Saturday, March 31, 2007

10 raisons de ne pas voter Sarkozy

1) Avec Sarkozy la France est enfin forte et respectée.
Elle est enfin reconnue comme une grande puissance, appelée à jouer dans le monde un rôle incontournable, et dont l'indépendance et l'influence sur le plan international, dans le monde arabe, en Afrique ou en Amérique centrale et du sud ne pourront plus être discutées, par les USA notamment, ou au sein du Conseil de sécurité des Nations Unies.
2) Sarkozy est le seul candidat à pouvoir garantir à tous les Français la sécurité.
Son action au Ministère de l'Intérieur le prouve : grâce à la politique de fermeté délibérée à l'égard des fauteurs de trouble, et à l'alourdissement des sanctions pénales infligées aux délinquants, les actes de délinquance et de criminalité connaissent pour la première fois un recul sensible, notamment les violences à l'encontre des personnes, devenues pratiquement inexistantes. Aucune banlieue ne s'est plus jamais embrasée, depuis que Sarkozy a promis de débarrasser la France de toute "la racaille". Tout citoyen, quelles que soient ses origines ou sa couleur de peau, se sent désormais parfaitement respecté par la police de "la République". Sarkozy bénéficie du soutien sans faille de tous les magistrats et policiers, qui tous approuvent pleinement son action à l’Intérieur.
3) Avec Sarkozy la France se trouve enfin décidée à lutter contre l'immigration sauvage et clandestine.
Aucune régularisation massive de sans-papiers n'a pu avoir lieu tant qu'il faisait partie du gouvernement, contrairement à la pratique largement répandue sous le précédent gouvernement socialiste, lequel a au contraire régularisé à tour de bras quantité d'individus qui avaient bien plutôt vocation à rentrer chez eux. Sarkozy a su rendre beaucoup plus strictes que par le passé les conditions de séjour des étrangers en France, et d'obtention de la nationalité française, mais aussi beaucoup plus humaines qu’avant lui, en s’opposant à cette politique d’expulsions massives et aveugles, des charters pour l’Afrique, en créant des lieux de rétention adaptés pour tous les étrangers en instance d’expulsion.
4) Sarkozy est le candidat de l'emploi et du dynamisme économique.
Lors de son passage au Ministère de l'Intérieur, la délinquance économique a enfin été sanctionnée comme il se doit. Les chefs d'entreprise et les investisseurs malhonnêtes, ceux qui ont massivement recours au travail dissimulé et à une main-d'oeuvre étrangère en situation irrégulière, ceux qui délocalisent massivement, sans égard pour le sort de leurs anciens salariés, ceux qui ne se préoccupent que d'accroître les bénéfices, sans se soucier des conséquences destructrices sur l'environnement de leur activité industrielle, etc., tous ont vu leurs fortunes saisies au profit de l’Etat, et se sont vus infligés de très lourdes amendes et des sanctions pénales exemplaires. De même tous les fraudeurs du fisc, les auteurs d'escroqueries à la TVA et à l'URSSAF. Et Sarkozy est aussi le seul candidat à déclarer vouloir mettre un terme à l'incroyable gabegie des aides diverses et parfaitement inutiles aux entreprises et à l'emploi pour favoriser la croissance réelle.
5) Sarkozy est le candidat des salariés et des retraités, et de la défense du pouvoir d'achat des Français.
Il entend résolument lutter contre les conséquences sociales particulièrement négatives de l'ultra-libéralisme sans entraves incarné par l'actuel gouvernement, dont la politique n'a jamais consisté qu'en toujours plus d'allègements de charges pour les commerçants et intermédiaires de tous types, de baisses continues d'impôts au profit des plus riches, des titulaires d'un important patrimoine, des professions libérales. Avec Sarkozy, les dividendes des actionnaires, les marges bénéficiaires, la facturation des services, etc., tout cela sera strictement contenu et contrôlé par l’Etat, au profit d'une large revalorisation de tous les salaires, prestations sociales et autres, en faveur des catégories sociales les plus modestes.
6) Sarkozy est le candidat de la transparence.
Sous sa présidence, tout élu sera tenu de rendre périodiquement des comptes auprès des électeurs. Aucune prise illégale d’intérêts, aucun enrichissement personnel ne seront plus tolérés. Les élus devront renoncer à tout avantage en nature manifestement exagéré (mise à disposition de luxueux logements de fonction, de plusieurs véhicules avec chauffeur, régimes spéciaux de retraite, facilités bancaires, indemnisations outrageusement avantageuses en cas de non réélection, etc.) L’étendue réelle du patrimoine de chacun, avant aussi bien qu’au terme de l’exercice d’un quelconque mandat public, sera régulièrement portée à la connaissance de tous. Le candidat Sarkozy est d’ailleurs le premier à avoir publié sa déclaration complète de patrimoine, en toute sincérité et sans la moindre omission, comme chacun a pu s’en assurer au regard du montant de l’ISF régulièrement acquitté au cours des dix dernières années.
7) Sarkozy est un candidat authentiquement républicain.
Il entend résolument lutter contre toute dérive communautariste, et faire respecter l’égalité absolue des droits de chaque communauté présente sur le sol français. Sous sa présidence, on pourra enfin ouvertement dénoncer l’influence néfaste pour le pays de tous les lobbies et de toutes les sectes, quels qu’ils soient. Il sera devenu impossible au pouvoir de chercher à diviser les Français, ou encore à se mettre délibérément au service des uns, et contre les autres, regardés comme "des déchets".
8) Sarkozy entend faire de l’éducation une réelle priorité nationale.
Davantage de moyens lui seront accordés, et le statut et l’image dans l’opinion des enseignants revalorisés. Les effectifs d’élèves par classe seront considérablement abaissés, et à tous les niveaux, de manière à permettre un réel suivi individualisé des élèves et des étudiants, et le soutien de leurs progrès. Sarkozy entend maintenir le recrutement d’enseignants spécialistes de leur discipline, recrutés à un haut niveau de diplômes et de qualifications. De même, soutenir la recherche publique en France par le développement d’un corps d’enseignants chercheurs correctement rémunérés, et recrutés par leurs pairs sur la base de leurs qualifications réelles (et non plus en fonction des accointances politiques ou de la sensibilité idéologico-religieuse des uns et des autres...), ce qui offrirait de réelles perspectives de carrière aux jeunes doctorants.
9) Sarkozy est le candidat au service de la France et de la continuité de l’Etat.
Le secteur public sera préservé, contre toutes les tentatives de privatisation rampante des services publics, et les lois de décentralisation précipitées à l’initiative des précédents gouvernements. Il entend dénoncer toutes les manoeuvres par lesquelles l’Etat libéral s’est exonéré ces dernières années de ses propres responsabilités, en transférant la plupart de ses charges aux régions (très majoritairement socialistes), avec tous les gaspillages de fonds publics et la hausse continue de la fiscalité locale imposée aux contribuables par les socialistes que de tels transferts ne manqueraient pas d’engendrer. Sarkozy entend maintenir, contre les intérêts du privé, un secteur public fort, permettre aux administrations publiques d’être plus efficaces, en leur accordant les moyens qui leur manquent encore. Il entend aussi maintenir les effectifs de la fonction publique d’Etat, les traitements et avantages acquis des fonctionnaires en contrepartie des rémunérations encore trop modestes fixées par l’Etat, en s’opposant résolument à toute démagogie présentant les fonctionnaires comme des privilégiés, les opposant continuellement aux salariés les plus mal lotis du privé (et non pas, évidemment, aux non salariés !).
10) Sarkozy est le candidat des libertés individuelles.
Avec lui la liberté d’expression la plus grande sera reconnue à toutes les catégories de citoyens. Toutes les lois liberticides, qui pouvaient jusqu’ici profiter à certains groupements d’influence, et au profit de cette seule communauté qui les a exigées, seront définitivement abrogées. La liberté la plus grande règnera sur les réseaux d’échanges et sur les forums de discussion, comme au profit des auteurs de blogs, qui ne craindront plus de voir leurs écrits censurés. Les journalistes pourront enfin faire leur travail sans crainte des menaces des politiques.

