins grand souci de l’exactitude, et des précautions critiques plus ou moins importantes.

Le reste, cela s’appelle procéder à des amalgames, de même que celui qui est trop souvent fait entre fours crématoires et chambres à gaz...

3) Les témoins ? Il y a bien entendu des témoins, juifs et non juifs, des conditions de détention dans les camps ; il y a eu des témoins aussi pour attester de la réalité des chambres à gaz : il fallait bien de telles installations par exemple à Auschwitz pour désinfecter les masses de vêtements et d’effets personnels alors en provenance de toute l’Europe ; il y a encore des témoins pour attester de la réalité des installations de crémation aussi (mais quel rapport avec les chambres à gaz ?), puisqu’il fallait bien faire disparaître les cadavres... mais curieusement, les témoins des "actions spéciales" (c’est-à-dire des prétendues opérations de gazage) sont beaucoup plus rares... Pourquoi ? Parce que "les nazis" auraient prétendument "détruit toutes les preuves et éliminé tous les témoins" ? ou bien plutôt parce que ce sont des menteurs ? Pourquoi ces témoins-là ayant eux-mêmes survécu sont-ils tous juifs, "comme par hasard" ? Pourquoi aucun survivant Polonais ou Russe, comme à Nuremberg, en tant que témoin direct d’une "action spéciale" ? Et pourquoi surtout ces témoins-là se sont-ils tus durant toutes les années d’après-guerre pour ne se déclarer qu’à une date relativement tardive ? De tels témoins vous paraissent-ils suffisamment dignes de confiance ? Ou bien ne s’agirait-il pas plutôt pour vous d’admettre par avance leur bonne foi, sans la moindre distance critique, parce que ce qu’ils prétendent serait si conforme à l’imagerie de l’holocauste des juifs ?!

On écartera bien entendu les témoins de l’autre camp. Quel crédit accorder en effet aux confessions de Hoess ou de Gerstein, dès lors qu’on n’ignore pas dans quelles circonstances elles ont été rédigées ? Pour ne rien dire de ces autres prétendus témoins directs, qui ne se seraient déclarés eux aussi que très tardivement, seulement durant ces quinze ou vingt dernières années, et dont les témoignages ne peuvent être authentifiés par personne ! N’était-ce pas plutôt parce que la controverse sur les chambres à gaz était déjà lancée, et que certains n’hésitent pas même à produire de faux témoignages au soutien de leur croyance ?

Pour le moment, je n’ai relevé que trois catégories d’intervenants :
a) des personnes manifestement non informées, parfois même de leur propre aveu, qui se bornent à répéter ce qu’elles ont entendu dire, sans la moindre distance critique
b) des frileux ou des timorés, qui se refuseraient par avance à admettre qu’il puisse subsister le moindre doute en la matière, ou qui se la jouent ainsi
c) des malhonnêtes, avec probablement parmi eux des juifs, qui sont disposés à accepter n’importe quel mensonge du moment qu’il sert la cause d’Israël, de manière tout à fait abusive identifiée à celle du prétendu Bien !

Monday, June 19, 2006

Sur les prétendues "preuves" de la "shoah"

"Malheureusement pour les Nazes, il se trouve que la Shoah est arrivée dans un contexte moderne. C'est-à-dire que les preuves sont légion, en dépit de ce que prétendent les négationnistes...

Comme par exemple
- des appels d'offre pour du Zyklon B en quantité surprenante
- des devis de construction pour des fours crématoires
- des caisses remplies d'artefacts suspects...
- des témoignages, surtout (pas uniquement des victimes, des SS. Les SS des camps ont ADMIS l'Holocauste. Eichman, Hoss...)"

Malheureusement pour vous, je peux encore vous répondre point par point :
1) les livraisons de Zyklon B les plus importantes coïncident "comme par hasard" avec les pics des épidémies de typhus dans les camps. Je vous invite à le vérifier ; et les "quantités surprenantes" que vous alléguez peuvent aisément s’expliquer par la médiocre qualité de la production de guerre, à des fins de désinfection bien sûr !
2) quel rapport entre les fours crématoires et les mythiques chambres à gaz ? n’avait-on pas besoin de faire disparaître de manière hygiénique les cadavres des nombreux disparus de mort naturelle ? et si vous tenez tant à faire tenir vos mythiques chambres à gaz dans les mêmes locaux, vous devrez encore expliquer comment cela aurait été techniquement possible
3) qu’entendez-vous au juste par "artefacts suspects" ? les fameuses montures de lunettes ou bien chaussures orthopédiques présentées aux touristes encore aujourd’hui à Auschwitz ? qu’est-ce que cela prouve, sinon que de nombreux disparus étaient myopes, ou bien encore handicapés ? et en quoi cela porterait-il témoignage de la CAUSE réelle de la disparition de ceux-là ?
4) des témoignages surtout... comme vous dites ! Ceux des SS sont selon toute vraisemblance, ou bien purement imaginaires (c’est le cas lorsqu’on ne peut plus prouver après coup la présence d’un tel par exemple à Auschwitz entre telle date et telle date...), ou bien extorqués sous la torture (cas de Rudolf Hoess, pour ne rien dire de ceux de Heinrich Himmler en personne, dont on sait désormais, depuis les aveux de son ancien bourreau, qu’il a été empoisonné par les Anglais), ou encore livrés sous la pression et le vain espoir d’une indulgence de la part des juges et bourreaux alliés.

"Évidemment, le chiffre [de] six millions n'est pas très précis, les Nazes ayant tellement massacré qu'on ne peut avoir une idée exacte du nombre de morts."

Je ne vous le fais pas dire ! Est-ce à dire qu’il soit pour autant désormais et pour l’éternité interdit d’admettre que ce chiffre puisse être contesté ?