Si vous croyez encore que "la France d’après", ce peut être cela, et non pas tout le contraire, alors relisez attentivement ce qui précède, et descendez donc un peu de votre petit nuage. Bienvenue dans le monde réel, celui où les juifs sont rois, au point de pouvoir imposer cette fois leur propre candidat en France aux Présidentielles !

Rappel

- Le 15 mars 2005, parution dans le quotidien Le Monde de tout un dossier sur le thème du "spectre des violences anti-Blancs". La tactique de dénonciation systématique du racisme, du sexisme, de l' "antisémitisme", de l'antisionisme, de la "haine" (en américain : "hate"), etc. des jeunes bougnoules et négros dits du "Frankistan" (et c'est où, ça ?), inaugurée par un youtre du nom de Bronner, soutenu par le "témoin" Goldbronn, commence à porter ses fruits, en rencontrant un écho favorable du côté d'une certaine fraction de l'opinion.
- Dans la foulée, un éditorial tenu sur une certaine radio communautariste judaïque par un autre youpin, Clément Weill-Raynal, enfonce le clou et dénonce le "racisme anti-blancs" des jeunes allogènes, mais dirigé contre qui au juste ? évidemment la "race élue", ceux qui auraient prétendument bien plus de droits que tous les autres à être protégés des agissements de ces animaux-là... Au passage, il stigmatise l’Education nationale, selon les youtres "gangrénée" par l’ "antisémitisme", au point que dans "de nombreux établissements", où il y a trop d’ "arabes" à leur goût, il serait devenu impossible d’y inscrire un petit juif.
- Presque au même moment, un groupuscule sioniste et Radio Shalom s’associaient pour lancer un "Appel contre le racisme anti-blancs", immédiatement signé par les Finkielkraut, Kouchner, Arfi (dirigeant de l’UEJF), Chouraqui et tant d’autres depuis, si bien nés. Ne manquaient plus que les signatures des youpins associés Antoine Zacharias et Alain Minc, par exemple, pour faire bonne mesure...
- Dans un tel contexte, on vit de plus en plus d’individus, au sein de cette vermine judaïque, tenter de se faire passer pour les plus sûrs défenseurs des "blancs" et de l’ "identité française" menacée. Des Orientaux de culture, de petits êtres à la peau sombre et aux cheveux noirs frisés, souvent nés eux-mêmes quelque part en Afrique, qui d’habitude sont si prompts à se plaindre devant la justice de racisme à leur encontre, et si bien organisés qu’ils parviennent immanquablement à leurs fins, se mirent à parler et à agir comme de vulgaires gros cons frontistes, lorsqu’ils s’en prennent aux "immigrés", aux "melons" à réexpédier selon eux de l’autre côté de la Méditerranée.
- Le 24 octobre 2005, le candidat de la juiverie, le Sarkojuif, relança publiquement et volontairement l’idée d’un droit de vote des immigrés aux élections locales. Ce fut là le point de départ réel de la "crise des banlieues". L’idée était alors de laisser faire, de manière à susciter et à entretenir ensuite l’indignation de l’opinion contre les casseurs et la "racaille", autoriser dans le même temps la plus large couverture médiatique possible alors donnée aux "émeutes urbaines", de manière à accréditer la croyance selon laquelle les banlieues, zones de non droit, passées sous souveraineté étrangère, seraient devenues totalement incontrôlables. A moins de retrouver le chemin de la fermeté sans concessions, celle que le petit youtre serait prétendument le seul à pouvoir incarner. Et on pouvait constater que la cote de popularité de Sarkozy n’avait pas cessé de monter dans les sondages, durant tout le temps que dura cette crise. Ce qui intéressait en tout premier lieu le parti juif en France, ce n’était certainement pas la réalité de ce qui pouvait se passer dans les banlieues, mais bien plutôt l’image qui en était donnée à l’opinion. L’objectif était comme toujours pour la juiverie de diviser, d’attiser encore et toujours les haines des uns contre les autres, en n’ayant pas le moindre scrupule à provoquer systématiquement, à manipuler aussi l’opinion.
- Aujourd’hui encore, seules comptent du point de vue de la juiverie les réactions de l’opinion par rapport aux événements de la gare du Nord, et non pas la réalité de ces mêmes événements. Les autorités, vraisemblablement sur ordre très supérieur, se sont manifestement contentées d’un filtrage des entrées et des sorties de la gare du Nord, et pour le reste, ont manifestement laissé faire, au moins provisoirement, en veillant à ce que les caméras puissent complaisamment filmer toute la scène, et que les images parviennent bien dans les salles de rédaction, en tout premier lieu du Figaro et de TF1. Les charges de policiers, c’était évidemment pour le spectacle ! On médiatise aussi soigneusement les bourdes de la conne du Poitou, tout comme les réactions folkloriques attendues d’un José Bové, tout cela sert si bien la croyance qu’on s’efforce désespérément d’imposer, celle d’une anti-France tout entière liguée contre la politique de restauration nationale, que le défenseur par excellence de la "République" (en réalité, bien plutôt "Ripoublique"), Sarkozy, entendrait prétendument mener Et au même moment, les télévisions diffusent toutes les mêmes images prises devant cette école maternelle (quel rapport avec les émeutes de la gare du Nord ?), comme pour accréditer l’idée que ce sont toujours les mêmes, tous ces macaques, ces étrangers, tous ces sans papiers, et les associations qui les soutiennent, qui posent problème en France. Et le Sarkojuif de renchérir, avec de belles paroles bien démagogiques, opposant la fausse gauche, dénoncée dans son soutien aux délinquants multi-récidivistes, aux fraudeurs du métro, à tous les profiteurs du système, au parti de l’ordre que lui seul prétendument incarnerait.

Mais quelques remarques s’imposent, bien évidemment.
1) De quel côté se trouvent vraiment ceux qui trichent, qui fraudent, à bien plus grande échelle et de manière bien plus lucrative pour eux que dans le métro, et qui s’enrichissent toujours plus ? Ceux qui tirent profit des délocalisations, des licenciements massifs, pour permettre aux leurs d’accroître toujours plus leurs dividendes ? Ceux qui se gavent de stock options, qui exigent des parachutes dorés en cas de fausse sortie, ou qui se font rémunérer très cher leurs prétendus "conseils", avant de prendre une retraite particulièrement dorée en Suisse, ou en Israël ? Ceux qui n’ont que mépris pour le "facteur humain", encore insuffisamment mobile, substituable et malléable à leur goût ? Ceux qui ne savent que vanter le capitalisme ultra-libéral aujourd’hui, tout aussi bien que le marxisme-léninisme il y a un siècle, du moment qu’ils y trouvent leur intérêt ?
2) Qui a fait massivement venir sur le territoire européen tant de hordes d’allogènes, étrangers à quelque culture d’Europe qu’elle puisse être, qui continue à les faire venir clandestinement, en n’étant motivé que par l’appât du gain, le bénéfice immédiat, se moquant éperdument des conséquences sociales parfaitement prévisibles sur moyen ou long terme, sinon les mêmes que les précédents ? Qu’on se rappelle par exemple que c’est bien un juif (Debré) qui organisa la venue en masse des Antillais en France. Qu’il faille sévèrement sanctionner, et pénalement aussi, tous les négriers et tous les exploiteurs de nègres, c’est pour JH l’évidence même.
3) Qui sont ces jeunes étrangers délinquants, sinon souvent les mêmes que ceux qui rêvent eux aussi d’intégration par l’emploi et par la consommation, les déchets de l’école "ripoublicaine", faussement égalitaire, en réalité ne favorisant plus que la réussite des seuls gosses de riches, et qui ont parfois autant de droits, sinon plus, que ceux-là dont les multiples et diverses nationalités ne sont jamais que de papier, parce que leur véritable patrie, c’est pour eux leur "terre promise", et qui se regardent de loin supérieurs à tous ceux qu’on laisse végéter dans les quartiers, pourrir les banlieues, pour mieux en tirer profit, suivant l’occasion donnée sur le moment. S’en servir comme repoussoir, comme faire-valoir, ou bien encore comme main-d’oeuvre facilement exploitable, c’est en fonction.
4) De qui Sarkozy est-il le candidat ? Pourquoi est-il si attaché à la défense de son image de petit bonhomme d’ordre, et de partisan d’une justice expéditive, sinon parce qu’il sait que c’est bien cela qui plaît à toute cette France profonde, pour qui l’emploi, la faiblesse des salaires et le pouvoir d’achat, les retraites, etc., ne sont pas des problèmes, pour qui les problèmes hautement prioritaires à l’heure actuelle seraient plutôt l’insécurité, la vitrine du commerce, les 35 heures des employées, ou encore la transmission du patrimoine...
5) Quelles solutions pourra-t-on jamais apporter aux multiples problèmes dans lesquels se débattent les banlieues, autres que strictement pragmatiques ? La volonté clairement affirmée de favoriser la juiverie internationale, le parti juif et le clan américain contre "les arabes" et les nègres, toujours soupçonnés quant à eux de préférer la cause des Palestiniens à celle d’Israël, le parti-pris des condamnations lourdes et systématiques des délinquants, la stigmatisation systématique des pauvres et des Rmistes, "tous des fainéants, des assistés, incapables de bosser !" (il est bien entendu que du point de vue de la "race élue" et des privilégiés du système, seuls les commerçants et les trafiquants "travaillent" !), tout cela doit être dénoncé. Dans certains cas, la fermeté s’impose à l’égard des jeunes délinquants. Dans d’autres, ce serait plutôt le dialogue. Il faudrait encore de réels accords de coopération entre l’Europe et les Etats d’origine, pour organiser le retour au pays des allogènes extra-Européens (et aussi probablement avec les USA pour ce qui est des youpins eux-mêmes : dans le cas contraire, compte-tenu des intenables prétentions des juifs, ce ne pourrait être décidément que le chemin de la cheminée !). Chacun n’a-t-il pas le droit premier et inaliénable, et quels que puissent être par ailleurs les intérêts du commerce international, de vivre sur sa terre d’origine, celle où ses ancêtres ont toujours vécu, et sans se voir imposer une quelconque présence étrangère à la culture qui est la sienne propre ?