Le mythe des six millions de gazés juifs

[fr.soc.politique, fr.soc.complots]

Je vais lancer probablement pour vous une fois encore le même pavé dans la mare. Depuis des années en effet, j’ai pu lire ou consulter à peu près toute la littérature disponible sur la question, sans compter quelques-uns des ouvrages non encore traduits en français, mais disponibles en anglais et en allemand, visionner un grand nombre de documentaires disponibles, écouter un certain nombre de témoignages audio. Chacun pourra se former la même conviction : avec cette double invocation constamment ressassée des six millions de juifs prétendument disparus dans les camps d’extermination et de chambres à gaz prétendument exterminatrices, on se trouve selon toute vraisemblance en présence de l’escroquerie juive la plus gigantesque de tous les temps. D’abord, parce qu’il est strictement impossible que six millions de juifs aient pu disparaître dans ces conditions :
1) en raison de l’impossibilité de déterminer rétrospectivement un tel nombre avec suffisamment de précision
2) parce que le chiffre sacré des six millions ne peut être obtenu a) qu’en mélangeant les causes de décès les plus diverses, tout autant accidentelles que prétendument criminelles, dues autant aux circonstances de la guerre qu’au statut particulier des juifs durant la période b) ou bien qu’à partir de projections démographiques particulièrement contestables, supposant des taux de natalité et de fécondité par juive, non seulement demeurés constants, mais excessivement élevés pour la période
3) parce qu’il faudrait, pour parvenir à un tel chiffre, supposer que l’émigration juive en provenance de l’Europe et à destination des USA, de l’ex-URSS, jusqu’à la Nouvelle Zélande ou la Chine, ait été à peu près nulle durant les douze ans seulement d’exercice du pouvoir par le national-socialisme, et même durant toute la décennie précédente, alors que nous avons quantité de preuves du contraire
4) parce qu’un grand nombre de prétendus exterminés juifs ont été vraisemblablement comptabilisées DEUX fois, comme prétendument citoyens du pays à partir duquel ils ont été déportés ET ressortissants de leur pays d’origine ou dont ils détenaient alors la nationalité ; le cas des prétendus juifs "français" déportés de France, et très majoritairement de nationalité étrangère, est là pour en témoigner
5) parce que toutes ces listes de noms confectionnées après coup ne sont basées pour beaucoup que sur des témoignages parfois fort douteux, sont souvent redondantes, voire comportent des noms manifestement inventés, de personnes dont l’ascendance alléguée comporte des contradictions évidentes, ou est impossible, et qu’elles donnent toutes de surcroît un total de victimes bien inférieur au chiffre prétendument sacré des six millions
6) parce qu’aucune preuve n’a jamais été apportée d’une intention exterminatrice d’une telle ampleur, et qu’on dispose tout au contraire de multiples déclarations émanant des dirigeants nationaux-socialistes eux-mêmes, lesquelles témoignent sans contestation possible que la volonté de l’Allemagne d’alors était d’organiser une émigration des juifs hors d’Europe.

Ensuite, parce que la réalité ordinairement alléguée des prétendues chambres à gaz exterminatrices ne repose que sur les seuls témoignages des déportés, lesquels ont très bien pu avoir été abusés, ou bien mentir par intérêt, sur injonction d’Israël, ou par solidarité avec leur communauté d’appartenance, ou encore avec d’autres prétendues victimes. Ceux produits à Nuremberg durant les diverses audiences sont souvent parfaitement contestables : peut-on par exemple établir actuellement la réalité d’un seul de ces wagons de chemin de fer prétendument transformés en chambre à gaz, dont l’existence a pourtant été affirmée par le texte final du jugement ? De prétendus disparus dans les camps sont finalement revenus de déportation. Il y a trop de survivants, d’enfants mêmes nés dans les camps, pour que cette vieille légende juive soit vraisemblable. Les témoignages afférents aux prétendues chambres à gaz se heurtent souvent à quantité d’invraisemblances ou d’impossibilités sur un plan strictement technique. Les chambres à gaz d’Auschwitz encore aujourd’hui présentées aux visiteurs non informés ne sont que des reconstitutions largement postérieures, le camp ayant été laissé désaffecté durant une longue période, avant qu’on ait songé à son exploitation à des fins touristiques. Quantité de témoins juifs ont manifestement exagéré, ont voulu surenchérir dans l’horreur les uns sur les autres, jusqu’à l’invraisemblance la plus complète, lorsque les témoignages n’ont pas été artificiellement reconstitués bien postérieurement aux faits allégués.

Aussi, je vous lance à tous ce double défi :
1) établir sans contestation possible que la recherche historique est libre en France sur la période en question, en dépit de la loi Fabius-Gayssot, laquelle ne fait qu’entériner ces pseudo vérités prétendument incontestables établies il y a maintenant plus de soixante ans à Nuremberg, ignorant les progrès des recherches accomplis depuis lors, portant tout autant sur les chiffres que sur les moyens ordinairement allégués
2) apporter ici une seule preuve réellement incontestable que six millions de juifs sont bien morts exterminés dans les camps, et non pas cinq millions, ou encore beaucoup moins, ou qu’ils l’ont été majoritairement dans des chambres à gaz exterminatrices, et non pas simplement du typhus ou d’autres causes encore, ou tout aussi bien que des chambres à gaz réellement exterminatrices, et non pas servant simplement par exemple à des fins d’épouillage, ont pu réellement être opérationnelles quelque part durant la période.

Je suis par avance persuadé que vous refuserez d’engager toute espèce de dialogue avec l’ "antisémite" que je serais, ou que vous n’aurez aucune argumentation tant soit peu rationnelle à m’opposer. Maintenant, c’est à vous de me démontrer le contraire...

Appel à la tolérance

Votre angélisme mérite effectivement d'être critiqué : à l'heure où les communautarismes et autres particularismes se déchirent les uns les autres, se divisent toujours davantage, et prennent une forme toujours plus agressive, votre appel à la tolérance paraît bien naïf ! Vous n'obtiendrez jamais que des youpins, des négros, des bougnoules, des cathos bigots et des islamistes, des trotskards et des frontistes, et même à l'heure actuelle des dégénérées féministes, des pédales et des gouines, que tout ce beau monde puisse accepter de vivre ensemble, sans des tensions toujours plus exacerbées. Regardez un peu ce qui se passe autour de vous ! Vous avez par exemple des youtres toujours plus prompts à dénoncer le prétendu "nouvel antisémitisme" de négrillons de banlieue, pendant que ces derniers, redécouvrant leur négritude, osent de plus en plus dénoncer qu’Israël puisse avoir toutes les places ! On serait au premier abord tenté de s’en amuser, si une telle situation ne préludait pas en réalité à un type de société, non seulement multiraciale, mais totalement indifférenciée, sous la domination sans partage de l’économie, et par suite de la seule loi du profit à court terme, dépourvue de toute vision d’avenir, traversée par toutes sortes de tensions et de conflits. Une société semblable à celle des USA en somme, dans laquelle seuls les youpins peuvent trouver leur compte...

Ralliez-vous plutôt à notre combat, pour une Europe blanche, aryenne, pure, saine. Une Europe unie, de Reykjavík à Vladivostok, demain alliée à l’Iran, à la Chine peut-être. Une Europe restée fidèle à ses racines historiques, comme sur le plan des croyances, qui maintiendrait l’équilibre entre ses trois composantes, païenne, chrétienne, et athée. Une Europe enfin pourvue d’une réelle perspective d’avenir.

Friday, June 16, 2006

Retraites

Subject: RETRAITES : Juste pour le plaisir de le savoir...
Date: Thu, 15 Jun 2006 20:54:36 +0200
From: "Kawacatoose Dildine"

"DUREE DE COTISATION
Privé : 40 ans jusqu'en 2008 puis 42 ans
Fonctionnaires : 38,5 en 2005 puis 40 ans en 2008
EDF-GDF : 37,5 ans
SNCF : 37,5 ans
RATP : 37,5 ans

AGE MOYEN DE DEPART EN RETRAITE
Privé : 61 ans et 9 mois
Fonctionnaires : 57 ans et 9 mois
EDF-GDF : 55 ans et 5 mois
SNCF : 55 ans et 1 mois
RATP : 54 ans et 3 mois

TAUX DE COTISATION EMPLOYE
Privé : 10,35 à 10,55% du salaire
Fonctionnaires : 7,85% du salaire et d'une fraction des primes
EDF-GDF : 7,85% du salaire hors prime
SNCF : 7,85% du salaire hors prime
RATP : 7,85% du salaire hors prime

BASE DE CALCUL
Privé : 25 meilleures années en 2008
Fonctionnaires : 6 derniers mois
EDF-GDF : LE dernier mois
SNCF : 6 derniers mois
RATP : 6 derniers mois

REVALORISATION
Privé : Evolution des prix depuis 1993
Fonctionnaires : Evolution des prix depuis 2004
EDF-GDF : Evolution des salaires dans l'entreprise
SNCF : Evolution des salaires dans l'entreprise
RATP : Evolution des salaires dans l'entreprise

DECOTE PAR ANNEE MANQUANTE
Privé : 10% en 2005
Fonctionnaires : 0,6% en 2006 - 3% en 2012 - 6% en 2015
EDF-GDF : aucune
SNCF : aucune
RATP : aucune

CUMUL EMPLOI-RETRAITE
Privé : Restrictif
Fonctionnaires : Libre
EDF-GDF : Libre
SNCF : Libre
RATP : Libre

REVERSION
Privé : Sous conditions de ressources
Fonctionnaires : Sans condition de ressources
EDF-GDF : Sans condition de ressources
SNCF : Sans condition de ressources
RATP : Sans condition de ressources

Sources : INSEE, Journal Officiel, divers Ministères.. "

Toujours ces mêmes comparaisons envieuses de la part de demeurés poujadistes entre le privé d’une part, la fonction publique et les entreprises publiques d’autre part. C’est lassant ! Toujours le même but : diviser les Français entre de faux privilégiés, qui ne songeraient prétendument qu’à la préservation de leurs avantages acquis, et de vrais profiteurs du système qui s’imaginent naïvement qu’ils sont les seuls à travailler ! Ces données, dont on aimerait effectivement connaître les sources exactes, ne font que masquer des situations réelles très disparates. Peut-on réellement comparer la situation de bien des fonctionnaires et salariés des entreprises publiques, dont beaucoup sont contraints d’user les semelles de leurs chaussures sur les trottoirs, de travailler constamment debout, avec des horaires souvent très élastiques, pour un traitement de misère, etc., pendant que toi tu ne viens que quatre jours et demi dans la semaine à ton bureau, et jamais avant neuf heures ou neuf heures trente, poser ton gros cul sur ton fauteuil en cuir pleine fleur de skaï ? Jalouserais-tu la retraite du cheminot par exemple, entré à la SNCF à 16 ans, qui plafonne en fin de carrière, après 39 ans de cotisations (et non pas 37,5 ans, puisqu’il ne peut pas partir, comme tu le reconnais toi-même, avant 55 ans et un mois) à 1500 euros, faute de réelles qualifications, alors que toi, tu palpes tes 3000 ou 4000 euros par mois ? Tu envies, toi, les 0,2 ou 0,3 % de revalorisation du traitement de base de la fonction publique que le gouvernement accorde généreusement une année sur deux ou sur trois, prétendument pour rattraper la hausse des prix, alors que le boucher de ton quartier, et même ton épicier arabe, n’hésitent pas, eux, à augmenter leurs prix de 5 à 15 % par an ? Le taux de cotisation sur son traitement de l’infirmière ? La pension de réversion de la veuve du policier mort en service commandé ?

Un peu de sérieux, que diable ! La structure des emplois n’a rien de comparable entre le public et le privé : combien trouve-t-on effectivement de hauts fonctionnaires et de réels privilégiés dans le public ? inversement de cadres et de hauts salaires dans le privé ?

Enfin, si tu n’es pas encore convaincu de ce que tes comparaisons peuvent avoir d’infondé, je te propose le banc d’épreuve imparable : celui des juifs ! Pourquoi sont-ils si nombreux parmi les cadres dirigeants des grands groupes privés, dans la banque, le commerce, le cinéma, les entreprises de divertissement, les médias, parmi les agents immobiliers et les administrateurs de biens, etc. etc. ? Pourquoi n’en trouve-t-on pratiquement aucun dans la fonction publique, à l’EDF ou à la SNCF ? N’est-ce pas parce qu’ils préfèrent depuis toujours les situations les plus lucratives et confortables aux prétendus "privilèges" du public ?