Sunday, March 25, 2007

Question récurrente

Il serait souhaitable qu'avant le second tour des Présidentielles au plus tard, un vrai journaliste, et non pas l’un de ces timorés qui tremblent tous devant le pouvoir, et qui craignent exagérément les réactions d’une certaine opinion trop lisse et trop bien pensante, ose la question qui ne manquerait pas de faire sortir de ses gonds le nabot à talonnettes, lui qui nous fait périodiquement ses colères, façon sale gosse de riche : "Monsieur Sarkozy, êtes-vous bien, comme on le dit, juif vous-même ? Comment vous définissez-vous, à titre personnel : comme catholique, ou bien comme juif ?" ; et qu’il ne le lâche pas avant d’avoir obtenu une réponse claire et dépourvue de la moindre ambiguïté à cette question. Et alors, tout en sera clarifié : s’il se déclare ouvertement catholique, il perd ses soutiens juifs qui le regardent depuis longtemps comme l’un des leurs, et parce que les youpins détestent ceux qu’ils regardent comme des usurpateurs en raison de leur messie. Voyez ici même [sur fr.soc.politique] pour confirmation l’un des récents posts du youtre Pagno. S’il se déclare juif au contraire, il s’aliène une fraction non négligeable de cet électorat conservateur très majoritairement catho qu’il s’efforce de séduire aussi, et dont il a besoin pour se faire élire. Tous ses soutiens juifs à peu près unanimes ne lui suffisent pas pour espérer devenir le prochain Président, évidemment ! Même si le youtre Borloo ou encore le youpin Strauss-Kahn lui apportaient à leur tour, eux aussi, leur soutien. Mais le premier hésite encore, pour être certain de miser sur le bon cochon, entre Bayrou et le Sarkojuif. Le second, à l’évidence, joue maintenant la carte de la défaite de la madone du Poitou ("si elle gagne, je change de métier !"), pour prendre la tête de ce qui restera alors du PS, au profit de la juiverie internationale. Peut-être composera-t-il avec Bayrou. JH attend toujours la réponse à la question posée en ce sens directement au juif Strauss-Kahn.

Le Pape et Sarközy

Regardez la tête d'il y a vingt-cinq ou trente ans du précédent pape, Jean-Paul II : une belle gueule de paysan polack, bien catho ! Faites maintenant une recherche Google par exemple, pour retrouver une photo de sa mère : incontestablement une youpine, celle-là ! Les traits, le teint, le profil : aucun doute à avoir. Mais qu’importe ! Le Polack devenu pape était bel et bien "catholique de coeur", tout comme le juif Bergson, et sincère, incontestablement. Et c’est aussi toute la politique des cathos depuis Vatican II que de favoriser le "dialogue" inter-religieux, d’aller jusqu’à Auschwitz faire "repentance", de multiplier les courbettes à l’égard des youtres. Jean-Paul II, tout comme son successeur, allemand pourtant, s’inscrivent dans la continuité, c’est tout.

Regardez maintenant le nain "au sang mêlé", comme il se déclarait lui-même. Les cheveux noirs, frisés, le nez, le teint : pas le moindre doute ! C’est là un catho sincère ? Permettez au moins à JH de sérieusement en douter ! Il a déjà posté ici même les raisons qui le faisaient regarder le nabot comme incontestablement juif. Et personne ne lui a encore objecté quoi que ce soit.

Demain...

Demain, enfin, le Sarkojuif ne sera plus ministre. Les riverains de son siège de campagne, rue d’Enghien, ne pourront sans doute pas se réjouir pour autant. Le candidat à la Présidentielle ne s’est toujours pas engagé à rembourser au contribuable ses frais de campagne. Il gardera probablement sous ses ordres sa garde rapprochée, ses quatre ou cinq compagnies de CRS ET de gendarmes mobiles, toute sa police, et la totalité de son pouvoir de nuisance. Il n’est toujours pas décidé non plus à révéler l’étendue exacte de son patrimoine. Pas davantage que sa vraie religion. Vous voudriez que le youpin renonce à être ce qu’il est pour devenir un candidat comme les autres ? Vous rêvez. Remettez les pieds sur terre ! Bienvenue dans le monde où le juif est roi !

Sunday, March 18, 2007

Réponse, sur fr.soc.politique

Votre intervention me semble suffisamment intéressante pour que je puisse éprouver le besoin de répondre. Je prends en tout cas le risque d’exprimer mon désaccord avec vos propos. En effet, nous ne sommes pas évidemment dans un rapport d’égalité : vous, en tant que philosémite, ou peut-être même juif, je l’ignore encore, vous n’encourez pas le moindre risque, en vous situant aux côtés des riches et des puissants de ce monde, tandis que moi, je risque toujours d’être tracé à chaque fois que je poste, d’être identifié, avant d’être poursuivi judiciairement. C’est là la liberté d’expression judaïque : Finkielkraut ou Redeker peuvent dire n’importe quoi, Israël est derrière eux, tandis que moi... Je tiens le pari que bientôt le moindre propos dit "antisémite" sera regardé, non plus comme délit, mais comme crime imprescriptible, que toute critique d’Israël vaudra à son auteur des poursuites judiciaires, que la moindre distance critique à l’égard du discours commun criminalisant le IIIe Reich sera bientôt interprété comme apologie de crime contre l’humanité !

1) Vous citez une étude américaine, donc probablement biaisée, et qui "démontre" de surcroît simplement la convergence sur le long terme (celle-ci pouvant être simplement due au hasard) entre les intérêts des actionnaires des grandes entreprises et l’emploi. On peut sérieusement douter de la capacité des investisseurs à se déterminer même à moyen terme. C’est toujours le bénéfice immédiat qui les intéresse, et "le marché" est incapable de "penser", comme vous le dites, à plus de six mois (la seule exception à la règle, c’est le cours du baril de brut, devenu artificiellement soutenu par la spéculation, pour le reste les actionnaires font comme tout le monde, ils suivent l’actualité au quotidien !). Vous ne convaincrez personne du contraire.

2) Sur la question du partage des richesses, autre coïncidence remarquable que vous pouvez exprimez, tout au plus (loi de Cobb-Douglas, dites-vous, et pourquoi pas théorème de la main invisible ?). Vous savez probablement déjà que sur le plan macroéconomique, on n’est jamais en mesure d’expliquer quoi que ce soit, on se borne à constater statistiquement... Je fais un autre pari : qu’une rupture résolue avec tout ce système qui impose une internationalisation croissante de nos économies, les fragilisant toujours davantage, puisse entraîner, peut-être un appauvrissement généralisé dans un premier temps, mais aussi une sécurité et au final, une prospérité retrouvée pour tout le continent européen. Et s’il s’agissait simplement de lutter contre ce chômage endémique qui affecte gravement nos sociétés, les remèdes existent bien qui ont réussi il y a plus de soixante ans, et dans le contexte d’une crise économique encore plus grave que la crise actuelle : politique étatique volontariste, couplée à une lutte résolue contre la spéculation à tous les niveaux, imposant la stabilité forcée même des prix de détail pour le consommateur. C’est ainsi que Schacht a pu remettre l’Allemagne d’autrefois sur ses rails.