Thursday, June 15, 2006

Nietzsche et les juifs

"Que disait Nietzsche de l'antisémitisme ? Ah oui : "C'est l'étendard de la médiocrité"" (Victor de Kin)

Il disait surtout que les juifs, "peuple né pour l’esclavage" (Par-delà Bien et Mal), ne sont que des esclaves ayant pris l’initiative d’une déclaration de guerre radicale dirigée contre toutes les nations, que leur haine est sans borne, qu’avec le christianisme l’amour était sorti de la soif de vengeance et de la haine juive (Généalogie de la morale, I, § 8, etc.), qu’avec Jésus le poison mortel distillé par l’âme juive se répandit dans le corps entier de l’humanité, que l’Europe, l’Amérique (combien d’Américains circoncis déjà ?) et déjà presque l’Afrique sont juives depuis Jésus. Il faisait remarquer que la loi juive prescrit d’aimer son prochain, c’est-à-dire le juif uniquement (L’Antéchrist, § 33). Que c’est au juif Saül de Tarse qu’on doit d’avoir insufflé l’esprit de vengeance au christianisme (Antéchrist, § 40). Que sous le concept spinoziste d’ "amour" on retrouvait la haine éternelle des juifs, la "flamme juive" qui conquit le monde par Saint Paul, etc. etc.

Vous ne pouvez ainsi sortir des expressions de Nietzsche de leur contexte. Chacun sait que ce penseur n’appréciait guère un antisémite tel que Drumont par exemple, lui reprochant son absence de légèreté et de frivolité, qualités selon lui typiquement françaises ! Il faudra en Allemagne attendre le nazisme pour que cet auteur soit célébré comme un précurseur, précisément pour son esprit de sérieux qui faisait son défaut selon Nietzsche ! Nietzsche croyait même en la possibilité de revivifier les vieilles nations européennes par le peuple juif, en commençant par la Prusse... Mais pourquoi au juste ? Il suffit de lire Par-delà Bien et Mal pour le comprendre : il croyait naïvement que le métissage permettrait de lier le don naturel du commandement et de l’obéissance, l’esprit de discipline propre à la Prusse au génie de l’argent et de la patience caractéristiques des youtres !

Wednesday, June 14, 2006

"Je n'ai pas l'intention de vivre comme un dhimmi"

Entretien donné par Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, au journal Haaretz.

"dhimmi" : terme devenu singulièrement à la mode depuis quelques temps, y compris sur fr.soc.politique, depuis qu’il plaît bien aux youtres. Le terme, étroitement connoté, leur rappelle probablement de vieux souvenirs, de l’époque d’avant les accords d’Evian, où ils se goinfraient en Afrique du Nord au détriment des Arabes, avec la bénédiction du gouvernement français et la nationalité française par-dessus le marché ! Haaretz : quotidien israélien de sinistre mémoire, et courroie de transmission des préjugés des youpins, qui ne se gênent même plus pour faire la morale aux différents gouvernements européens, français compris. Aussi, je pose les questions qui fâchent : son entretien, il ne l’aurait pas donné en hébreu par hasard ? Xavier Lemoine, ce ne serait pas lui-même un youtre ?

"Ecoutez, déclare Lemoine en montrant, de la fenêtre de son bureau, le quartier des immigrés, ce sera eux ou nous. S'ils gagnent, on est morts."

Qui sont dans son esprit les "immigrés" ? Les bougnoules ? Les musulmans ? Cela inclut-il ou non les youtres ?

"Moi je suis catholique,"

Pas de quoi se vanter ! Ces hypocrites-là n’ont jamais cessé de s’abaisser devant les youpins, en multipliant les actes d’allégeance et de repentance. Et "catholique", tel Marc-Olivier Fogiel par exemple, qui tient curieusement lui aussi beaucoup à se définir ainsi ? Tel Sarkozy peut-être, qui ne l’a jamais été en dépit de ses déclarations publiques ?

"Français et fier de l'être, et je n'ai pas l'intention de vivre comme un dhimmi (un non-musulman bénéficiant d'un statut protecteur dans les pays musulmans, note de Daniel Ben Simon) dans mon propre pays."

Daniel Ben Simon, c’est un journaliste, ou bien d’abord un juif israélien ?

"On n'est pas comme eux, et ces gens ne représentent pas la France. On est plongé dans une guerre islamique qui se déroule dans le monde entier, en Iran, en Irak, au Pakistan et en Afghanistan. Tout ce qui se passe là-bas a des répercussions ici en France, et cela influence les immigrés."

Et les youtres, eux, ils représentent la France ? Bush aussi, lui qui a repris à son compte et pour nourrir ces mêmes intentions bellicistes au nom de la prétendue défense de la "civilisation" cette idée simpliste et parfaitement saugrenue d’un "choc des civilisations" ?

"Cela se passait deux mois après le 11 septembre. Il y avait eu un concours de dessins dans les maternelles et les écoles primaires. J'ai été sidéré de voir que 20% des enfants, tous musulmans, avaient peint Oussama Ben Laden en héros. Cette découverte me donne encore la chair de poule."

Eh bien ? N’est-il pas normal que des gosses se choisissent un héros mythique auquel ils peuvent s’identifier ? Il leur proposerait qui sinon ? Moïse ? Dick Cheney ? Georges Bush ? Il fait exprès le naïf, Xavier Lemoine, ou bien il est naturellement bête et incapable de se décentrer culturellement ne serait-ce qu’un bref instant ?

"Xavier Lemoine considère aussi que "les Juifs sont nos alliés dans cette lutte"", écrit encore Daniel Ben Simon.

Manifestement, il a choisi son camp, et n’a même pas honte de le déclarer ouvertement ! Les youtres haïssent les Arabes, c’est un fait. Mais on devrait encore pour cela les remercier, sans doute ? Et puis quoi encore ! Moi je dis : tous en Afrique ou en Asie ! Il n’y a pas à discuter. Cela fait déjà trop longtemps que les youpins prétendent nous dicter leur loi, en n’obéissant depuis toujours qu’à leurs intérêts propres.

"Cela me fait mal de penser que mon pays a honte de sa culture et de ses valeurs. Quand la France renie sa propre histoire et passe son temps à s'excuser de l'esclavage, de ses conquêtes et du colonialisme, faut-il s'étonner que les immigrés relèvent la tête, qu'ils s'en prennent à la France, et qu'ils ne la respectent pas ? Malheureusement, la France ne leur a pas demandé de changer. Elle les autorise à parler arabe, et à cultiver leur héritage, aux dépens de la culture française."