3) Ce que vous entendez comme "délires complets" et "couplets antisémites à fort relent marxiste/hitlérien" est malheureusement pour vous une incontestable réalité, et vous-même d’ailleurs ne faites que confirmer sur l’exemple d’EADS la complexité de ces montages financiers contemporains ordinaires. Je m’en suis déjà exprimé ici même : regardez attentivement par exemple le classement Forbes des fortunes mondiales, considérez leur provenance, les noms, les nationalités et les lieux de résidence. Vous trouvez normal, vous, qu’une certaine minorité soit surreprésentée dans un tel classement, et sans commune mesure avec son importance numérique réelle ? Considérez encore l’avantage certain qu’il peut y avoir à l’heure actuelle à être commerçant par exemple plutôt que salarié, et demandez-vous sérieusement pourquoi les juifs sont toujours aussi peu représentés que par le passé dans certains secteurs d’activité et dans certaines professions. J’ai moi-même longtemps cru que si les juifs étaient plus souvent diamantaires par exemple plutôt que paysans, c’était, conformément à la légende judaïque, parce qu’on perdait moins en cas de persécution en investissant dans un stock de diamants plutôt que dans la terre. J’ai appris depuis que, non seulement les juifs contrôlaient réellement toute la filière du diamant depuis l’Afrique jusqu’à Anvers, New York et la Suisse, mais que le Talmud déclare encore que cultiver le sol est une occupation avilissante, et par conséquent indigne du juif ! J’aurais encore beaucoup à vous répondre sur l’opposition admise entre le système des retraites par répartition, dénoncé comme obsolète et prétendument destiné à la faillite, au profit du financement des retraites par capitalisation qui fait désormais l’objet d’un large consensus, de la fausse gauche à la droite la plus extrême : mais qui s’arroge ainsi le droit de tirer des plans sur la comète, en prétendant être en mesure de prophétiser la situation d’ici à plus de quinze ou vingt ans, sinon ceux-là même, et leurs alliés objectifs, qui sont en mesure de tirer de réels profits de la capitalisation d’aujourd’hui par les salariés ? Ou encore sur le modèle socialement imposé de l’achat de la résidence principale par le plus grand nombre de Français, sous la forme du pavillon individuel, vanté depuis les années 1960 par les politiques de droite sans la moindre exception, avec les conséquences sociales qu’on connaît (voyez par exemple Pierre Bourdieu, Les structures sociales de l’économie). Aujourd’hui, on trouve même des banques qui vont jusqu’à proposer l’endettement à vie, et bien au-delà des revenus pouvant être espérés, sur le modèle espagnol, ou, si vous préférez, anglo-saxon. Toujours les mêmes fausses recettes : financer artificiellement la croissance par le crédit, soutenir prioritairement la consommation, et au détriment de l’emploi, ce qui avantage considérablement tous les intermédiaires et les distributeurs, au détriment des travailleurs européens, toujours davantage pressurés au profit des actionnaires, et qu’on appelle constamment à toujours plus de sacrifices futurs, qu’on n’hésite même plus à mettre en concurrence avec toutes sortes de populations allogènes toujours plus défavorisées (on trouvera toujours encore plus pauvres, bientôt peut-être des Soudanais tout droit venus du Darfour en France...), et tout cela pour maintenir une pression constante sur les salaires et les emplois.

Friday, March 16, 2007

Licenciements

C'est désormais devenu un lieu commun dans l'impensé politique qu'on sert régulièrement à l'opinion dans le cadre de la campagne des Présidentielles que de dénoncer les "patrons voyous", ceux qui licencient massivement alors même que leurs carnets de commande sont pleins, et que les entreprises font même des bénéfices. Hier soir, la représentante de la fausse gauche, celle qui n’a de socialiste que le nom, n’a pas dérogé à la règle commune ... tout en se mettant magnifiquement en contradiction avec elle-même. Dans le dossier Airbus, n’a-t-elle pas promis que de l’argent public serait investi pour aider l’entreprise, évidemment aux frais du contribuable, qui ne pourra que voir dans les régions tenues par la gauche caviar ses impôts locaux exploser ? Et la même qui prône une réduction du train de vie des élus : mais tous ces gros qui bénéficient de confortables fauteuils dans tous les parlements, assemblées et commissions tenus par la fausse gauche sont-ils prêts à renoncer à leurs privilèges et à leurs notes de frais ? On peut sérieusement en douter. De son côté, le Sarkojuif ne s’en est-il pas pris récemment à l’euro fort, qui masque la hausse réelle des prix, et qui jouerait prétendument contre l’emploi, prenant ainsi le contre-pied de toute la propagande gouvernementale en la matière (mais non, il n’y a pas de hausse des prix ! mais non, le chômage recule, au contraire, grâce au CNE, grâce aux mesures prises en faveur de l’emploi des jeunes, ou pour faciliter le maintien dans l’activité des seniors, etc.) ? Et comment celui-là peut-il tenir un tel discours, auquel il ne croit pas lui-même, et qui s’oppose aussi clairement aux intérêts réels de toute cette maffia financière cosmopolite qui se tient derrière lui, et qui exige sa prochaine élection ? Et que trouve-t-on en face d’eux ? Des gauchistes médiatiques fabriqués pour divertir le peuple, pour faire croire en l’existence d’une opposition au capitalisme libéral, et dont les propos, à caractère strictement folklorique, ne varient pas : Laguiller, Besancenot, le gendre du juif Krivine, Koselek, dite "Buffet", Bové, Autain...

N’est-il pas plus que temps que cesse tout ce cirque médiatique, et qu’on dise au moins clairement aux Européens la vérité ? Pourquoi des entreprises telles qu’Airbus ou Alcatel-Lucent licencient-elles en masse ? Evidemment pour pouvoir verser des dividendes, à croissance exponentielle exigée, à des actionnaires privés toujours plus gourmands. Et qui sont ces actionnaires ? Incontestablement, ces banques judéo-maçonniques, dont les intérêts et les montages de capitaux sont étroitement imbriqués les uns dans les autres, et dont les sièges sociaux sont au final à New York, ou bien encore dans tel ou tel paradis fiscal quelque part ailleurs dans le monde, ces fonds de pension qui permettent aux riches commerçants et profiteurs américains de se constituer une retraite future, de louches particuliers s’étant outrageusement enrichis à la suite de quelconques trafics, ou ayant simplement hérités de telle grosse fortune. Tous ces gens se moquent éperdument du maintien de l’emploi dans telle ou telle région. Bien au contraire, à leurs yeux, le travail n’a rien d’un facteur humain, et doit être un élément aussi mobile à l’échelle internationale que leurs capitaux : un ouvrier roumain ou un nouvel esclave chinois vaudraient bien un Français ou un Allemand de souche ! et que ceux-ci ou bien ceux-là travaillent ici, ou bien ailleurs, chez eux, en Afrique, ou plutôt en Europe, quelle importance ? Les coûts humains ainsi engendrés ? Ce n’est pas leur affaire ! Seule importe la loi du profit et de la spéculation immédiatement rentable, à très court terme. Les conséquences sociales, engendrées en particulier par ces déplacements organisés de populations pauvres allogènes uniquement afin de servir de réservoir de main-d’oeuvre indéfiniment corvéable et exploitable, en n’importe quel point précis du globe ? Le long terme, l’avenir des peuples, de tout un continent ? On s’en moque !

JH n’est certes pas au pouvoir, et n’a probablement pas la moindre chance d’y accéder. Tout le pouvoir est aux mains des juifs, incontestablement, qui n’hésitent même plus à se vanter ouvertement, comme sur fr.soc.politique, d’être les seuls capables de tenir en respect les "arabes", comme ils disent, et qui ont effectivement les moyens de sanctionner la moindre critique à leur encontre. Mais, en attendant qu’ils parviennent à faire taire définitivement sa voix discordante, il peut encore suggérer quelques solutions. En premier lieu, contraindre toute entreprise établie en un lieu quelconque du territoire européen, et quelle que soit son importance ou son activité, à y déclarer un propriétaire nominativement identifiable, qui offrirait des garanties financières suffisantes, juridiquement responsable, et personnellement saisissable en cas de besoin, exactement comme s’il s’agissait d’un particulier. Ainsi il deviendrait possible de sanctionner réellement tous les entrepreneurs indélicats, les industriels sans scrupules, les patrons véreux, qui ne pourraient plus disparaître derrière l’anonymat des capitaux internationalement mobiles et des intérêts internationaux. Criminaliser les agissements de tous ceux qui organisent la venue, font travailler, ou tirent des revenus quelconques sur le territoire européen de toute main-d’oeuvre clandestine, par de lourdes sanctions qui seraient à la fois pécuniaires et pénales. Confisquer aussi par saisie directe auprès des banques toutes ces fortunes de provenance douteuse, et dont les titulaires ne pourraient justifier de l’origine. Imposer à tous ces riches commerçants, banquiers, propriétaires juifs, de renoncer à leurs nationalités multiples et non européennes, ou bien s’exposer à être immédiatement expulsés, tout comme n’importe quel Malien ou Turc en situation irrégulière, en direction des USA ou bien d’Israël, et après confiscation, le cas échéant, de la totalité de leurs biens au profit de l’Etat. Une autre mesure préconisée, et qui pourrait assez facilement être appliquée : exiger la transparence financière la plus totale, sous le contrôle approfondi des services fiscaux, de tout montage financier qui engagerait des intérêts publics, ou qui résulterait d’accords de coopération entre des Etats. Et pourquoi ne pourrait-on pas encore saisir les installations industrielles, les brevets, les plans et les stocks, pour les mettre immédiatement à la disposition directe des salariés ou des CE, des entreprises dont l’activité serait manifestement déclinante par la volonté directe de leurs actionnaires, de manière à éviter par avance le démontage des machines, les fermetures de sites, et les délocalisations programmées ?

JH, résolument socialiste et nationaliste pro-européen.

Lucie Aubrac

Hommage unanime de la nation à la grande résistante que fut Lucie Aubrac. Cérémonie nationale aux Invalides. Il serait même question de l'inhumer au Panthéon, aux côtés d’un autre symbole de la résistance, Jean Moulin. Tout cela a quelque chose de profondément gênant : l’exaltation officielle et publique, devenue désormais permanente, du camp des vainqueurs d’il y a plus de soixante ans, et la diabolisation pour l’éternité des vaincus de jadis, la criminalisation de tout un peuple, le peuple allemand, telle qu’exigée par les youtres. Qu’on se rappelle au moins que la grande dame de la résistance était une militante communiste, et de surcroît mariée à un juif. Que c’est ainsi tout naturellement, spontanément, affectivement, qu’elle avait alors choisi son camp. Celui de l’internationalisme, celui des riches, des puissants de ce monde. De ceux pour qui une Allemagne résolument nationale et socialiste représentait un affront insupportable à l’hégémonie juive. Et que pour cette seule raison, elle devait être anéantie sans pitié, et le peuple tout entier, les meilleurs des représentants de la race aryenne, exterminés. Méthode expéditive : les crimes de guerre impunis des prétendus "libérateurs", les exécutions sommaires, les condamnations à l’issue des procès. Méthode insidieuse : le métissage exacerbé, l’acculturation, la "lutte contre toutes les formes d’intolérance" (exceptée l’intolérance judaïque, bien sûr !).

Saturday, March 10, 2007

Le Sarkojuif et l'immigration

Alberich = danger ! Sur le papier, la politique initiée par l’actuel gouvernement en matière d'immigration peut apparaître séduisante : pour une immigration choisie, contre une immigration subie ; recours à des tests génétiques en l’absence d’état civil fiable pour les candidats à l’entrée sur le territoire national dans le cadre du regroupement familial ; exigence pour tous d’une maîtrise suffisante de la langue et de l’acceptation de la culture du pays d’accueil ; à terme, politique de quotas par nationalité d’origine et par profession... Seulement, avec un minimum de sens critique, et compte-tenu des réalités actuelles en matière de flux migratoires, on peut entrevoir où cette politique va mener le pays, ce que JH n’est certainement pas le premier à dénoncer :

1) L’immigration n’est plus aujourd’hui alimentée par le travail, ni même par le regroupement familial, mais avant tout par le mariage. Elle a pour cause première tous ces Européens de fraîche date (en réalité des allogènes ayant acquis à une date relativement récente la nationalité du pays d’accueil, exactement comme au siècle dernier tous ces "juifs de France" si massivement rescapés des camps prétendument "de la mort", tous ces "fils et filles" puis petits-enfants de déportés) qui pratiquent une endogamie forcenée, ainsi que tous ces autres cédant à cette pitoyable mode actuelle des unions avec des conjoints exotiques. Si une véritable éducation raciale était encore dispensée à notre jeunesse, alors les premiers comprendraient vite qu’ils ont vocation à retourner dans leur pays d’origine, et les seconds qu’ils commettent sciemment ce qui n’est rien d’autre qu’un crime contre la race.