La culture et les valeurs de la France ne sont évidemment pas celles des youtres, même si le pays est depuis trop longtemps enjuivé. Il faut évidemment rendre aux Français la fierté de leurs origines, mais pourquoi tolèrerait-on que les youtres en France apprennent de l’hébreu (pour faire leur Bar Mitzvah), perdent leur temps à étudier ce ramassis de conneries qu’est leur Torah, se déguisent en juifs d’Europe de l’Est, pratiquent même des mutilations sexuelles sur leurs enfants (la circoncision), et dans le même temps prétendrait-on interdire à d’autres de "parler arabe" et de "cultiver leur héritage" ? Y aurait-il ainsi de bons immigrés (les youpins) et de mauvais immigrés (arabes ?) ?

"C'est un combat entre deux cultures. C'est une guerre entre l'Islam et la culture occidentale. La France et l'Europe sont en danger. Si nous ne sommes pas capables de prendre la mesure de la menace musulmane, alors nous sommes en grand péril."

http://www.oumma.com/article.php3?id_article=2077

"C'est bien, de plus en plus de Français ouvrent les yeux et voient la réalité telle quelle est, sans fard, y compris dans les partis politiques qui pourtant sont les premiers responsables de cette situation."

Quels Français ? Des beaufs emplis de vinasse, qui n’ont plus honte d’avouer qu’ils n’aiment pas les Arabes, parce que, "vous comprenez, mon bon monsieur, ces "gens-là" ne sont pas comme nous : ils ne savent pas ce qu’est une baignoire, n’hésitent pas à égorger leur mouton au milieu de leur F5, ils profitent des allocs, avec leurs quatre fathmas et leurs quinze gosses chacun, viennent manger le pain des Français", etc. etc. Et pendant ce temps-là, les youpins, eux, font tranquillement des affaires. Ils conquièrent des positions de pouvoir. Ils se positionnent au sein des médias. Antoine Zacharias cherche à récupérer encore des millions supplémentaires par la vente de ses stock options, en se fichant éperdument de la santé financière de son ancienne entreprise. Plus tard, lui aussi fera probablement son alya...

Pourquoi ne pourrait-on pas dire publiquement qu’on n’aime pas les juifs ?

"Après avoir tenu ces propos, Mr Lemoine restera-t-il à l'UMP, ce parti qui organise l'immigration massive en France, ce parti qui organise la colonisation de la France aux frais des Français eux-même et cela depuis plus de 30 ans ?"

"Cela n'aurait pas de sens."

Là, il est maladroit, le Dany Ben Simon, ou imprudent. Nul doute que Sarkojuif en personne ne manquera pas de décrocher son téléphone, et il descendra bientôt aux archives, ou bien sera licencié de son journal... On peut sérieusement douter en effet qu’Israël ait décidé de lâcher son prétendu "meilleur" candidat pour 2007 au profit d’un De Villiers ou d’un Le Pen, qui, eux, ne sont même pas juifs...

Un article de l'Arche sur l'affaire Ménargues

Article profondément malhonnête, ce qui n'a rien d'étonnant quand on connaît le torchon d'où il provient : on ne fera jamais passer une luxueuse revue communautariste juive (preuve qu'ils ont les moyens !) dont l'unique objet n'est que de dénoncer inlassablement, de numéro en numéro, un prétendu "antisémitisme", dans le but de conforter cette obsession victimaire caractéristique de la mentalité juive, pour une publication sérieuse. Tous ces goyim, prétendument tous unis contre Israël, ne visant tous que la perte d'Israël ! Et puisque l'Arche se prétend être une publication de haute tenue intellectuelle, titre évidemment bien usurpé dès lors qu'on en considère le réel objet, on ne manque pas de dénoncer à chaque fois qu'on le peut, les "sottises", l' "inculture", ou encore les "préjugés antisémites" de ses adversaires, évidemment.

Le livre d’Alain Ménargues, Le Mur de Sharon, n’a évidemment rien d’un pamphlet antisémite, excepté au goût de certains juifs extrémistes, ceux dont la solidarité avec la politique menée par l’Etat d’Israël sur la terre de Palestine est à ce point inconditionnelle et irréfléchie qu’ils se trouvent totalement incapables de prendre un minimum de recul et de distance critique à l’égard d’eux-mêmes et de leur propre histoire. Dans le cas contraire, ils comprendraient que les youpins avec leur "mur de sécurité" sont évidemment en train de réinventer pour les Palestiniens le ghetto... et s’enferment eux-mêmes dans leur haine irrationnelle des "Arabes" qui leur vaut actuellement la suspicion de toutes les nations du monde. Qui plus est, le livre d’Alain Ménargues est paru au mauvais moment, celui où les youtres en France, évidemment en position de pouvoir, intriguaient pour obtenir que la moindre critique émise par un goy à l’égard de la politique israélienne en Palestine soit passible des tribunaux en tant qu’ "injure antisémite" ! Leur unique argument au soutien d’une telle aberration est le suivant : puisque Israël, c’est le peuple juif, dénoncer la politique d’Israël, c’est s’en prendre aux menées des juifs, ce qui ne saurait être que de l’antisémitisme, puisque le prétendu "antisionisme" n’est que le masque de l’ "antisémitisme" ! C’est certain qu’ "antisionisme", ce n’est souvent qu’un euphémisme, puisque la loi ne l’interdit pas encore, et qu’en revanche on ne peut plus se déclarer publiquement anti-youtres, "antisémite", anti-cafards, anti-parasites... La proposition de loi visant à assimiler la moindre critique de nature antisioniste à un délit d’ "antisémitisme" existe bien. Elle se trouve contenue dans le rapport Rufin, auquel l’article de l’Arche fait une discrète allusion.

La liste est évidemment très longue de tous les journalistes, éditeurs et intellectuels inquiétés pour "antisémitisme" et sommés de se justifier devant les tribunaux. Quant au changement de ligne éditoriale du Monde diplomatique, c’est un fait incontestable. Chacun peut s’en rendre compte en en parcourant les archives.

Sunday, June 11, 2006

La France, un pays libre ?