2) Il n’est nul besoin de pratiquer des tests génétiques onéreux pour prétendre ce faisant régulariser la situation sur le territoire d’allogènes qui n’ont objectivement rien à y faire : il faudrait bien vite comprendre que la présence par exemple de nègres d’un noir profond est dans les rues de nos grandes villes tout aussi incongrue que celle d’Ecossais roux au beau milieu de la grande forêt zaïroise, à moins qu’on tienne absolument à les faire venir, d’où ce troisième point :

3) Exiger la connaissance préalable de la langue ne peut que favoriser une immigration d’origine africaine : c’est l’Afrique noire qui est encore largement francophone (quoiqu’il y ait encore un certain pays qui manoeuvre depuis trop longtemps déjà pour être admis au sein de la francophonie ; ce pays, c’est bien entendu Israël...). Ce n’est certainement pas là une homogénéité culturelle qui se trouve recherchée, sauf peut-être au jugement des naïfs et de tous les cocus des démocraties, mais bien un métissage racial généralisé, au milieu duquel les youtres pourront par la suite très facilement se fondre.

4) La politique des quotas, c’est le modèle américain de la green card, avec tous ses défauts : on n’empêche aucunement, mais on encourage même l’immigration clandestine en créant une sorte d’appel d’air, non seulement pour les exclus du système, qui s’obstineront à tout faire pour y être à nouveau admis ou pour passer entre les mailles du filet, mais aussi pour tous leurs proches et leur famille... Soit, dans cinq ou dix ans, des dizaines de millions d’allogènes supplémentaires massivement issus des régions les plus défavorisées de la planète, attirés par notre prétendue prospérité, dans le sillage de cette main-d’oeuvre bon marché que le MEDEF et autres auront commandée sur les nouveaux marchés aux esclaves.

JH s’en est déjà ouvert : il est des principes sur lesquels il ne faut pas transiger : les origines réelles, la race, la culture. Tout être humain doit être encouragé à vivre, et doit avoir la possibilité de vivre, là où ses ancêtres ont toujours vécu. Il est des races européennes et des races allogènes. On doit pouvoir accueillir à bras ouverts le plombier polonais ou le maçon ukrainien, qui sont bien de notre race, et certainement pas la vermine judaïque ou les macaques africains, sauf à vouloir réellement la faillite programmée de nos hautes cultures. C’est incontestablement l’Europe, et non le proche Orient ou l’Afrique qui ont été à l’origine, il y a des milliers d’années, de toute idée de civilisation. Voulez-vous vraiment que cela ne soit plus dans l’avenir qu’un lointain souvenir ?

Wednesday, March 07, 2007

Juifs de France

Vous êtes probablement très mal informé, jeune homme, et ainsi victime de l'habituelle propagande judaïque. Voici une nouvelle fois la répartition par nationalités de la plupart des 75.721 prétendus "juifs français" déportés de France :

- Polonais : 26.000
- Allemands : 7.000
- Russes : 4.500
- Roumains : 3.500
- Autrichiens : 2.500
- Grecs : 1.500
- Turcs : 1.300
- Hongrois : 1.200
- enfants nés en France de parents de nationalité étrangère : 7.000.

Qu’on nous explique enfin en quoi l’expulsion vers les territoires de l’Est de quelques dizaines de milliers de juifs de nationalités étrangères devrait être regardé, et pour l’éternité, comme un crime imprescriptible, alors que celle de 25.000 étrangers en situation irrégulière par an serait, elle, tout ce qu’il y a de plus souhaitable ! Y aurait-il de bons et de mauvais parasites ? Ou encore, la vermine sub-carpathique de naguère serait-elle d’une dignité infiniment supérieure, en comparaison de ces pauvres que toutes sortes de profiteurs ont bien su faire venir sur le territoire, pour la plus grande gloire du vrai dieu des juifs : l’argent ?

Pep, sur fr.soc.politique

Facile : il ne travaille pas, il est commerçant ! Vous savez, genre épicier qui émarge à plus de 4.000 euros mensuels, mais qui s'imagine malgré tout être un laissé pour compte du système, parce que, "il n’y a plus de bons Français !" (on rappellera que depuis l’Algérie, seuls les anciens boutiquiers rapatriés d’Oran ou de Constantine, avec leur zizi taillé en biseau, qui se regardent eux-mêmes comme encore plus Français que ceux de métropole par la seule grâce de leur appartenance à la "race élue", se désignent ainsi), "plus que des feignasses de fonctionnaires et des assistés partout !" "même Sarkozy, not’ fils, qui est bien de chez nous, qui sent les choses comme nous, etc.", "toutes ces crouilles, ces mouquères, tous ces bicots, on l’empêche de tous les faire expulser, il est obligé de faire comme les autres, de les laisser pulluler !" "ils nous imposent leurs lois ‘nazislamistes’ !" Et la domination de la juiverie internationale étendant ses griffes partout en Europe ? Pur fantasme ? Le juif éternel ? Pure abstraction ? Relisez donc cet article de Marianne sur le vote juif en faveur de Sarkozy. Méditez les propos des youtres eux-mêmes, en forme d’aveux en rien dissimulés : "Royal n’est pas de taille pour cadrer les Arabes", déclare l’une ; "Sarkozy fera moins de social", rêve un autre ; nombre de youpins osent exiger ouvertement un chef d’Etat capable de tenir tête à "ces racailles" (c’est évidemment le terme même au moyen duquel Sarkozy avait naguère renvoyé un signe fort à la fraction la plus choyée de son électorat) ; et heureusement qu’ils tiennent encore les médias ! "Aujourd’hui, à la télévision, il y a encore 10 Arthur pour 1 Jamel Debbouze. Mais, demain, le rapport sera inversé. Après tout, qu’est-ce qu’on pèse, nous, face à 7 millions de musulmans ?" Et le même youtre qui explique sans s’en cacher où se trouve sa vraie patrie : "j’ai demandé à mon banquier de se mettre en situation de réaliser mon patrimoine en quarante-huit heures". On peut déjà soupçonner l’importance du patrimoine en question, dès lors que le banquier est simplement sommé de se mettre aux ordres du juif, et qu’il serait prêt à le faire en toute servilité ! Et comment donc un tel trésor aura-t-il été constitué ? A la sueur de son front sans doute ? Grâce aux nombreuses heures supplémentaires rémunérées par l’entreprise à son salarié, parce que, lui, aurait déjà accepté de "travailler plus pour gagner plus" ?