Faisons d'abord retour sur ce fait divers de l'année dernière qui constitue désormais un cas d'école : "Jeudi, devant le tribunal correctionnel de Dunkerque, Mickaël, 20 ans, comparaissait pour provocation à la discrimination raciale. L’affiche [qui fut à l'origine de sa comparution] n’est pas anodine. Placardée sur un abribus de Bollezeele mi-février, elle ne laissait guère d’ambiguïté quant à son contenu : "Immigration, invasion, la jeunesse européenne dit non !" Une phrase suivie de la référence à un site Internet du même acabit. "Vous le pensez, cela ?", lui demande la présidente. "Il y a des choses que vous pouvez penser, mais qu’on ne peut pas dire en public", concède-t-elle. Le procureur, plus véhément, ne croit guère à la candeur affichée par le prévenu, citant Brecht pour lequel les conducteurs des trains de déportation vers les camps de déportation savaient bien ce qu’ils faisaient. Et de rappeler que la peine maximale encourue pour ce délit va jusqu’à un an de prison ferme et 45.000 euros d’amende." (La Voix du Nord, Dunkerque, édition du samedi 16 avril 2005)

Là, on peut effectivement s'interroger : en quoi la dénonciation d'une immigration de masse incontrôlée en France comme étant une réelle invasion du territoire par des populations allogènes serait-elle constitutive d'une "provocation à la discrimination raciale" ? Et surtout, quel rapport avec ces conducteurs de trains de déportés chers aux Klarsfeld, Lipietz et d'autres encore, dont ce procureur "de la République" ? Les commentaires suscités par une telle décision de justice n'ont pas manqué, mais tous ont laissé dans l'ombre les préjugés auxquels se conformait alors ce procureur. On a parlé d'une justice politique, ciblée sur le discours anti-immigrationniste cher au Front National. Du spectre d'Auschwitz et de l'Holocaust-hoax (vous savez bien, le seul, l'unique, et ce pour l'éternité, garanti 100 % casher... ) qui aurait été abusivement brandi par l'establishment pour tenter de déconsidérer définitivement toute prise de position publique en faveur d'une restriction de l'immigration. D'une "incantation magique" de racisme exterminationniste, alors brandie à l'encontre du prévenu, eu égard à sa jeunesse, destinée à l'ébranler dans ses convictions, mais non vraiment réfléchie...

Non. Faisons preuve du minimum de sérieux et d'objectivité requis dans l'analyse. Gardons-nous de ces constants amalgames, régulièrement répétés, et allant toujours dans le même sens. Tel celui que Villepin a encore fait hier à propos d'Oradour : authentiques résistants, jeunes réfractaires au STO, populations civiles tout autant victimes, sinon davantage, des bombardements anglo-américains que des représailles exercées par l'occupant, profiteurs et juifs étrangers en France déportés pour des motifs raciaux, tous dans le même sac ! Tous prétendument dans le camp du bien, contre celui du prétendu mal absolu !

Un jeune militant de 20 ans, ayant acquis, par ses lectures, sa participation à des réunions, ses discussions avec d'autres militants, une réelle conscience politique, n'est évidemment pas un gamin de 10 ans qui aurait tracé une quelconque Hakenkreuz sur le mur du préau de son école, ou un collégien qui aurait osé sourire au lieu de pleurer comme les autres sur la photo faite de lui à Auschwitz. On ne remettra pas en cause ses convictions profondes en le sermonnant comme s'il avait dix ans de moins. Tout procureur "de la République" ayant un minimum d'expérience, ou bien d'intelligence, le sait bien. Le Front National serait-il l'unique adversaire à abattre ? Non, bien sûr, et on le voit bien aujourd'hui, alors même que son discours anti-immigrationniste se trouve désormais repris par tous les partis de l'establishment, ou presque, de la fausse gauche à Sarkojuif... Le vieillard Le Pen n'a plus rien de dangereux, même au jugement de la gauche caviar, même pour ses plaisanteries de fin de banquet sur fond de programme frontiste, réellement libéral et bassement conservateur tendance populiste... Le militant frontiste de base n'a rien de dangereux non plus : voyez ici votre folklorique Peppone, ancien légionnaire abîmé par des hectolitres de vinasse, selon toute vraisemblance, et qui ne sait plus que proférer toujours les mêmes diatribes anti-arabes attendues et parfaitement prévisibles au service exclusif des juifs. Le véritable ennemi à abattre, pour eux tous, c'est celui qui sait bien depuis longtemps qui organise et tire profit de cette immigration massive et incontrôlée. Que les nègres et les bougnoules sont les premières victimes de leur politique, et que ne sont certainement pas des faibles et des victimes ceux qui s’emploient depuis toujours à les exploiter. Que tous les peuples d’Europe sont depuis trop longtemps bel et bien envahis, exploités, rançonnés, contenus et méprisés par cette méprisable engeance juive, qui n’a de cesse que de les convertir de surcroît à ses valeurs bassement matérialistes et n’ayant en vue que l’argent.

Les préjugés du procureur de Dunkerque ? Mais ils sont évidents ! Les juifs organisent et tirent profit de l’immigration sauvage en France depuis des décennies. Toute remise en cause de celle-ci vaudrait insupportable critique de ceux-là. Alors, la justice "républicaine" rappelle prétendument les lois "de la République" : toute critique du youtre constituerait la limite absolue de la liberté d’expression en France. Il est interdit de dévisager le youtre, de le défier, de simplement même changer de trottoir à son approche... Verboten ! C’est la loi. Dans le cas contraire, vous prenez le risque de nourrir les statistiques en faveur d’une prétendue résurgence de l’antisémitisme en France. La France est depuis longtemps devenue une mosaïque de communautés, mais dites-vous bien qu’une seule de ces communautés a encore plus de droits que les Français de souche, et même de race nordique, même si ses membres étaient dans leur quasi-totalité, comme il y a soixante ans, de nationalité étrangère ! Voilà le paradoxe de notre époque : des sémites, sous le seul prétexte que certains de leurs coreligionnaires étaient déjà présents sur le territoire français bien avant Clovis, et seulement pour faire du commerce, ont bien plus de droits que tous les autres réunis, et ont encore régulièrement l’impertinence de le leur rappeler !

A Oradour comme à Tulle, sur le front de Normandie comme ailleurs, vous aviez simplement des soldats, die besten Soldaten der Welt, dont l’expérience de la lutte anti partisans était incontestable. Harcelés sur leurs arrières, souvent par des résistants de la dernière heure, dont les réelles motivations étaient très différentes les unes des autres, ils ne pouvaient dans l’urgence qu’appliquer les mêmes procédures de représailles que celles qu’ils avaient déjà maintes fois expérimentées sur le front russe contre tous les "terroristes" et commissaires politiques qui les excitaient, comme par hasard juifs... les mêmes que celles qui sont malheureusement ordinairement appliquées encore aujourd’hui dans toutes les armées en guerre de par le monde. Et vous voudriez faire de ceux-là, et pour l’éternité, les coupables d’un crime absolu ? Villepin dit ce qu’il veut, quelle importance ! Demain, il ne sera plus là. On s’en fiche ! Ce qui déçoit cependant, c’est que lui aussi puisse tenir ce même genre de discours de pure convention au bénéfice exclusif des youtres, comme s’il était Sarkojuif en personne !

La France, un pays libre ?

Faisons d'abord retour sur ce fait divers de l'année dernière qui constitue désormais un cas d'école : "Jeudi, devant le tribunal correctionnel de Dunkerque, Mickaël, 20 ans, comparaissait pour provocation à la discrimination raciale. L’affiche [qui fut à l'origine de sa comparution] n’est pas anodine. Placardée sur un abribus de Bollezeele mi-février, elle ne laissait guère d’ambiguïté quant à son contenu : "Immigration, invasion, la jeunesse européenne dit non !" Une phrase suivie de la référence à un site Internet du même acabit. "Vous le pensez, cela ?", lui demande la présidente. "Il y a des choses que vous pouvez penser, mais qu’on ne peut pas dire en public", concède-t-elle. Le procureur, plus véhément, ne croit guère à la candeur affichée par le prévenu, citant Brecht pour lequel les conducteurs des trains de déportation vers les camps de déportation savaient bien ce qu’ils faisaient. Et de rappeler que la peine maximale encourue pour ce délit va jusqu’à un an de prison ferme et 45.000 euros d’amende." (La Voix du Nord, Dunkerque, édition du samedi 16 avril 2005)

Là, on peut effectivement s'interroger : en quoi la dénonciation d'une immigration de masse incontrôlée en France comme étant une réelle invasion du territoire par des populations allogènes serait-elle constitutive d'une "provocation à la discrimination raciale" ? Et surtout, quel rapport avec ces conducteurs de trains de déportés chers aux Klarsfeld, Lipietz et d'autres encore, dont ce procureur "de la République" ? Les commentaires suscités par une telle décision de justice n'ont pas manqué, mais tous ont laissé dans l'ombre les préjugés auxquels se conformait alors ce procureur. On a parlé d'une justice politique, ciblée sur le discours anti-immigrationniste cher au Front National. Du spectre d'Auschwitz et de l'Holocaust-hoax (vous savez bien, le seul, l'unique, et ce pour l'éternité, garanti 100 % casher... ) qui aurait été abusivement brandi par l'establishment pour tenter de déconsidérer définitivement toute prise de position publique en faveur d'une restriction de l'immigration. D'une "incantation magique" de racisme exterminationniste, alors brandie à l'encontre du prévenu, eu égard à sa jeunesse, destinée à l'ébranler dans ses convictions, mais non vraiment réfléchie...

Non. Faisons preuve du minimum de sérieux et d'objectivité requis dans l'analyse. Gardons-nous de ces constants amalgames, régulièrement répétés, et allant toujours dans le même sens. Tel celui que Villepin a encore fait hier à propos d'Oradour : authentiques résistants, jeunes réfractaires au STO, populations civiles tout autant victimes, sinon davantage, des bombardements anglo-américains que des représailles exercées par l'occupant, profiteurs et juifs étrangers en France déportés pour des motifs raciaux, tous dans le même sac ! Tous prétendument dans le camp du bien, contre celui du prétendu mal absolu !

Un jeune militant de 20 ans, ayant acquis, par ses lectures, sa participation à des réunions, ses discussions avec d'autres militants, une réelle conscience politique, n'est évidemment pas un gamin de 10 ans qui aurait tracé une quelconque Hakenkreuz sur le mur du préau de son école, ou un collégien qui aurait osé sourire au lieu de pleurer comme les autres sur la photo faite de lui à Auschwitz. On ne remettra pas en cause ses convictions profondes en le sermonnant comme s'il avait dix ans de moins. Tout procureur "de la République" ayant un minimum d'expérience, ou bien d'intelligence, le sait bien. Le Front National serait-il l'unique adversaire à abattre ? Non, bien sûr, et on le voit bien aujourd'hui, alors même que son discours anti-immigrationniste se trouve désormais repris par tous les partis de l'establishment, ou presque, de la fausse gauche à Sarkojuif... Le vieillard Le Pen n'a plus rien de dangereux, même au jugement de la gauche caviar, même pour ses plaisanteries de fin de banquet sur fond de programme frontiste, réellement libéral et bassement conservateur tendance populiste... Le militant frontiste de base n'a rien de dangereux non plus : voyez ici votre folklorique Peppone, ancien légionnaire abîmé par des hectolitres de vinasse, selon toute vraisemblance, et qui ne sait plus que proférer toujours les mêmes diatribes anti-arabes attendues et parfaitement prévisibles au service exclusif des juifs. Le véritable ennemi à abattre, pour eux tous, c'est celui qui sait bien depuis longtemps qui organise et tire profit de cette immigration massive et incontrôlée. Que les nègres et les bougnoules sont les premières victimes de leur politique, et que ne sont certainement pas des faibles et des victimes ceux qui s’emploient depuis toujours à les exploiter. Que tous les peuples d’Europe sont depuis trop longtemps bel et bien envahis, exploités, rançonnés, contenus et méprisés par cette méprisable engeance juive, qui n’a de cesse que de les convertir de surcroît à ses valeurs bassement matérialistes et n’ayant en vue que l’argent.