Déportés juifs "français"

Le message de "Camille" du 6 mars 21:59 en porte le symptôme : beaucoup de Français sont probablement aujourd’hui à ce point victimes de la propagande judaïque constamment martelée (encore deux soirées spéciales à la gloire de la juiverie ces jours-ci sur Arte !) pour s’imaginer que des millions de "juifs français" ont été déportés avant d’être gazés il y a maintenant plus de soixante ans. Qu’on sache au moins qu’il existe une statistique précise, constituée au camp de Drancy par un interné chargé de ce travail par les autorités, un certain Georges Etlin, qui l’a lui-même remise au Centre de Documentation Juive Contemporaine le 16 mars 1945, où elle porte depuis la cote DXLVI-13. On peut ainsi vérifier sur pièces que seulement 342 juifs de nationalité française ont été déportés de Drancy (contre 14.459 juifs polonais, 6.222 juifs allemands, 2.217 juifs autrichiens, 2.718 juifs roumains ou 3.290 juifs réfugiés russes, etc. etc.). Qu’en outre, sur 67.693 déportés recensés, un pourcentage non négligeable, soient 5.124 d’entre eux étaient "de nationalités inconnues" (plus 2.698 "apatrides" et 154 de nationalité "à déterminer" ; total : 7.976 juifs). Là, on peut toucher du doigt une réalité encore bien actuelle pour tous les services de police spécialisés : vers quel pays doit-on expulser celui-ci, dont les papiers d’identité ne sont visiblement que des faux grossiers, qui fait tout pour rester sur le territoire, dont on ignore le lieu exact de naissance, et ainsi la véritable nationalité ? Alors, où sont tous ces "juifs français" déportés ? Ne seraient-ce pas plutôt tous ces juifs étrangers qui seraient rétrospectivement devenus des "juifs français" par le seul privilège d’avoir été déportés de France ? Et aujourd’hui que beaucoup sont revenus reconquérir des positions de pouvoir bien plus enviables encore que toutes celles qu’ils occupaient avant guerre, on devrait encore continuer à les honorer comme s’ils étaient toujours des victimes ?

Tuesday, March 06, 2007

Parti

Question posée tout à l'heure sur l'un des sites de Dominique Strauss-Kahn, ce représentant par excellence de la fausse gauche, à propos de la fondation projetée de son parti social-démocrate. Et qui va-t-il finalement trahir, comme toujours chez lui pour la plus grande gloire d'Israël : Ségolène au profit de Bayrou, ou bien l’inverse ? L'avenir nous le dira bien.

J'ai demandé tout à l'heure sur l'un des sites du youtre Strauss-Kahn : http://www.blogdsk.net/manifeste_socialdmocrate/2007/02/parti_socialist.html#comments si ce parti social-démocrate qu'il entendait bientôt fonder était le même que ce "grand parti démocrate" dont Bayrou, le pourri du Béarn, celui-là même qui ne raterait jamais un seul dîner du CRIF, et aussi prompt à s'enflammer contre l' "antisémitisme" que s'il était Sarkojuif en personne, annonce la création lorsqu'il serait élu. Mais on peut sérieusement douter qu’un quelconque représentant de la fausse gauche, ou de la (prétendue) "vraie" "race élue", ait le courage de répondre sans mentir à une question aussi simple posée par un intervenant tel que JH...

C’est en réalité à cet article : http://ncoal.com/pierce/121501_The_Club.htm que JH a immédiatement songé. Les youtres adorent évidemment par-dessus tout les représentants de la "bande des quatre" et autres défenseurs du système, puisque rien ne leur plaît davantage que la "démocratie", mais à condition que chaque candidat déclaré fasse d’abord acte d’allégeance au "club". C’est ainsi. Les Aryens doivent d’abord et toujours se soumettre à ce capitalisme improductif dirigé par la haute finance cosmopolite judaïque. Imaginez un seul instant qu’un homme politique en France ou ailleurs en Europe ose se réclamer d’un socialisme national et réellement populaire pour prétendre trancher à la hache les tentacules puantes de tous ces conglomérats d’intérêts apatrides qui ne sont établis sur notre sol que pour en sucer toute la vive substance au profit d’Israël. C’en serait immédiatement fini pour lui alors. Encore récemment, c’était Raymond Barre qui avait osé dénoncer l’éternelle dictature du lobby sur la France. L’information avait immédiatement été répercutée sur tous les sites communautaristes judaïques et de vigilance contre l’ "antisémitisme" (dans sa définition juive : crime infiniment plus grave que le racisme et dont ne sont en droit de se plaindre que les youtres seuls, à l’exclusion de tous les autres sémites qui ne seraient, eux, que des "arabes", c’est-à-dire des êtres inférieurs). On pouvait croire jusqu’à ce matin encore que les youpins éviteraient de lui faire un procès, le laisseraient plutôt tranquille : l’ancien "meilleur économiste de France" n’aurait plus toute sa tête, "la vieillesse est un naufrage", voilà tout ce qu’on pouvait jusqu’ici lire en substance sur leurs sites. Mais voilà : l’ancien, qui garde bien toute sa lucidité au demeurant, refuse de se soumettre au lobby, en souligne encore la nocivité, et déclare se moquer éperdument des procès d’intention qu’on peut bien lui faire. Là, il y a fort à parier que les youtres ne le laisseront pas en paix tant qu’il ne se repentira pas officiellement.