Les préjugés du procureur de Dunkerque ? Mais ils sont évidents ! Les juifs organisent et tirent profit de l’immigration sauvage en France depuis des décennies. Toute remise en cause de celle-ci vaudrait insupportable critique de ceux-là. Alors, la justice "républicaine" rappelle prétendument les lois "de la République" : toute critique du youtre constituerait la limite absolue de la liberté d’expression en France. Il est interdit de dévisager le youtre, de le défier, de simplement même changer de trottoir à son approche... Verboten ! C’est la loi. Dans le cas contraire, vous prenez le risque de nourrir les statistiques en faveur d’une prétendue résurgence de l’antisémitisme en France. La France est depuis longtemps devenue une mosaïque de communautés, mais dites-vous bien qu’une seule de ces communautés a encore plus de droits que les Français de souche, et même de race nordique, même si ses membres étaient dans leur quasi-totalité, comme il y a soixante ans, de nationalité étrangère ! Voilà le paradoxe de notre époque : des sémites, sous le seul prétexte que certains de leurs coreligionnaires étaient déjà présents sur le territoire français bien avant Clovis, et seulement pour faire du commerce, ont bien plus de droits que tous les autres réunis, et ont encore régulièrement l’impertinence de le leur rappeler !

A Oradour comme à Tulle, sur le front de Normandie comme ailleurs, vous aviez simplement des soldats, die besten Soldaten der Welt, dont l’expérience de la lutte anti partisans était incontestable. Harcelés sur leurs arrières, souvent par des résistants de la dernière heure, dont les réelles motivations étaient très différentes les unes des autres, ils ne pouvaient dans l’urgence qu’appliquer les mêmes procédures de représailles que celles qu’ils avaient déjà maintes fois expérimentées sur le front russe contre tous les "terroristes" et commissaires politiques qui les excitaient, comme par hasard juifs... les mêmes que celles qui sont malheureusement ordinairement appliquées encore aujourd’hui dans toutes les armées en guerre de par le monde. Et vous voudriez faire de ceux-là, et pour l’éternité, les coupables d’un crime absolu ? Villepin dit ce qu’il veut, quelle importance ! Demain, il ne sera plus là. On s’en fiche ! Ce qui déçoit cependant, c’est que lui aussi puisse tenir ce même genre de discours de pure convention au bénéfice exclusif des youtres, comme s’il était Sarkojuif en personne !

Saturday, June 03, 2006

Des urnes prétendument pleines de cendres de juifs à Auschwitz

Après la libération d'Auschwitz, le camp est resté désaffecté et ouvert à tous les vents. A l'époque, personne n'avait jamais imaginé qu'on pourrait en faire un jour un musée, et que les juifs allaient même y organiser des pèlerinages pour l'édification des collégiens de France sur le thème de la mémoire de leurs "chers disparus". La population locale s'y rendait régulièrement pour fouiller minutieusement les lieux dans l'espoir de trouver, dans la proximité immédiate des crématoires, toutes sortes de trésors qui auraient pu être oubliés ou enterrés par les juifs à l’insu des Allemands : des dents en or, des bijoux, de l'argent. C'est ainsi que toute la terre a été retournée à plusieurs reprises sur les lieux des anciens crématoires, du "Canada", de la place d'appel, de l'hôpital, du terrain de sport... Consultez n'importe quel plan non trafiqué d'Auschwitz, vérifiez vous-même l'emplacement de ces installations, toutes à proximité étroite les unes des autres... Ce n'est que bien des années plus tard qu'on imagina de faire d'Auschwitz un musée, le symbole d'un prétendu mal absolu, et le lieu d'une vaste mise en scène à destination des naïfs, tout à la fois. C'est ainsi qu'on a effectivement disposé dès l'entrée, pour mieux frapper l'imagination des gogos, des urnes censées être emplies de cendres d'origine humaine... Mais qui en a jamais vérifié la composition exacte ? Quelle est la probabilité d'avoir pu retrouver quelque part dans l'enceinte du camp, intacts, de tels tas de cendre ? Et les légendes juives n'affirment-elles pas que les nazis auraient détruit ou fait disparaître toutes les traces de leur crime ? Et ils auraient laissé en l'état avant de partir de tels tas de cendre, auxquels les troupes russes, puis les civils polonais ensuite, se seraient soigneusement gardés de toucher ?

Qui plus est, vous garantissez la composition 100 % casher de ces cendres ?!

C'est exactement comme ces tas de cheveux reconstitués, dans lesquels on peut voir encore aujourd'hui... de superbes tresses blondes ! Quelle est la probabilité qu'une youpine ait jamais porté une telle coiffure, et des cheveux de cette couleur ? En réalité, tous ces cheveux proviennent d'une fabrique de Silésie dans laquelle ils ont été confisqués après la guerre, et de femmes Allemandes ayant fait don au Reich d'une telle matière première dans le cadre de l'effort de guerre. Tout historien le sait. Il n'y a que les youtres pour vouloir continuer à entretenir l'équivoque dans l'esprit des visiteurs non informés, et par suite du grand public.

De tels faits seraient parfaitement risibles s'il n'était interdit de rire. A Auschwitz, les larmes sont de rigueur. Souriez donc un peu sur la photo : c'est déjà une offense prétendument faite à la mémoire de "leurs" morts ! Les youtres qui se tiennent là, derrière vous, veillent. Et interdit d'étudier ! Interdit de s'informer ! de discuter des témoignages ! Interdit de sortir du circuit ! Suivez le parcours obligé !

Vous n'avez rien de mieux à faire que d'invoquer pour l'éternité cette mascarade ? Ouvrez donc les yeux ! Aujourd'hui, ce sont eux, les juifs, qui sont les puissants, et qui tiennent tous les autres peuples en esclavage. Ils sont riches, influents. Ils siègent dans les conseils d'administration, sont à la tête des entreprises du CAC 40, détiennent le pouvoir politique par dessus le marché. Vous ne pouvez pas allumer votre téléviseur sans voir la tête de l'un d'entre eux, qu'il soit journaliste, animateur, ou encore artiste de variétés. Ils ont leurs bases de repli : Israël, les USA. On ne pourra jamais probablement les vaincre tout à fait. Mais en attendant, on peut provoquer chez eux un fort sentiment d'insécurité, qui puisse mettre un terme provisoire à leur orgueil démesuré et à leur complexe d'élection-supériorité. Qu'on aille les provoquer jusque dans leurs ghettos de la rue des Rosiers ou d'ailleurs, qu'on raye effectivement Israël de la carte, qu'on les expulse en masse hors d'Europe, peu importe. L'essentiel, c'est qu'ils ne sachent plus eux-mêmes où aller, qui parasiter. Alors, peut-être comprendront-ils...